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Pour le modèle classique on a une auto régulation du marché II détermine lui-même un prix d’équilibre pour une quantité donnée. Ils se fondent uniquement sur l’offre et donc sur la production de bien & sen’ice C] Quand l’offre (S) 0 la demande (D) C] & inversement. Pour les classiques les marchés sont en situations de concurrence pure et parfaite qui possède 5 critères : 1 . Atomicité : plusieurs offreurs & demandeurs qui sont preneurs de prix & ce prix est exogène. 2. Homogénéité des produits : Ils sont identiques 3. Libre entrée & sortie : Les agents peuvent entrer/sortir dans le arché librement po 4.

Transparence de l’i PACE 1 or fi les produits ; Quantit ff•2. •: , • de vente 0 L’informa 5. La mobilité des fa marché y est fluide. aite & complète sur ndé prix , conditions & gratuite. s différents facteurs de production peuvent se deplacer librement au niveau géographique. C] Pour les classiques l’Etat Garantit rexistence du marché Il doit aussi fournir les fonctions régaliennes (z fournir une justice, une police et la sécurité intérieur) Il doit fournir des biens publics collectifs Doit protéger les industries naissantes.

Doit réguler les défaillances de marché, exemple : externalité négative ou le monopole naturel l. Les piliers de l’univers classiques : a. Les auteurs classiques : D Adam Smith (philosophe du 18e) a apporté les bases de la la valeur : Valeur d’usage : lié à futilité que tirent les agents d’un bien. Valeur d’échange : prix du bien pour expliquer ce paradoxe il va montrer que le travail influe sur la valeur : avec l’eau pas d’heure de travail donc peu cher, alors qu’avec le diamant c’est l’inverse. La main invisible : Si chaque individu cherche à maximiser son ntérêt individuel Cl cela va aussi maximiser l’intérêt collectif.

Théorie des avantages absolus : Il montre que les pays peuvent avoir des avantages absolus au niveau de la productivité D Ricardo (économiste du 19e siècle) il va résoudre le problème des avantages absolus avec : Théorie des avantages comparatifs : Chaque pays a intérêt ? se spécialiser dans la production de bien et service ou ils ont la meilleure productivité et ils ont intérêt à favoriser le libre- échange. Cl J. B Say (économiste Français) met en place : La loi des débouchés : l’offre va créer sa propre demande (Si S C] C] DO).

Egalement on considère que tout revenu distribué est dépensé directement à l’achat. Y (production) = C (consommation) + I (investissement) Revenu R = C + S (épargne) Donc S – Donc CAD que la monnaie est un moyen de faire passer un bien en monnaies et ensuite en bien. Analyse dichotomique : Les grandeurs déquilibre de la sphère réel sont déterminées sans se préoccuper de la sphère monétaire. Il y a donc aucune interaction entre la sphère réelle & monétaire Neutralité de la monnaie. Théorie quantitative de la monnaie : M = masse monétaire

V= Vitesse de circulation de la monnaie. Pz Niveau général des prix (nominal Y – Offre global en volume prix (nominal) Y – Offre global en volume. Mv (dépense en monnaie = PY (revenue nominal) Qu’implique cette analyse dichotomique ? La monnaie est demandée uniquement pour des motifs de transaction et elle sert à fixer le niveau général des prix & donc les grandeurs nominales. Elle n’influence pas les niveaux de production & elle ne peut pas être à l’origine d’un déséquilibre économique. b. Les néoclassiques. Ils ont apportés la révolution marginaliste avec :

Walras : équilibre général quand le marché est en concurrence pure et parfaite & que les agents agissent Travailleurs : maximisent leurs utilités sous contrainte de budget Producteurs : maximisent leur profit sous contrainte de la technique C] Jevons Menger : Utilité marginal Valeur fondé sur l’utilité & non sur la quantité de travail. Il. La détermination de l’équilibre chez les classiques A. La sphère réelle : Dans cette sphère, plusieurs marchés vont intervenir : Le marché du travail Le marché des biens et services Le marché des capital 1.

Marché du travail Sur ce marché on a 2 types d’agents : Les entreprises et les ménages (marché en situation de concurrence pure et parfaite). Ces 2 aeents vont donc dé onctions d’offre de travail Ils cherchent à maximiser leur utilité en faisant un arbitrage Travail/Loisir Ils vont donc comparait la désutilité du travail par rapport au salaire. A l’optimum : la désutilité marginal du travail = au taux de salaire. L’offre de travail est donc croissante du taux de salaire. DQuand le salaire réel 0 le cout d’opportunité du loisir C] et donc incite à travailler.

Le cout d’opportunité = cout de renonciation. ) Cl Les individus raisonne en terme réelle, ils ne sont donc pas victime de Fillusion monétaire (inflation). b. Que cherche à faire les entreprlses ? Elles cherchent une quantité de travail qui maximise leur profit sous contrainte des facteurs de production A l’optimum : Le facteur travail est rémunéré à sa productivité marginal que la dernière unité de travail utilisé doit augmenter la valeur de la production d’un montant égale au taux de salaire. La fonction de demande de travail est décroissante au taux de salaire réel (W/P)

L’équilibre est atteint lorsque que la fonction d’offre de travail = à la fonction de demande de travail Ce qui nous permet de déterminer le niveau de travail d’équilibre et le taux de salaire réel. Le niveau de travail d’équilibre correspond au plein-emploi : Toutes les offres de travail pour un salaire sont satisfaites. Cela veut donc dire que tout chômage est volontaire. Le salaire réel apparalt comme un prlX dont la flexibilité même ? l’équilibre. D Donc toute réglementation introduisant de la rigidité (SMIC) entraine l’apparition du chôma e en bloquant les mécanismes d’ajustement du marché.