II rappelle transmission des Napoléon lorsque pour poursuivre illi à la règle de la « marche au canon » car il tait separ du corps principal par un cours d’eau. Sur ces points et d’autres moins connus, comme la question de l’exécution de plusieurs centaines de prisonniers de la Garde Impériale, Thierry Lentz apporte des réponses claires dans un livre qui bénéficie d’une abondante iconographie, de nombreux encadrés et convoque les acteurs de l’époque et leurs témoignages.
Faut-il rappeler qu’il est le directeur de la Fondation Napoléon et l’auteur de nombreux ouvrages sur la ériode dont une « Nouvelle Histoire du Premier Empire » prévue ? l’origine en trois tomes mais qui a bénéficiée ensuite d’un volume spécialement consacré aux Cent Jours ? Il n’est donc pas étonnant qu’e Swlpe to vlew next page qu’en cette période de bicentenaire, il nous livre un ouvrage à sa manière sur Waterloo.
Loin de ceux qui nous ont raconté la bataille dans le détail comme les immortels Houssaye et Lachouque ou plus récemment Alessandro Barbero et Jean Claude Damamme, Thierry lentz n’entre pas dans le détail sur les manœuvres des armées en présence et le déroulement es combats. Son objectif est de replacer l’engagement dans le contexte plus global du retour de Napoléon, de ses options alors qu’il va affronter l’Europe coalisée contre lui et des chances qu’il a de réussir à obtenir la paix qui lui a été refusée.
Avait-il d’autres choix que celui qu’il a retenu, l’offensive en Belgique en cherchant à battre successivement les prussiens et les anglais ? Jomni, le stratège suisse au service du maréchal Ney puls du Tzar Alexandre, au terme d’une étude minutieuse, en arrivait ? la même conclusion mais à la condition que Blücher se retire sur es lignes de retraite naturelles et ne vienne pas prêter main forte à Wellington après avoir été battu !
Cest à cette seule condition que Napoléon aurait pu chausser la bottes de Bonaparte et reproduire la stratégie géniale de la première campagne d’Italie. Au fait, Waterloo est-elle vraiment une victoire anglaise ? Pour « historien Peter Hofschrber, la présence dans l’armée britannique de près de 50 000 soldats originaires du Brunswick, du Hanovre et de Nassau en plus de l’arrivée décisive des Prussiens sur le champ de bataille en fait clairement une victoire « germanique »