Introduction – Pourquoi la comptabilité nationale ? En quoi la comptabilité nationale permet-elle d’avoir une vision d’ensemble de l’économie française ? Comment la représentation de l’économie en circuit permet-elle de mesurer le PIB d’un pays ? Quels sont les prlncpaux résultats qu’offre la comptabilité nationale ? Dans quelle mesure l’approche par le PIB est-elle encire pertinente de nos jours ? Les premières formes d’écriture datent d’il y a 6000 ans avant JC. Ce qui est intéressant ce qu’il s’agissait de comptes. C’était les entrées et les sorties du temple du souverain.
On a toujours une tendance à compte,r uissance. Les comp PACE 1 org gestlon mais aussi d nst,• to View nextÇEge la comptabilité natio pas réellement avant hesse et par là sa des instruments de nce. pour autant, ente. Il n’en existe ourtant eu des tentatives de mesure. Gregory King, au 1 7 me siècle mesure un revenu national pour la France, l’Angleterre et la Hollande pour chaque année de 1686 à 1695 et essaye même de l’estimer pour les années suivantes. Il étudie l’ensemble des revenus, l’ensemble des dépenses et tente d’établir un équilibre entre les revenus et les dépenses.
Il essaye aussi de démontrer qu’il y a une égalité ntre épargne et investissement au niveau national et il essaye même de dresser pour chaque pays les relations avec le reste du monde. François Quesnay (physiocrate) s Swipe to nex: page s’intéresse à la circulation des biens dans les royaume et ? l’augmentation des richesses. Cela se traduit par l’établissement du tableau économique avec cette idée que l’économie fonctionne comme un circuit. une situation de bien a toujours une contrepartie en terme de situation financière.
Cela a une influence sur toutes les tentatives de comptabilité nationale en France. La crise de 1929 démontre qu’il faut réussir à mesurer xactement la richesse des pays. Cette idée est surtout appliquée aux USA, en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas. Les comptabilité nationale naît sur a base de deux éléments. Elle s’inscrit dans le développement du cadre économique keynésien (macro- économie et accent mis sur la demande). On essaye également d’appliquer l’approche comptable aux états. un état, comme une entreprise, il faut lui établir des comptes.
R Fisher ou W Leontief font la loi entrée/sortie en 1949 Ils découpent l’économie américaine en 500 secteurs. Après la guerre, l’ONU prône le développement de la comptabilité nationale et notamment ne comptabilité qui va être construite autour de secteurs institutionnels dont chacun a une fonction spécifique. C’est en 1952 que l’ONU et l’OECE mettent en place un système harmonisé de comptabilité nationale. -> accord mis sur les agrégations notamment le calcul du PIB. 1968 : adopte les bases de ce qu’est la comptabilité internationale.
En parallèle, à partir des années 50 en France est mis en place un système particulier sous contrôle des études économiques et financiières (ancêtre de l’Insee). Ce système tient à la sous contrôle des études économiques et financiières (ancêtre e l’Insee). Ce système tient à la place de l’Etat dans l’économie, importance des statistiques publiques et ce qui se fait dans les pays sot connu. Ce système est perçu autrement, tout comme un instrument de prévision, il n’y a pas de retrospéctive sur les comptes des années précédentes. > Peu d’intérêt pour les agrégats Le système français va rester longtemps très critique vis à vis d’une harmonie internationale. On garde longtemsp un système très spécifique qui n’est pas du tout celui des autres pays. Cest sans doute en france que les moyens les plus importants snt mis pour l’élaboration des omptes autour de ce qui devient l’Insee. Dans les années 70, c’est au niveau européen que la reflexion se déplace avec la mise en place d’un système européen de comptabilité nationale.
Cest une synthèse entre le système de l’ONU et le système français. Influence du FMI qui publie régulièrement un manuel de comptabilité nationale. Harmonisation à la fois dans les pays riches et les pays en développement. 2010 : reflexion sur la prise en compte de l’économie informelle. Cela a conduit à une modificatin du calcul du PIB dans certains pays. Cela explique entre autres que le Royaume-Uni soit passé evant la France au PIB. Quand on établit les comptes nationaux, plusieurs questions se posent. La première est de délimiter ce qu’est la production.
Selon ce qu’on appelle production le comptabilité ne sera pas la même du tout. Cela pose la question de la iens et services, et leur sera pas la même du tout. Cela pose la question de la valeur des biens et services, et leur estimation monétaire. Comment prendre en compte les valeurs de cet étalon de mesure ? On déflatte. Cela pose aussi la questlon de leur valeur dans le temps en sachant que la production change, notamment les produits qui sont réalisés et échangés ne ont pas les mêmes d’une année à l’autre, ils changent en qualité.
On a une estimation de leur valeur monétaire. l, une représentation simplifiée de l’économie A) La logique comptable et l’économie comme circuit a) La logique comptable La comptabilité en partie double Elle s’est imoosée petit à petit pour les banques, les entreprises, à partir du Moyen-Age (en Europe). C’est l’idée qu’on va dresser les comptes en deux parties, le plus sauvent end eux colonnes. On écrit d’un côté la façon dont on utilise ce qu’on a (les emplois) et de l’autre d’où proviennent les ressources. Cela permet donc e vérifier une colonne avec l’autre.
Toute opération dans une colonne a une contrepartie dans l’autre. Tout ce qui est utilisé provient de quelque part. Tous les emplois auront eu une contrepartie en terme de ressources. Si ce n’est pas le cas, les compte sont faux. Pour chaque secteur, on mesure les ressources et les emplois et partir du principe que toute ressource a un emploi et que tout emploi provient d’une ressource. Deux comptes principaux pour les entreprises – Le compte de résultat : il retrace l’ensemble des opérations d’achat et de vente sur les facteurs de production, les marchandises…. (comme le PIB) PAGF