Anthologie bac guerres mardi soir

Bryan LE CLAIRE 1ère SB Anthologie La Guerre Préface Pour mon anthologi thème m’inspire bea l’histoire de notre m beaucoup marqué. L al org guerre. En effet ce • apprendre de Sni* to View guerre elle même l’a Ion de la guerre ne sont pas seulement visible uniquement sur l’histoire , en littérature beaucoup d’auteurs s’en sont inspiré. La richesse de la littérature et les différents points de vues en ont fait un réel débat.

On remarquera aussi à travers cette anthologie que la guerre paraît dans de multiples registres littéraires tels que la poésie, le roman, les textes argumentatifs ou encore le théâtre. Mon premier texte est un poème évoquant la bravoure et la droiture. Mon deuxième texte est la description d’une mort en temps de guerre. Mon troisième texte est un poème engagé avec un goût amer de la guerre. Il écrit ce poème entre 1830 et 1840. A travers ce poème Hugo trace un portrait de son père en le mettant en valeur tel un héro.

La scène se passe durant la guerre d’Espagne. Après la Bataille Mon père, ce héros au sourire si doux, Suivi d’un seul housard qu’il aimait entre tous Pour sa grande bravoure et pour sa haute taille, parcourait à cheval, le soir d’une bataille, Le champ couvert de morts sur qui tombait la nuit. Il lui sembla dans l’ombre entendre un faible bruit. C’était un Espagnol de l’armée en déroute Qui se traînait sanglant sur le bord de la route, Râlant, brisé, livide, et mort plus qu’à moitié. Et qui disait:  » A boire! à boire par pitié ! Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle, Et dit: « Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé. Tout à coup, au moment où le housard baissé Se penchait vers lui, l’homme, une espèce de maure, Saisit un pistolet qu’il étreignait encore, Et vise au front mon père en criant: « Caramba!  » Le coup passa si près que le chapeau tomba Et que le cheval fit un écart en arrière. ‘ Donne-lui tout de même à boire dit mon père. Victor Hugo Tableau d’Henri Jacquier ( et représente la même scène on pourrait imaginer le père d’Hugo.

II prendrait place a gauche du tableau et donnerait a boire a l’homme par terre. Ce poème montre la fierté qu’à Hugo en montrant un acte héroique que son père a réalisé. Le Dormeur du Val, Arthur Rimbaud Arthur Rimbaud est un poète français, né le 20 octobre 1854 ? Charleville et mort le 10 novembre 1891 à Marseille. Le Dormeur du Val issu des Cahiers de Douai, est un sonnet en alexandrins qui aconte de la mort d’un jeune soldat au milieu d’une magnifique nature au cours de la guerre franco-prussienne de 1870, et plus particulièrement la bataille de Sedan.

Le dormeur du Val Cest un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D’argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte tête nue, Et la nuque baienant dans n bleu, *AGF 3 CFB Arthur Rimbaud, Cahiers de Douai Lhomme blessé, Gustave Courbet ‘ai choisi ce poème d’Arthur Rimbaud car pour moi, il montre la ort dans un aspect différent sans évoquer une réel souffrance mais plutôt en explicitant le décor et la nature.

Le tableau de Gustave Courbet est pour moi en accord avec le poème. L’homme est allongé, tête nue, étendue dans l’herbe… L’illustration représente clairement le poème à mon goût. es pieds dans les glaieuls, il dort. » Le Déserteur, Boris Vian Boris Vian est un écrivain, poète et musicien français du XXème siècle. Il écrit le poème « Le Déserteur » en 1953, interprété pour la première fois en 1954. C’est un poème pacifiste, en reaction contre la guerre d’Indochine (1946-1954).

PAGF leurer mes enfants Ma mère a tant souffert Qu’elle est dedans sa tombe Et se moque des bombes Et se moque des vers Quand j’étais prisonnier On m’a volé ma femme On m’a volé mon âme Et tout mon cher passé Demain de bon matin Je fermerai ma porte Au nez des années mortes J’irai sur les chemins Boris Vian Déserteur Ce poème de Boris Vian est un poème engagé il nous dévoile ce qu’il a sur le cœur. Il dit clairement qu’il n’a pas l’envie de faire la guerre elle lui a fait trop de mal. « Demain de bon matin J’irais sur chemins » c’est la misère et la guerreD Refrain Deux étrangers au bout du monde, si différentsD

Deux inconnus, deux anonymes, mais pourtantû Pulvérisés sur l’auteln De la violence éternelleû Un 7470 S’est explosé dans mes fenêtresD Mon ciel si bleu est devenu orageû rasé mon villageD Refrain0 So long ! Adieu mon rêve américainû Moi plus jamais esclave des chiens[l Ils t’imposaient l’Islam des tyran » Ceux-là ont-ils jamais lu le Coran Lorsque les bombes ont Renaud Intervention militaire dans un village afghan, 2003 Cette photographie représente une intervention militaire mené dans un village Afghan. Par cette illustration nous pouvons observer que les conditions de vie et de sécurité ne sont pas bjective.

Une fille est a coté d’un militaire portant une arme. En effet cette photographie fait le lien avec la musique de Renaud car on observe qu’il parle de deux étrangers au bout du monde si différents. Il nous parle aussi de violence et de guerre. de la première guerre mondiale. A travers ce roman, nous vivons le quoitiden des soldats, les différents portraits de ces camarades souvent tués au front. Dans ce roman l’auteur évoque beaucoup la déshumanisatlon. « Quand je pense à mes hommes nichés dans les différents trou du secteur du Tilloloy, à trente ans de distance, je nous ois comme des poux dans une tête.

Que faisions-nous là ? On mourrait d’ennui en proie a la nostalgie de la femme. Est-ce que les poux sont nostalgiques ? Ce sont des égoiÉtes. Mais que peut- on savoir des poux ? Quand on les regarde à la loupe, comme je vois aujourd’hui mes camarades, chacun de nous dans son trou individuel, chacun semble immobile, épais. Certains sont translucides, avec une croix de fer dans le dos, ce sont les poux Allemands ; d’autres laissent voir leur estomac ou leur appareil de digestion, un ténu filigrane, ce sont les vieux briscards, nous les appelions les « engagés volontaires utres faits. Il dévoile l’horreur vécu dans les tranchées.

Il souligne la proximité de la mort quotidienne. « La terre ! Le désert commence à apparaître, immense et plein d’eau, sous la longue désolation de l’aube. Des mares, des entonnoires, dont la bise aigue de l »extrême matin pince et fait frissonner l’eau ; des pistes tracées par les troupes et les convois nocturnes dans ces champs de stérilité et qui sont striées d’ornières luisant comme des rails d’acier dans la clarté pauvre ; des amas de boue ou se dressent çà et là quelques piquets cassés, des chevalets en X, disloqués, des paquets de fil e fer roulés, tortillés, en buissons.

Avec ses bancs de vase et ses flaques, on dirait une toile grise démésurée qui flotte sur la mer, immergée par endroits. Il ne pleut pas, mais tout est mouillé, suintant, lavé, naufragé, et la lumière blafarde a l’air de couler. On distingue de longs fossés en lacis ou le résidu de nuit s’accumule. C’est la tranchée. Le fond en est tapissé d’une couche visqueuse d’où le pied se décolle à chaque pas avec bruit, et qui sent mauvais autour de chaque abrl, à cause de l’urine de la nuit. Les trous eux-mêmes, si on s’y penche en passant, puent aussi, comme des bouches. »