Vendredi après-midi 15 hOO, dernier chiffre de la semaine. J’effectue ma tournée de routine avant de quitter mon quart de travail. Je cogne, je m’identifie et je rentre dans la chambre 375 au lit #1 . J’aperçois Monsieur Blanchette assit au fauteuil roulant le visage tourner vers la fenêtre le regard fixe. Je l’informe que je dois revérifier sa glycémie capillaire suite à une hypoglycémie ? l’heure du dîner. Monsieur ré traque ses mains dans les poches de sa veste -Il reste muet et ne me réponds pas alors je lui éexplique que je dois revérifier sa glycémie capillaire.
Il me répond d’un ton sec : Patient : « Je sais je ne suis pas sourd tu viens de me le dire ». Moi : « Pardon, je croyais que vous ne m’aviez pas entendue » to nextÇEge Patient : « De toute f ça. Je suis fini ! Et vou ors Moi : « Je lui explique e } de santé de mes pati sa glycémie. Je peux -que tu recontroles là dedans » rer un suivi de l’état ir de venir vérifier prouvez de la frustration, car votre diabete est d balanc Y. Patient : « Tu comprends quoi toi ! Tu n’es pas assis dans un
Swlpe to vlew next page un fauteuil roulant avec une jambe en moins Moi : « Non effectivement vous avez raison. Je ne suis pas dans votre situation, mais en tant qu’être humain je peux éprouver de la compassion. Je me permets de lui explique que le diabète nécessite beaucoup d’ajustement pour être capable d’obtenir des valeurs thérapeutes recherchées malgré le fait que j’observe qu’il est refermé à recevoir de l’information Y. Patient : «Oui je comprends que je dois ajuster mon diabète, mais j’ai l’impression que rien n’avance.
Je suis désolé. Ça fait beaucoup en même temps Moi : « J’en comprends que vous trouvez que vous avez des grosses journées et que vous ne faite pas de progrès patient : « Oui, en plus en physiothérapie ça ne marche pas avec l’ajustement de ma prothèse. Je suis déçu, j’étais convaincu que je sortirais en fin de semaine et ma femme à attraper la grippe et mon garçon est à l’extérieur pour affaire donc je n’ai pas de place pour aller à par ici Moi : Le congé de fin de semaine vous aurait fait changer les idées.
Dites- vous que si vous contracter la grippe vous allez prolonger votre séjour à l’hôpital Je comprends que c’est décevant » patient : « Ce n’est pas en vous personnellement, mais vous êtes la première personne à avoir rent Patient : « Ce n’est pas en vous personnellement, mais vous êtes la première personne à avoir rentré dans la chambre après que j’ai reçu la mauvaise nouvelle alors c’est sur vous que cela a tombé.
Je vais vous prêter mon doigt pour que vous revérifier Moi : « Je comprends mieux la situation on s’est parlé et tout va nleux La situation que j’ai vécue avec Monsieur Blanchette ma apporte de la frustration au début de la conversation. Je trouvais qu’il manquait de respect envers moi. Je me suis questionné si au courant de la journée Sil ne s’était pas passé quelque chose entre moi et lui. Je percevais de la colère dans sa tonalité de voix. Ensuite je me suis questionnee sur ma compétence. Tout au long de la journée, j’avais fait preuve de professionnalisme comme je me dois d’être.
Dans la vie en générale je suis une personne en qui j’ai confiance, e me sentais affectée par cette phrase « En quoi êtes vous êtes bonne là-dedans. » J’avais développé une relation de confiance avec Monsieur Blanchette depuis au moins trois mois. Je travaille à temps plein de solr j’ai une stabilité avec mes patients ce qui permet de développé un lien de confiance. Je ne comprenais pas alors pourquoi qu’il pouvait douter de mes compétences. Je trouvais qu ne comprenais pas alors pourquoi qu’il pouvait douter de mes compétences.
Je trouvais que mon estime avait été touchée par cette remarque. J’avais fait du temps supplémentaire cette semaine là. Je me sentais plus fatgué qu’a l’habitude, je crois que cela a joué. Ce que je tente de comprendre dans le comportement de Monsieur Blanchette c’est qu’il a vécu beaucoup de frustration en même temps. Il a reflété sa colère sur la première personne qu’il a croisée. Je suis convaincue que si sa l’aurais été son voisin de chambre une altercation serais survenue. La conduite de Monsieur Blanchette arrive souvent chez les personnes qui vivent une déception.
Dans le milieu de la réadaptation les sorties de in de semaine c’est quol de bien important. Tout au long de la semaine, ils ont travaillé fort pour mériter de rentre à la maison la fin de semaine alors je peux comprendre sa déception, mais il se doit quand même de respecter le personnel Comment je gérais si la situation se représente à moi. Je pense que j’aurais plus me retirer et revenir dans quelques minutes le temps de le laissé penser. La situation c’est quand bien terminer. Il aurait peu juste me prêter son doigt et ne pas me faire part de ses sentiments. J’aurais plus utilisé de la reformulat PAGF