PLAN 1) INTRODUCTION 2) L’ECONOMIE, PRODUCTRICE DE RICHESSES i) Les Facteurs de production ii) Comment produire ? iii) La valeur ajoutée iv) La productivité v) Le PIB 3) ‘ECONOMIE, REP i) La répartition prim ii) La répartition seco 4) CONCLUSION or 4 Sni* to View L’économie essaie d’agir en sorte que les individus aient une satisfaction importante et homogène.
Est – ce peut être pour cela qu’elle met l’accent sur la production des rlchesses et ensuite œuvre pour une répartition la plus équitable possible. Dès lors les principales fonctions de féconomie apparaissent donc comme ?tant la production et la répartition des richesses produites. Comment agit-elle alors pour une répartition des richesses produites ? L’accent sera donc porté ici sur les éléments de production de richesses et les méthodes de répartition des revenus. ) L’ECONOMIE PRODUCTION DES RICHESSES (matières premières, énergie etc. ) ; ces consommations sont appelées Intermédiaires. La différence entre la valeur de la production de l’entreprise et ces consommations intermédiaires correspond À la valeur ajoutée, c’est-à-dlre à la richesse créée par ‘entreprise. Valeur ajoutée = Production – Consommations intermédiaires.
Produite par les entreprises, la valeur ajoutée est ensuite répartie entre les différents agents économiques qui Ont joué un rôle dans la production : Les entreprises distribuent les richesses créees à ses différents partenaires : – elles versent des salaires aux personnels – elles paient des impôts à l’État – elles paient des cotisations sociales aux organsmes sociaux – elles versent des intérêts aux prêteurs – elles versent des dividendes aux propriétaires lles épargnent le résidu (bénéfice) en le mettant en réserve ou en l’utilisant pour autofinancer une partie de ses activités. ) Le PIB -B. permet de mesurer la richesse créée. Il s’obtient donc en additionnant les valeurs ajoutées des entreprises résidentes sur le territoire Le P. l. B. par habitant permettent de comparer la richesse de pays de tailles différentes. On distingue le P. l. 3. marchand (somme des valeurs ajoutées, des biens et services vendus sur le marché) – le P. l. B. non marchand (somme des coûts de revient des services des administrations). Les limites du P. l. B Le P. l. B. est un indicateur imparfait des richesses.
Il ne comptabillse pas : – le travail non rémunéré (travail domestique, bénévolat… ) – l’économie souterraine (travail au noir, activités illicites… ) – les effets destructeurs de certaines productions (destruction des richesses naturelles, pollutions accidents de la rout PAG » OF d de certaines productions (destruction des richesses naturelles, pol utions, accidents de la route… ). d) La productivité La productivité est l’amélioration du coût de fabrication d’un produit.
Cette amélioration peut être générée par une diminution des coûts de main-dœuvre (productivité du travail) ou du coût des moyens mis en œuvre pour assurer cette fabrication (productivité du capital). La productivité se mesure par le rapport entre un volume de production et les quantités de facteurs de production utilisés (heures de travail, nombre de salariés, machines… ) : Production / ensemble des facteurs de production. ) L’ECONOMIE REPARTITION DES RICHESSES a) a répartition primaire Elle permet de rémunérer : – l’État avec les impôts à la production ; le facteur travail, avec les salaires (salaires nets + charges sociales) ; – le facteur capital, tels que les dividendes (versés aux propriétaires de rentreprise), en intérêts (Destinés aux prêteurs), l’autofinancement qui correspond aux amortissements du capital fixe (Bâtiments, machines) et aux bénéfices non distribués d’une entreprise et enfin aux revenus fonciers (Loyers).
Le partage de la valeur ajoutée représente un enjeu déterminant de la croissance et du Développement économique. Il devrait se situer à un niveau qui permette à la fois une Consommation élevée des salariés et des investissements des entreprises satisfaisants. b) La répartition secondaire retraités), de Personnes malades ou accidentées. C’est pourquoi va s’opérer une deuxième répartition, dite Répartition secondaire.
La protection sociale La protection sociale désigne tous les mécanismes collectifs permettant aux individus de faire face Aux conséquences financières de certaines situations pénalisantes (maladie, perte d’emploi… ). Les objectifs de la protection sociale : Les objectifs de la protection sociale sont d’assurer et d’assister. ASSURER : La logique dassurance sociale couvre certains risques de perte de revenu en cas de Chômage, maladie, vieillesse et accident du travail.
Quand ces évènements adviennent, les Travailleurs qui ont cotisé touchent des prestations sociales. ASSISTER : La logique d’assistance instaure une solidarité entre les individus pour lutter contre Les formes de pauvreté. Il s’agit d’assurer aux plus pauvres un revenu minimum (RMI, minimum vieillesse). Le financement de la protection sociale Le financement de la protection sociale est assuré par 3 moyens : ?? Par les cotisations sociales versées par les salariés et par les employeurs. ?? Par des impôts et taxes affectés Conclusion Suite à ces données, nous constatons tout d’abord l’importance des opérations de combinaisons des différents facteurs, qui permettront à l’économie de repartir ses richesses. Cependant, même si la production est élevée les techniques de répartition ne sont touiours pas à la ttentes de la population. même si la production est élevée, les techniques de répartition ne sont touiours pas à la hauteur des attentes de la population.