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PARTIE 1 _QUESTIONS SUR LE COURS DEPUIS LE DÉBUT DE L’ANNEE Expliquer le principe de rationalité des agents économiques. Donnez deux exemples dans lesquels il s’applique. Le but de tout agent est de maximiser son intérêt, le consommateur va donc être rationnel dans ses choix. Il va utiliser efficacement les moyens disponibles pour atteindre son but. Ainsi de la même façon que le but d’une entreprise est maximiser son profit, un consommateur aura pour objectif de maximiser son utilité. Pour se faire de combler au mieux s or 12 qui lui procure la plu Sni* to View consommateur va êt contexte de rareté d contraintes temporelles). i lui permettront u secondaires), pendant, le ix, dans un raintes budgétaires, Illustrons ce principe de rationalité par un exemple : un consommateur disposant de toute l’information sur les différents prix qui recherche par exemple un ordinateur, saura donc exactement quels sont tous les prix affichés sur tous les modèles et ira directement faire le bon choix, obligeant ainsi les entreprises concurrentes à pratlquer des prix les plus bas possibles pour attirer ces clients (parfaitement informés). omblent un bien ou un services. Les besoins peuvent être primaires (Vitaux) ou secondaires (c’est à dire liées au contexte ocio culturel), objectifs ou subjectifs… Cependant, le consommateur va devoir faire des choix, en effet il est soumis à deux types de contraintes : contraintes budgétaires et contraintes temporelles. Ces contraintes temporelles désigne le fait que le consommateur ne peut, dans certains cas, consommer deux biens ou services dans le même laps de temps.

Ainsi, on peut expliquer la contrainte temporelle par un simple exemple Un individu ne pourra pas partir à Punta Cana ou à Bali en même temps durant les vacances de la Toussaint. En quoi le PIB est un indicateur imparfait ? Bien que le Produit Intérieur Brut (PIB) soit intéressant puisque il permet d’avoir un aperçu concret du niveau de la richesse créée durant une période donnée, l’indicateur présente de nombreuses imperfections.

En effet les mesures sont faussées puisqu’il il prend en compte des dépenses défensives et réparatrice, ce qui ne fait que compenser des affections au bien-être de la population et n’y contribue pas réellement. Il existe d’autres imperfections : il n’enregistre que les échanges monétaires, il ne tient donc pas compte de la production domestique) ; il est difficile de faire la distinction entre la part due ? ‘amélioration de la qualité des produits et de ce qui est dû à la hausse des prix ; il n’enregistre pas non plus Pensernble de l’activité dite « souterraine » : fraudes fiscales, contrefaçons, travail au noir, trafics. l ne tient pas compte des dé réciations du patrimoine privé et national liées notamment PAGF 19 pas compte des dépréciations du patrimoine privé et national liées notamment à la pollution et à la dégradation ; il ne tient pas compte du revenu des agents, des inégalités de répartition de cette richesse nationale. Ce n’est pas un indicateur de bonheur national ni de développement. Ce n’est pas un indicateur de bien-être individuel ou collectif. Cest pour ces raisons que les économistes ont établi de nouveaux indicateurs afin de compléter ces imperfections que présente le PIB.

Distlnguer les différents mécanismes de redistribution. Le mécanisme de redistribution a pour but, d’après le prix noble d’économie 2008, Paul Krugman, de réduire les inégalités de revenu d’une part et de lutter contre l’insécurité économique de l’autre. Il s’effectue alors selon deux logiques -premièrement, une logique d’assurance où les personnes ayant un emploi payent des cotisations sociales ce qui leur donne roit à des prestations sociales en cas de problèmes de santé (maladie… ) ou financiers liés à leurs situations.

On parle alors de redistribution horizontale : les personnes en bonne santé payent pour avoir droit à des aides mais également pour aider les personnes en ayant besoin. -deuxièmement, une logique d’assistance où les personnes les plus aisées vont payées des impôts pour financer des aides pour les plus pauvres donc touchant de plus faibles revenus ou même rien du tout. On parle alors de redistribution verticale ou les revenus rentrent réellement en compte, des plus riches vers les lus pauvres. 19 d’ouverture ? Le taux d’ouverture d’une économie mesure la place que tient le reste du monde dans l’économie d’un pays.

Il est défini grâce au calcul ci dessous : Il permet ainsi de mesurer les niveaux de dépendance d’un pays. On dit qu’un pays avec un très faible taux d’ouverture, possède une économie fermée et qu’il vit en quasi autarcie. Un pays à fort taux d’ouverture a une économie extravertie et une situation de libre échange. Rappeler les caractéristiques d’un fait social selon Durkheim. Le fait social est l’objet d’étude de la sociologie selon Émile Durkheim. Il décrit tous les phénomènes, tous les comportements, toutes les représentations idéologiques, religieuses, esthétiques.

Le fait social répond à ces quatre critères: La généralité : un fait social est, par définition, marqué dune certaine fréquence dans une population. L’extériorité : le fait social est extérieur aux individus ; il ne se situe pas dans la sphère individuelle mais dans la sphère collective, la sphère sociale. Le pouvoir coercitif : le fait social s’impose aux individus, il ne résulte pas d’un choix individuel mais il est le fruit d’une combinaison de différents facteurs sociaux. ?conomiques, historiques, géographiques, politiques…

Le quatrième critère est le critère historique. pour qu’un fait devienne social, il faut qu’il se généralise et donc, un fait divers nouveau ne peut être social avant une certaine période. Exemple : avant, les jeans e inventés) portés par les sont désormais portés par « tout le monde » Selon Durkheim, le fait social dans une société est donc un phénomène suffisamment fréquent pour être dit régulier et suffisamment étendu pour être qualifié de collectif, qui est au- dessus des consciences individuelles et qui les contraint.

En ffet l’individu ne perçoit pas naturellement les faits sociaux qu’il rencontre, en dehors des stéréotypes qui sont couramment véhiculés. Cette définition purement théorique fut une révolution pour l’époque. Expliquer le principe de la théorie de « l’habitus » selon Bourdieu. En latin, habitus est un mot masculin définissant une manière d’être, une allure générale, une tenue, une disposition d’esprit. La notion d’ habitus a été popularisée en France par le sociologue Pierre Bourdieu et met en évidence les mécanismes d’inégalité sociale.

Le concept d’habitus est utilisé pour rendre compte de ‘ajustement qui s’opère le plus souvent « spontanément » : il s’agit d’expliquer « cette sorte de soumission immédiate ? percevoir le monde social et ses hiérarchies comme allant de sol. Le rôle des socialisations primaire (enfance, adolescence) et secondaire (âge adulte) est très important dans la structuration de l’habitus. Par le biais de cette acquisition commune de capital social, culturel, les individus de mêmes classes peuvent ainsi voir leurs comportements, leurs goûts et leurs « styles de vie » se rapprocher jusqu’à créer un habitus de classe.

Bernard Lahire reprochera plus tard à Bourdieu de concevoir ue les milieux restent « figés » dans la société. Aujourd’hui entre autre avec le développement des médias et d’internet, les individus vivent PAGF s 9 société. Aujourd’hui entre autre avec le développement des médias et d’Internet, les individus vivent dans des milieux plus hétérogène, d’où le principe d’homme pluriel (individu caractérisé par plusieurs milieux socialisateur, parfois complémentaires). Distinguer la désocialisation et la dyssocialisation.

Tous les individus ont, au cours de leurs vies, plusieurs socialisations durant laquelle ils vont intégrer, les normes, les aleurs et les pratiques sociales et culturelles de la société dans laquelle ils vivent. Cependant certains individus vont devoir faire face à une perte éventuelle de repères liés à une situation particulière caractérisée par des difficultés : cette situation est appelée désocialisation. L’individu en question va donc trouver des moyens de se restructurer pour ne pas se marginaliser. On distingue de cette situation, la dyssocialisation.

En effet, la dyssocialisation représente un écart entre les aspirations d’une génération et la situation réelle. La dyssocialisation peut amener dans certains cas à une désocialisation. La dyssocialisation est un processus fondé sur une période longue alors que la désoclalisation survient suite à un élément ponctuel. Qu’est ce que la valeur ajoutée ? Rappelez comment cette dernière se partage au sein d’une entreprise. Expliquez. La Valeur Ajoutée représente la richesse crée durant le processus de production.

Elle est représentée par la différence du chiffre d’affaire hors taxe moins les consommations intermédiaires (biens utilisées qui sont détruits ou transformés durant les processus de production les processus de production) Dans une entreprise, la VA est répartie entre l’entreprise (sous orme de Taux de Marge), les ménages (sous forme de salaires) et l’Etat (on rappel que la part reversée à l’Etat reste constante, 2 à 3 Si la part de l’entreprise augmente celle des ménages diminuera et inversement, c’est pourquoi la courbe du Taux de Marge suit une évolution inverse à celle des salaires.

C’est notamment à cause de cette répartition qu’apparaissent des conflits au sein de l’entreprise. Qu’est ce qu’un groupe social ? un groupe social est un ensemble de personnes étant en interaction (directe ou indirecte), conscientes qu’elles appartiennent au même groupe, et qui sont désignées membres u groupes par les autres individus. Il convient alors de distinguer les groupes sociaux par rapport aux autres individus tels que . -les simples agrégats physiques (personnes ne se connaissant pas étant au même moment, au même endroit). les catégories sociales (les CSP, constructions statistiques qui ne sont pas réelles). On va distinguer les différents groupes sociaux grâce à : leurs tailles la proximité entre les membres Par exemple, un groupe est considéré comme petit car il comporte un nombre limité d’individus, les relations des individus au sein du groupe sont plus intimes, plus intenses. a forme des relations le but des rencontres Ainsi on peut faire la différence entre les groupes primaires (ensemble de personnes caractérisées par des relations fréquentes sans de but.

Le rau e rimaire est de petite taille et plus durable) et les group (ensemble de personnes plus durable) et les groupes secondaires (ensemble de personnes caractérisées par des relations impersonnelles. Il est souvent de grande taille et non-durable). Expliquer le phénomène de « frustration relative » selon Merton. Le phénomène de frustration relative sert de base à une comparaison au groupe d’appartenance. En effet l’individu va analyser la situation du groupe en dessous du sien, si ce dernier s’améliore contrairement à celui auquel il appartient, l’individu va conclure à une détérioration.

Ainsi Merton fait apparaitre que la « frustration relative » des soldats américains est liée au groupe de référence choisi (supérieurs de l’armée… ). De même cela permet d’étudier l’autorité du groupe, de mettre en évidence les systèmes de rôles et de statuts ainsi que les situations de conflits de rôles. Définir la notion de réseau social Un réseau social représente l’ensemble des relations entre plusieurs acteurs. Cet ensemble peut être organisé ou non (entreprise/groupe d’amis), en font partis différents acteurs tels que des individus mais aussi des ménages ou encore des associations.

En quelque sorte, les acteurs sont « encastrés » dans les réseaux sociaux qui exercent des contraintes sur eux. Les individus vont tenter d’évoluer en société et donc à pénétrer au sein de nouveaux groupes sociaux, cela s’appelle la sociabilité formelle (les règles sont imposées dans le réseaux social/ex : entreprise) ou informelle (les règles sont intuitives/ ex : groupe d’amis) Distinguer lien fort et lien faible. Dans un réseau social, des liens apparaissent. Ces liens qui représentent une relation entre deux personnes, sont plus o 9 liens apparaissent.

Ces liens qui représentent une relation entre deux personnes, sont plus ou moins forts. Cependant sa force n’est pas mesurable en tant que tel. C’est pourquoi quatre paramètres ont été défini pour tenter de la déterminée . le temps l’intensité l’intimité la confiance On peut alors séparer distinctement le lien fort qui est une relation entre deux individus (entre deux amis, au sein d’une famille… ), et lien faible qui exprime une relation beaucoup lus lointaine, beaucoup plus intense (ami dun aml, un ancien collègue… . Donner quelques éléments de biographie simple pour les auteurs suivants : Joseph Schumpeter Joseph Schumpeter est né dans une famille de la bourgeoisie autrichienne. Il étudie le droit à Vienne au début du XXe siècle, dans une université qui est alors un des hauts lieux de la réflexion économique. A 26 ans, il entame une carrière universitaire qui l’amène notamment à enseigner à runiversité de Columbia, avant de revenir à Bonn (jusqu’en 1934), puis d’être nommé ? Harvard (où il terminera sa carrière).

Fondateur de la Société d’économétrie, il en devient le premier président en 1 937, puis est élu en 1948 président de l’American Économic Association. Joseph A. Schumpeter était un économiste distingué, flamboyant, souvent arrogant, et d’une immense érudition. Les brillantes nécrologies qu’il a rédigées sur les économistes de son temps, ses textes devenus des classiques en histoire de la pensée économique, sa profonde connaissance des débats économiques ou encore sa magistrale Histoire de l’analyse économique publiée par son épouse E-lizabeth a rès sa mort, en témoignent amplement. Mais Schu