Commentaire sur l’Argent de Zola. intro: Emile Zola, écrivain et journaliste du XIXe siècle, publie en 1891 le roman naturaliste L’Argent. Celui-ci est le dix-huitième volume de la série Les Rougon-Macquart. Ce roman parle de la spéculation financière et l’extrait que nous allons étudier l’évoque tout particulièrement. En quoi ce texte est-il épique ? Dans un premier temps, nous observerons le cadre figuré de la bataille et dans une seconde partie, nous montrerons la volonté de rendre le texte épique. to page l. le cadre figuré de I Dans cet extrait de r a spéculation notam nous fais part.
Ici, en or 2 Sni* to View que Zola condamne e la guerre dont il en’er que l’auteur créé une vaste métaphore til e du combat avec la présence notamment du champs lexical de la guerre comme par exemple, L. 5 « chaque jour ammena sa bataille » ou encore L 14 ‘En chef d’armée » et également L. 16 « sacrifiant ses derniers soldats » L’utilisation de cet effet est surprenant pour le contexte du texte, mais il permet ainsi à l’auteur de donner un aspect exagérément violent au point d’en être ridicule à la situation. Le décalage entre e sujet et le registre rend ainsi le texte plus épique.
On peut également voir que le personnage épique va échouer car son combat est voué à l’échec et que le système boursier va le vaincre. Celà est bien montré L25-26 « déjà sans sans ressources, réduit à lancer du papier de circulation » mais aussi L. 38 « le tenir, impuissant à découvert ». L’action du personnage est un acte désespéré. Il. La volonté de rendre le texte épique. Le texte est rendu épique grâce aux métaphores, en effet, elles servent l’allégorie et crées une image explicative et simplificative ‘un domaine complexe.
On peut le voir L. 47 » Dans ses nuits sur les ruines de tout ». Il l’est aussi car il y a une mise en évidence, en avant de la spéculation. Le personnage semble ainsi prisonnier d’une bataille perdue, montré L. 5 « Le 7, le 8 , elle baissait de nouveau » ainsi que L. 6 « l’entrainait peu à peu dans une chute lente. Cet extrait est également épique du fait qu’il y est un décalage entre un registre antique et un sujet moderne. Celui-ci créé un effet particulier qui choque le lecteur et qui ainsi l’attire forcement.
Il a surtout un but de dénonciation d’un système comptemporain et qui semble hors de contrôle. Grâce notament au rythme qui est trés rapide et une accumulation crée par un enchaînement d’événements montrés L. 3 à 6 « Seulement, le 5, de nouveau. » par exemple. On observe également une chronologie tout au long du texte L. 5 « Le 7, le 8 » puis L. 20 « Le 9″ et L. 23 » du 15 Avec tout ces procédés, Zola souhaite nous montrer une image péjorative, le personnage ne regagne pas d’argent, il en perd et fait semblant, ainsi d’en gagner.