Dissertation

Dissertation Les personnages de roman restent-ils pour vous des figures de papier au peuvent-ils toucher comme s’ils étaient devenus, pour vous, des personnes réelles ? Plan l) Un personnage de papier au service de la reflexion A. Le personnage au service d’une réflexion d’un idéal et une portée didactique, une volonté d’instruire le lecteur. Princesse de B.

Le personnage au service d’une réflexion philosophique Il) Le personnage du roman peut devenir bien réel et toucher le lecteur A) Le roman met en complètes qui devien n or 4 compassion B) Des personnages Ill) Le personnage de Sni* to View x identités ivants qui incitent la réalité : des êtres ambivalents qui s’inspirent du reel pour mieux le dépasser A) Le personnage qui reflète le changement des mentalités et des idées subversives B) Le personnage qui reflète la dualité de Hêtre humain Intro Le roman et ses personnages ont fait l’objet d’une grande méfiance, et notamment de la part de l’église qui voyait avec suspicion le rapport complexe entre fiction et réalité. Le personnage romanesque et ses caractéristiques se sont développés au fil du temps.

Nous pouvons donc nous demander si le personnage reste uniquement une image bstraite ou devient-il de réelle personnalité avec laquelle le lecteur peut s’identifier ? Nous allons voir dans un premier temps réflexion. Dans un second temps, nous regarderons comment le personnage vraisemblable peut devenir humain et toucher le lecteur. Finalement, nous inspecterons comment un personnage entre la fictlon et le réel empruntent une touche de réalité pour mieux la décrire. Premièrement, Le personnage de papier permet aux lecteurs une réflexion approfondies sur des philosophies. A) Le personnage représente un idéal et une portée didactique. Ce ersonnage veut instruire les lecteurs et montrer une conception de son idéal.

Le personnage éponyme dans la Princesse de Clèves, écrit par Madame de Lafayette, nous incarne un idéal et est le reflet de la société de son époque : le classicisme. Elle est une beauté parfaite, socialement élevée et vertueuse. Elle provoque, chez la part du lecteur, une admiration pour ses qualités mais surtout pour un concept de la vie que Mme De Lafayette nous peint. B) Le personnage permet aussi une réflexion philosophique. A travers ce personnage, se posera une multitude de questions hilosophique comme dans le personnage de Meursault dans L’Etranger par Albert Camus. Meursault, personnage principale du roman va rester, comme le titre de l’œuvre nous l’indique ‘étranger au lecteur.

Aucune description ni physique, ni morale nous est donnée. Nous n’apprenons son nom qu’à la troisième page. Toutes les péripéties sont faites pour remettre en question la condition humaine. Quand Meursault commet un meurtre, il prend conscience de la gravlte de son crime et de la mort. Ce personnage de figure nous plonge donc dans l’absurde. Il) Toutefoi PAG » OF d son crime et de la mort. Ce personnage de figure nous plonge onc dans rabsurde. Il) Toutefois, le personnage du roman peut aussi devenir bien réel et toucher le lecteur. Le roman met en scène des personnages aux identités complètes qui deviennent des personnages vivants et qui suscitent la compassion et l’empathie.

Le personnage du roman au XIXème fait l’objet d’une description très détaillée qui fait que le lecteur s’attache car il le personnage voit comme une personne appart et entier et va développer des sentiments pour lui. Par exemple dans L’Assommoir de Zola, Gervaise appartient à la fresque romanesque des ‘Roumon- Macquart’, on sait qu’elle vient ‘Aix en Provence et est venue a Paris pour s’installer, on connait le nom de ses enfants ( Claude, Etienne, Anna et ses efforts déployés pour sa boutique. Le lecteur ne peut que suciter de la Pitie quand il la voit mourir dans sa cage d’escalier. Les personnages qui nous semblent humains sont aussi les personnages auxquels on s’identifie.

La création d’un personnage, auquel le lecteur va s’identifier, permet l’étude du cœur humain. A la base, François Mauriac s’est inspire d’un vrai procès d’Henriette Canaby, une femme qui avait essayé d’empoisonner son mari car elle avait un amant. En écrivant l’histoire de Thérèse Desqueroux, personnage qui a été complexifie à partir de la femme au procès, Mauriac souhaite que les lectrices dans des milieux bourgeois provinciaux se retrouvent dans le personnage de Thérese. Mauriac va prendre la part de Thérèse dans sa préface, et questionner la notion de mons Thérèse. Mauriac va prendre la part de Thérèse dans sa préface, et questionner la notion de monstre dans l’épigraphe.

Le personnage de roman peut être finalement un amalgame de réalité et sublime, des êtres ambivalents qui s’inspirent de la réalité pour la dépasser. Le personnage ambivalent peut refléter les mentalités et des idées subversives. II va servir de miroir pour les changements des sociétés donc des changements réels et utiliser le fictif pour introduire les idées subversives. La Marquise de Merteuil représente sa société avec son image de ‘femme vertueuse’ tout en utilisant des idees subversives comme l’art machiavélien de la dissimulation et des tromperies des hommes afin de ‘venger son sexe’. Le personnage ambivalent nous montre aussi une dichotomie, une dualité qui existe dans la nature humaine.

L’homme peut soit être cruel et méchant ou bon et philanthrope. Nous pouvons boir cela dans le personnage des Misérables, par Victor Hugo, Jean Valjean. Jean Valjean est un ancien Forçat qui est allé aux bagnes pour avoir voler du pain, mals ce dernier va prouver son autre nature humaine qui est charitable et respectable en sauvant Mr. Fauchelevent et Cosette. Conclusion En conclusion nous pouvons dire que les personnages peuvent soit etre fictifs et didactique ou soit humains et touchant. Nous pouvons aussi penser aux personnages qui etaient initialement fictifs et qui sont devenus des noms communs par antonomase comme Gavroche et Rastignac.