Université du Québec en Outaouais L’impact de factivité physique sur le stress lié aux études Par Gabriel Desgagné Geneviève Gregoire-Harel Amélie St-Aubin Département de psy e or 5 Sni* to View Travail présenté ? Josée Caron ARU-9003 Atelier de réussite universitaire Avril 2014 Table des matières Sommaire Introduction générale 3 2. Développement 4 2. 1. Conséquences psychologiques4 hologie nombreux autres avantages apparaissent chez les individus n’ayant pas un mode de vie sédentaire. ? Il semble que lorsqu’on utilise l’activité physique dans le traitement de pathologies omme la dépression ou l’anxiété, il est important de considérer le plaisir associé à l’activité physique. En effet, il semble que plus le plaisir associé à l’activité physique est grand, meilleurs seront les bénéfices sur le bien-être psychologique » (Wankel, 1993). Ces affirmations s’appliquent de façon égale que ce soit dans la population en bonne santé ou parmi les personnes qui ont déj? souffert de dépression.
Effets sur l’anxiété Selon la quasi-totalité des recherches pertinentes sur le sujet, tous s’entendent sur un pont important : l’effet princpal de ‘activité physique sur le plan psychologique est sans équivoque au niveau de l’anxiété. Les études faites à ce propos tendent ? être centrées non sur le stress par rapport aux études spécifiquement, mais bien sur l’activité principale de l’individu (incluant par le fait même le travail, les études ou tout autre type d’activité comme le bénévolat). Plusieurs ont déjà expliqué l’effet de l’exercice sur la santé mentale, mais aucun n’a encore été prouvé.
Les deux principales théories avancées jusqu’? aujourd’hui selon l’Instltut canadien de la recherche sur la ondition physique et le mode de vie (2011) sont les suivantes: La théorie des processus antagoniques: Selon cette théorie, le cerveau contre un stimulus en envoyant un stimulus contraire. Ainsi, il peut contrer la douleur engendrée par un exercice en envoyant un stimulus agréable. Cendorphine si controversée pourrait être la substance chimique à Horigine de cette sensation agréable. Les processus antagoniques augmentant avec le temps, l’origine de cette sensation agréable.
Les processus antagoniques augmentant avec le temps, Vexercice à long terme mènerait au ameux état d’euphorie ou de aperception altérée» dont parlent les coureurs. Hypothèse de la distraction: Dans ce cas•ci, l’éloignement psychologique des stimuli stressants est le secret de l’amélioration. Des études appuient cette théorie, mais elles suggèrent que d’autres mécanismes entrent aussi en ligne de compte. En fait, pourquoi l’exercice aurait-il un effet plus grand au niveau de la diminution de l’anxiété que d’autres interventions qui distraient également les gens de leur routine quotidienne? http://wwN„’. cflri. ca/media/node/842/files/dr9407. pdf) Quelle qu’en soit la cause, l’exercice physique procure quelque chose de positif chez l’individu, qui la pratique en réduisant considérablement le niveau d’anxiété. Il existe des données qui suggèrent qu’un exercice physique intense produit « un effet positif sur la qualité de l’adaptation face au stress et ce autant chez les hommes que chez les femmes. (Weinberg & Gould, 1997). Effets sur la dépression ‘exercice physique tient également un rôle bien important ? titre de « protection » cantre la dépression ou de traitement contre cette dernière.
Pour la dépression profonde, par contre, le raitement exige habituellement un traitement professionnel qui peut inclure l’utilisation de médicaments et/ou une psychothérapie, l’activité physique n’étant alors qu’un complément à ces deux méthodes (Mems, 1994 ; Morgan & Goldston, 1987). Les ouvrages scientifiques précisent justement qu’un état dépressif et l’inactivité physique vont de pair. Selon une étude, il ne suffit que de 30 minutes d’exercices rigoureux, trois fois par semaine, pour soula er les sy que de 30 minutes d’exercices rigoureux, trois fois par semaine, pour soulager les symptômes d’une dépression majeure.
Il emble que la solution de l’exercice physique pour traiter la dépression permet non seulement d’éviter les effets secondalres d’un médicament, mais aussi d’obtenir un taux de rechute très inférieur (Strôhle, 2013). Autres effets possibles Faits intéressants, les jeunes qui pratiquent fréquemment un sport (les sportifs) sont moins enclins à « consommer des cigarettes et des drogues, ont des comportements sexuels moins à risque, c’est-à-dire qu’ils utilisent davantage des moyens contraceptifs ainsi que des moyens afin d’éviter la transmission de maladies, adoptent également un comportement moins violent. Page, Hammermeister, Scanlan et Gilbert, 1998). L « activité physique procure de façon générale un meilleur équilibre de la santé mentale et agit à titre de prévention et de diminution des maux mentaux. La perception de soi est renforcée, le bien-être physique et le bien-être émotionnel augmentés. Conclusion Générale Bibliographie Allison, K. R. , Adiaf, E. M. , Irving, H. M. , Hatch, J. L. , smith, T. F. , Dwyer, J. J. M. , & Goodman, J. Relationship of vigorous physical activity to psychologic distress among adolescents. The Journal of adolescent health : official publication of the Society for
Adolescent Medicine, 37(2), 164. Bernier, D. (2004). Étude comparative des stratégies d’adaptation, de l’estime de soi et de la perception du soutien maternel chez des adolescents participant à un programme sport-études ou ? un programme régulier. Université du Québec à Trois-Rivières. Repéré à http://depot-e. uqtr_ca/4661/ Disponible chez Érudit http://www. erudit. org/ Éru chez Érudit : http://www. erudit. org/ Érudit database. De Matos, M. G. , Calmeiro, L. , & Da Fonseca, D. (2009). Effet de l’activité physique sur l’anxiété et la dépression. La Presse Médicale, 38(5), 734-739. doi: ttp://dx. oi. org/10. 1016/j. Ipm *2008. 08. 015 Émond, D. (2006). Indices d’asocialité et niveau d’estime de soi d’étudiants entre 12 et 18 ans faisant partie d’un programme sports-études en soccer, d’un programme musique-études ou d’un programme régulier. Repéré ? http://depot-e. uqtr. ca/1 530/11000131075 . pdf Flak, M. (2008). Des enfants qui réussissent : le yoga à l’école. Paris: Desclée De Brouwer. Lagarde, F. (1984). Sante et activite physique. Québec: Kino- Québec. Laure, P. , & Binsinger, C. L’activité physique et sportive régulière : un déterminant des résultats scolaires au collège.
Science and sports, 24(1 31-35. doi: 10. 1 016/j. scispo. 2008. 05. 001 Lemoyne, J. , & Valois, p. Prédicteurs de la pratique de l’activité physique chez des étudiants du collégial. Canadian Journal of Behavioural Science / Revue canadienne des sciences du comportement. d0i: 10. 1037/a0030221 Lessard, M. (1986). Étude du comportement des élèves en éducation physique de niveau secondaire. Repéré ? . pdf Québec, Kino-Québec, & Nolin, B. (1996). L ‘activité physique de loisir au Québec : une analyse en fonction des bénéfices pour la santé. Québec Montréal: Kino-Québec.