economie mondiale

Semestre Module Elément Enseignant Introduction en Sciences Economiques Economie Mondiale Mr Seddik MOUAFFA Eléments du cours CICIntroduction Géné oru Sni* to View DÜ3ref historique de l’ conomie mondiale CIOHétérogénéité de l’économie mondiale OTadre historique de l’économie mondiale DÛCadre juridique et institutionnel des échanges économiques internationaux OCActeurs de l’économie mondiale Numérisation & Conception Mr Mohamed. q-adil ZIADI Le Portail des Etudiant d’Economie wv ». e-tahero. net contact@e-tahero. net b- Outils de mesure modernes : IDH et PIB- ppA.. C] Indicateur de développement human : IDH .

PIB en parité de pouvoir d’achat : PIB- 2- Origines des inégalités de développement : 7 a- Phénomène naturel : b- Phénomène conjoncturel c- Phénomène structurel : IISituations spécifiques de développement . 1- Les pays les moins avancés : 8 2- Nouveaux pays industrialisés : 3- Pays en transition vers le capitalisme : Chapitre 3 : CADRE HISTORIQUE DE L’ÉCONOMIE MONDIALE. IDiversité des échanges économiques internationaux 1- Échanges des biens : PAGF OF 2- Échanges des services 3- Mouvements des capitaux llMesure des échanges économiques internationaux : — 1- Principaux constructions de la balance des aiements : . – Agents résidants et non résidants 9 b- Catégories d’opérations recensées dans la balance des paiements : c- Règles comptables 10 • 10 d- Balance des paiements : document comptable : Cl Actions courantes Capitaux à long terme Cl Capitaux à court terme e- Balances partielles : Soldes de la balance des paiements PAGF Chapitre 4 : CADREJURIDIQUE ET INSTITUTIONNEL DES ÉCHANGES ÉCONOMIQUES INTRNATIONAUX….. 12 Iorganisation mondiale des échanges dans le cadre du G. A. T. T et de l’O. M. C… . 12 1- Principes fondamentaux du G.

AT. T et de l’O. M. C 2- Négociations commerciales multilatérales : llPrincipaux regroupements reglonaux • 1- Union du Maghreb Arabe (IJ. M. A) 13 IllBanque mondiale (B. M) et le fond monétaire international (F. M. I) : Chapitre 5 : ACTEURS DE L’ÉCONOMIE IDiversité des acteurs 14 Ilétats IIIFirmes multinationales : . . 1- Conquête des nouveaux marchés — 2- Réduction des coûts de production — portail des étudiants d’économie prof Mr seddik MOUAFFAK Mondiale INTRODUCTION GENERALE @ www. -tahero. net 15 ———Economie e champ de l’économie mondiale couvre une palette très large de questions. Dans ce cours nous allons présenter les rouages essentiels, nsuite on va passer en revue les problèmes majeurs auxquels sont confortés les acteurs économiques d’aujourd’hui. L’économie mondiale donne lieu à de nombreux débats pour lesquels nous allons mettre en perspective les plus essentiels.

La mondialisation économique et financière bouleverse les conditions d’exercices de la politique économique, ainsi que les stratégies des entreprises impliquées dans ce mouvement de mondialisation historique par son ampleur. L’indépendance croissante ainsi provoque des comportements de concurrence entre Etats et conduit parfois à de violentes crises financières. La mondialisation suscite néanmoins des tentatives de réponses collectives, au sein d’un e nal.

L’instabilité et le PAGF s OF l’économie mondiale comme une triple réalité : Première réalité : l’existence d’un espace géographique dont les limites ne varient que lentement, et qui n’entretient avec les autres économies mondes que des relations d’échanges marginales ; Seconde réalité : l’économie monde accepte toujours un centre, ? la fois ville et port ; Troisième réalité : elle est hiérarchisée et se présente comme une immense enveloppe où se structurent des zones successives.

ICentre et périphéries • Autour de la ville centre s’articule une succession d’anneaux : premier anneau : l’espace économique qui cerne immédiatement cette ville centre (une partie de l’Angleterre lorsque Londres, au 18ème siècle, domine le monde). Un second anneau est formé de zones intermédiaires ou semi périphériques. Vient enfin la pérphérie, très large. llBasculement des centres : L’histoire de l’économie monde européenne est, selon Braudel, celle d’une succession de basculement de centres.

Ainsi, après l’hégémonie de Venise (d’environ 1350 ? l’extrême fin du 15ème siècle) c’est Anvers qui prend le relais (de 1500 à 1550/60), ensuite Gêne 1550/606-1 590/1610). Au début du 16ème siècle s’affirme et triomphe Amsterdam d’abord (1 590/1610-1780/1815), puis le relais est pris par Londres, avant que le centre, dans les années 1920 de notre siècle, ne franchisse FAtlantique au profit de New York. Jusque vers 1750 les centres dominateurs ont été uniquement des Etats villes.

Avec l’affir PAGF 6 OF passant du stade de la production infra-marchande au stade de féconomie de marché. Désormais on a une ville ayant des liens privilégiés avec un marché intérieur et, au-delà, des antennes sur le reste du monde. En quelques décennies, l’espace territorial ournit à Londres les moyens de devenir le cœur de « l’atelier du monde ». IVDe l’économie nationale à une économie mondiale quasi désenclavée : Du monde cloisonné d’avant le 16ème siècle, nous sommes passés, depuis le début du 20ème siècle et surtout depuis 1945 à un monde quasi désenclavé.

Hommes, produits, capitaux circulent, mais fondamentalement au cœur, les périphéries jouant encore à la marge tout en offrant déjà un degré d’intégration dans l’économie mondiale, jamais atteint jusqu’alors. Un monde quasi désenclavé qui n’en finit pas de basculer d’un centre à l’autre. Aussi certains bservateurs avertis n’ont pas manqué de poser la question suivante : serions-nous, depuis la fin des années 1970, au cœur d’un grand basculement des structures de l’économie mondiale ? lusieurs symptômes le suggèrent. D’abord le bassin atlantique ne serait il pas en train de perdre de sa prédominance au profit du bassin pacifique ? n’assisterions-nous pas à une jeunesse renouvelée de l’économie mondiale autour du Japon , de nouvelles Etats villes, Singapour et Hongkong, des interfaces californienne et européenne, peut être chinoise demain ? Ensuite l’ouverture au marché mondial de l’ExUnion soviétique et de ses nciens satellites européens, de la Chlne aussi, n’ajouterait-elle pas une nouvelle donne ?

Enfin, pourrait on négliger les effets d’un foyer européen communautaire ? Un schéma inédit d’économie mondiale, dont la olynucléarité témoignait de la jeunesse, serait en cour PAGF 7 OF d’autres centres. 4 —Économie Chapitre 2 : HÉTÉROGÉNÉITÉ DE L’ÉCONOMIE MONDIALE Sur les 207 pays, îles et territoires classés par la banque mondiale, 80 appartiennent à la catégorie des pays pauvres (un peu moins de 40:), 44 (un peu plus de 207. ) ? celle des plus pauvres, selon le critère de PNB par habitant.

Comme le souligne encore la banque mondiale, « le fardeau de la pauvreté est inégalement réparti entre les régions du monde en développement, entre pays ? l’intérieur de ces régions et entre localités à l’intérieur de ces pays Depuis Alfred Sauvy, le tiers monde représente pensemble des pays les plus démunis, mais force est de constater aujourd’hui que ce concept ne représente plus une réalité homogène. En effet, nombre d’économies, hier en voie de développement, affichent des performances dignes des grands pays industrialisés.

A l’inverse, le rattrapage des uns n’a pas empêché un appauvrissement es autres et l’on peut s’interroger sur la persistance et l’aggravation de telles inégalités. Pour mieux cerner cette hétérogénéité de l’économie mondiale, il semble nécessaire d’analyser les inégalités de développement entre les pays (section 1), analyse qui permettra ensuite de distin uer les situations spécifiques oins avancés (PMA), des Afrique 11,2K Asie 26,5 Amérique Autres pays Le niveau de développement que l’on peut mesurer à raide de l’indicateur du développement humain est la conséquence de la croissance de l’économie.

On constate que ce développement est très inégal. Le 1/5 le plus riche de la population mondlale dispose de 857. des richesses, alors que le 1/5 le plus pauvre ne dispose que de 1. 4z des richesses. * le déséquilibre démographique : les pays les plus pauvres connaissent un accroissement naturel nettement plus élevé que loppés. On estime que les la répartition des richesses sur la planète, on reste frappé par la persistance et l’aggravation des inégalités dans certains régions du monde.

Comment comptabillse-t-on ces inégalités de développement et quelles en sont les origines ? 1- Mesure des inégalités de développement a- Outil de mesure classique : PIB Le produit intérieur brut (PIB) chiffre les activités génératrices de revenus, et le taux de croissance permet de comptabiliser sa progression annuelle. Cependant, ces deux indicateurs macroéconomiques révèlent une vue partielle et souvent tronquée de la réalité. pour affirmer l’analyse, on utilise le PIB par habitant.

Ce dernier est un indicateur du niveau de vie du pays, qui permet d’évaluer ce que serait la part de chacun si les fruits de la croissance étaient équitablement distribués. Outre le fait que cette répartition soit très souvent inégale dans les pays industrialisés, elle ne revêt lus aucun sens pour les économie en développement. En définitive, le PIB donne des indications utiles sur les mouvements de production de biens et de seraices.

Il ne mesure pas la qualité de la vie mais bien la quantité de produits. Dés lors, dautres indications semblent nécessairement si l’on veut mieux appréhender les différences de développement. b- Outils de mesure modernes : IDH et PIB-PPA Depuis quelques années, des organisations internationales critiquent le PIB comme seul outil de mesure de la richesse des nations et utilisent de plus en plus fréquemment d’autres indications synthétiques.