La Cantatrice Chauve De Eug Ne Ionesco

La cantatrice chauve de Eugène Ionesco Cette « anti-pièce » en un acte et onze scènes a été créée en mai 1950 par Nicolas Bataille au théâtre des Noctambules à Paris. Elle fut ensuite publiée dans trois numéros des Cahiers du Collège de Pataphysique en 1952. Résumé de La cantatrice chauve Il est neuf heures du soir, dans un intérieur bourgeois de Londres, le salon de M. et Mme Smith. La pendule sonne les « dix-sept coups anglais M. et Mme Smith ont fini de dîner. Ils bavardent au coin du feu. M. Smith parcourt son journal. Le couple to page se répand en propos incohérents.

Leurs ra nn su Sni* to et ils passent sans tr Ils évoquent notamm s’appelent Bobby Wa us, voire enants utre. s les membres ne, de ce qu’on mentionne « toujours l’âge des personnes décédées et jamais celui des nouveaux nés». un désaccord semble les opposer, mais ils se réconcilient rapidement. La pendule continue de sonner « sept fois puis « trois fois « cinq fois » , « deux fois Mary, la bonne, entre alors en scène et tient, elle aussi, des propos assez incohérents. Pu Puis elle annonce la visite d’un couple ami, les Martin. M et Mme Smith quittent la pièce pour aller Shablller.

Mary fait alors entrer les invités, non sans leur reprocher leur retard. Les Martin attendent dans le salon des Smith. Ils s’assoient l’un en face de l’autre. Ils ne se connaissent apparemment pas. Le dialogue qui s’engage leur permet pourtant de constater une série de coïncidences curieuses. Ils sont tous deux originaires de Manchester. II y a « cinq semaines environ » ils ont pris le même train, ont occupé le même wagon et le même compartiment. Ils constatent également qu’ils habitent ? Londres, la même rue, le même numéro, le même appartement t qu’ils dorment dans la même chambre.

Ils finissent par tomber dans les bras l’un de l’autre en découvrant qu’ils sont mari et femme. Les deux époux s’embrassent et s’endorment. Mais, Mary, la bonne, de retour sur scène, remet en cause ces retrouvailles et révèle au public qu’en réalité les époux Martin ne sont pas les époux Martin. Elle même confesse d’ailleurs sa véritable identité : « Mon vrai nom est Sherlock Holmes. ». Les Martin préfèrent ignorer l’affreuse vérité. Ils sont trop heureux de s’être retrouvés et se promettent de ne plus se perdre. PAG » OF d