revue scientifique 2012 CS/LPA 13

Une journée pour faire valoir la science Le club science du lycée des parcelles assainies U 13 (CS/LPA U 13) organise pour sa troisième édition (2012/2013) sa Journée scientifique. A travers cette journée scientifique, la science (ensemble des disciplines comprenant la physique, la chimie, les mathématiques, la biologie, la médecine, etc. ) sera valorisée davantage, enfin que ses limites s’étendent toujours dans le sens de son progrès. Mais la valoir comment ? A travers des expériences qui n’ont pour autres finalités que de faire de manière que la créativité se développe.

De manière que la pratique ait ne avancée considérable et sensible sur les théories, enfin Swipe to nex: page de combler la déficie d’Einstein : «la théori rien ne fonctionne puisse rendre compr l’expérimentation, le org ation t et que chacun voie de marnere que personne ne dise que la science est utile parce qu’elle nous permet de construire des machines, mais plutôt que les machines sont utiles parce qu’elles nous permettent de faire de la science. Cette journée sera marquée aussi par des exposés, pour sensibiliser le plus de public vu que tout homme est sensible quand il est spectateur.

Ainsi avec les exposés (système nerveux, Google), porteurs de messages enl significatifs, tout un chacun s’y identifiera. CS/LPA U 13 veut que cette journée soit une journée d’échange sur les différents aspects de la science. Puisque la notion d’échange est soulevée, c’est donc logique de penser que CS/LPA Ul 3 sera disposé à recevoir toutes les contributions, aussi minimes soient-elles, qui pourraient l’améliorer davantage. Vous pourriez l’inscrire, soit sur le cahier de notes qui est détenu par un des membres du club, soit sur notre page Facebook ou bien sur notre site internet après inscription au niveau du blog.

Le nucléaire au Sénégal ? L’intelligence est-elle héréditaire ? La crise énergétique est toujours là, lancinante comme une maladie incurable. Depuis plus de dix ans, les coupures intermittentes d’électricité hantent le quotidien des sénégalais. La population en souffre, leurs matériels bousillés, leur travail ralenti. Nous savions, bien sûr, que ridée en sol est très ambitieuse mais malheureusement chimérique. Non, car Cheikh Anta DIOP s’est toujours investi dans la quête du savoir, dont ses produits ne cessent de nous apprendre.

Donc on peut comprendre pourquoi il stipula : « le scientifique c’est celui qui met son intimidation au service de sa nation Non, car Newton, l’inventeur de la mécanique et de la gravitation, a toujours dédaigner la moindre transpiration pour percer le secret de son énigme : « pourquoi la pomme tombe de l’arbre alors que la lune ne tombe pa secret de son énigme : « pourquoi la pomme tombe de l’arbre alors que la lune ne tombe pas du ciel. Non, car le père de la physique moderne, Albert Einstein, une fos avoir échoué au BFEM, a dit il faut que je réfléchisse.

La liste des qualifiés « intelligent » est loin d’être exhaustive. Des parents si intelligents soient-ils ne conditionnent les résultats scolaires de leurs enfants que s’ils surveillent son ravail, s’intéressent à ce qu’il fait et le remettent sur le bon chemin. Quand il relâche l’effort, les résultats se verront. Mais des parents qui laissent leur progéniture divaguer ? droite à gauche, se retrouvent souvent confrontés à des enfants peu fiables au point de vue scolaire.

Dans un sens contraire, il y’a maintes parents avec un niveau d’étude bas avec leurs enfants bien plus vifs, et érudits qu’eux parce qu’ils sont tout le temps derrière eux ? les faire travailler, les encourager, et s’intéresser à ce qu’ils font. En revanche ça ne veut pas dire qu’on (élève) doit attendre e coup de pouce des parents pour être les meilleurs dans nos classes ou s’identifier parmi les meilleurs. Quoi qu’il en soit des parents intelligents ne sont pas une garantie de transmission de l’intelligence.

Seule une véritable rage de curiosité et d’habileté de vouloir savoir, peut expliquer l’état des surdoués. D’abord, une centrale nucléaire n’est pas un monument. Vouloir l’installer au Sénégal c’est pratiquement y investi nucléaire n’est pas un monument. Vouloir l’installer au Sénégal c’est pratiquement y investir tout le budget du pays, ce qui risque d’entraîner un gouffre financier énorme. Après l’installation, un problème risque de surgir : le combustible.

N’oublions pas que l’uranium est pour une centrale nucléaire ce que le pétrole représente pour une centrale électrique. Aujourd’hui, le marché de l’uranium est en plein effervescence. L’offre est largement inférieure à la demande qui s’accroit de plus en plus. C’est dire qu’une flambée des prix accompagnée d’une pénurie d’uranium risque de faire tâche d’huile dans le secteur. Il a également la question des déchets radioactifs qui reste un des aspects les plus problématlques de l’énergie nucléaire et dont la estion exige des sommes colossales.

Ensuite, il y a l’aspect sécuritaire qui préoccupe plus d’un citoyen. La technologie nucléaire est extrêmement fragile parce que mettant en œuvre une infinité de procédés plus complexes les unes que les autres. Ce qui veut dire que les risques d’accidents sont multiples et multiformes. Aucune installation nucléaire au monde n’est à l’abri, tôt ou tard, d’une erreur humaine, d’une défaillance technique ou d’un évènement climatique. Tel, pour ne parler que d’évènements récents, ce grave incident qul a éclaté Suède en juillet 2006. n simple court circuit avait mis à genoux es réacteurs nucléaires du pays au point que l’Europe était passée PAGF court-circuit avait mis à genoux un à deux doigts de la catastrophe. Toujours en matière de sécurité, le site prévu pour abriter notre centrale, la région de Matam, peut se revéler inapproprié, voire dangereux. En effet, cette région présente deux handicaps majeurs : l’éloignement par rapport à la capitale et la canicule en été. Cependant ce serait une erreur de penser que le Sénégal ne regorge pas de scientifiques capables de diriger un projet d’une telle envergure.

A la faculté des Sciences et Techniques de l’UCAD, ar exemple, il existe un laboratoire de physique nucléaire et une Institut de Technologie Nucléaire Appliquée (ITNA) pilotés par déminents professeurs de physique. Mais le problème réside dans l’environnement socio-économique du pays qui ne cadre nullement avec cette forme d’énergie pour plusieurs raisons qui sont loin d’être exhaustive pour ne les citer. Arouna Bâ (l’atelier RFI) Donc, essayons d’être les premiers de nos classes par le seul biais de l’habileté.

Essayons d’être les meilleurs dans notre entourage par le seul biais de l’ingéniosité. Essayons d’être les références de notre nation par le seul iais du discernement. Découverte : le triangle des Bermudes La vision scientifique CHEIKH ANTA DIOP « une référence de taille » Le triangle des Bermudes, surnommée aussi le « Triangle du Diable d’une superficie d des Bermudes, surnommée aussi le « Triangle du Diable d’une superficie de 4 millions de km2, est un espace de 3 points (Miami, Porto Rico et file des Bermudes) formant un vaste triangle dans l’océan Atlantique.

Dans ce triangle, depuis plus d’un siècle, de nombreuses disparitions inexpliquées d’avions et de navires, souvent caractérisées par leur soudaineté et l’absence d’épave. Partant de ce constat indéniable, de ombreux scientifiques et journalistes ont enquêté sur ces disparitions mystérieuses de navires et d’avions. La Terre possède un champ magnétique produit par les déplacements de son noyau externe composé essentiellement de fer et de nickel en fusion conducteurs.

Ce champ magnétique englobe la totalité de la Terre, avec des lignes de champs s’étirant du pôle nord magnétique au pôle sud magnétique. C’est notamment grâce à ce puissant champ magnétique qu’une boussole indiquera systématiquement la direction du Nord magnétique. Par conséquent, beaucoup d’instruments de navigation des navires et vions en dépendent.

L’explication scientifique, la plus plauslble, pour expliquer ces disparltions (avions, navires) subites, c’est que à ce point la force du champ magnétique est si forte qu’elle peut attirer tout objet métallique qui passe la dessus. Né le 29 décembre 1923 dans le village de Caytou situé dans la région de Diourbel (en pays Baol-Cayor), près de la ville de Bambey à environ 150 km de Dakar, au Séné de Diourbel (en pays km de Dakar, au Sénégal et mort le 7 février 1986, ? son domicile de Fann, quartier situé non loin de l’Université de Dakar qui aujourd’hui porte son nom.

Les principales thématiques développées par Cheikh Anta Diop sont : l’origine de Ihomme et ses migrations, la parenté Égypte ancienne/Afrique noire, la recherche sur l’évolution des sociétés, l’apport de l’Afrique à la civilisation ; le développement économique, technique, industriel, scientifique, institutionnel, culturel de l’Afrique ; l’édification d’une clvllisation planétaire. C. A.

D : »L’Afrique doit opter pour une politique de développement scientifique et intellectuel et y mettre le prix ; sa vulnérabilité excessive des cinq derniers siècles est la conséquence d’une déficience technique. Le développement intellectuel est le moyen le plus sûr de faire cesser le chantage, les brimades, les humiliations. L’Afrique peut redevenir un centre d’initiatives et de décisions scientifiques, au lieu de croire qu’elle est condamnée à rester l’appendice, le champ d’expansion économique des pays développés  » Revue éditée et mise en page par la Section Informatique du Club Scientifique.

La revue du club science du lycée des parcelles assainies unité 13(CS/LPA 013), comme son nom l’indique, est un outil d’information scientifique dédié à tout apprenti scientifique. Le club science, dans ses pro d’information scientifique ans ses projets d’innovations et d’engagements ? réitérer et faire valoir la science, enfin de développer la créativité qui n’est que concrétisation de l’imagination, a rédigé «La vision scientifique». ? La vision scientifique» renferme plusieurs sujets qu’on a repartit en plusieurs rubriques : une journée pour faire valoir la science Parlons de notre cher pays (Du nucléaire) L’intelligence, une question… Découverte ( Triangle des Bermudes) Portrait ( Cheikh Anta Diop) De tout évidence devenir un savant scientifique ne doit plus se percevoir comme un dilemme, même SI le développement exubérant de la technologie ordinateurs « intelligents ») nous flemmarde, mais plutôt comme une responsabilité.

Autrement dit c’est la passion qui construit un savant. Le père de la physique moderne, Albert Einstein, a dit luimême : « une question posée ne peut être résolu qu’en réfléchissant de la manière qu’il a été posé ». C’est logique de penser donc qu’en s’immergeant de la passion et s’interrogeant sur le « comment ils (savants) le sont devenus ? b, et non sur le « à quel niveau d’études ils ont accédé ? on résoudra forcement l’équation de la perfectibilité qui ne peut s’intituler qu’autre ue « la clef de la scientificité