Questionnements éthiques et progrès scientifique

Questionnements éthiques et progrès scientifique Texte 1: Aldous Huxley, e Meilleur des mondes (1932) Question no 1: L’enthousiasme du directeur peut se voir grâce à la ponctuation, les « ! » à chaque fin de phrases, à la gestuelle qu’il utilise ainsi qu’à l’expression de son visage et au ton de sa voix quand il parle. Swipe View next page Question n02: La possibilité de faire venant d’un seul et les faire travailler sur procédé « un œuf bo d’un roman de scienc Question na 3: mê lement identiques nd nombre, pour nsi que le nom du us montre qu’il s’agit

Si ce procédé venait à être mis en place, la société deviendrait uniforme. Un seul et même habitant créé une seule fois répétition pour que tous fassent la même chose. Il n’y aurait plus aucune diversification entre les personnes que ce soit le caractère ou bien même la couleur des yeux ou le teint de peau, cela deviendrait un monde où la vie est monotone.

Texte 2: Bernard Debré, « Non à la frilosité » (2006) Question ndl : On peut voir que Bernard Debré est scientifique grâce au poste qu’il occupe à l’hôpital Cochin à Paris et au champ lexical qui tourne autour de termes scientifiques. Il défend aussi son opinion qui pourrait sauver des millions de personnes. Avec feugénlsme de liberté, comme il le nomme, plusieurs maladies génétiques pourraient être repérer avant la naissance ce qui améliorerait les conditions de vie dans le futur et pourrait même en sauver.

Question na3: On parle tout d’abord du clonage reproductif, qui consiste cloner la personne pour allonger sa durée de vie. Ça n’apporte aucun intérêt scientifique ou bien moral, il n’y a même aucune utilité à le faire. Ensuite on parle du clonage thérapeutique qui lui, un jour, sera apable de restaurer des organes défaillants donc de sauver des vies sans avoir à attendre sur une liste d’attente pour une greffe ou avoir le risque que le corps n’accepte pas ce nouvel organe. C’est une grande innovation du XXème siècle.

Question n04: A cause de la frilosité des français et des lois imposées, le domaine de la recherche a déjà perdu du temps, les chercheurs sont obligés de s’expatrier dans d’autre pays pour faire avancer la recherche, ce qui fait que ces pays prennent le devant dans un domaine qui pourrait sauvé des tas de vie en peu de temps. Texte 3: Texte de loi Question nal : A chaque début de paragraphe on voit de quel article on parle dans ce texte de loi et dans certains, entre les parenthèses, sont indiquées un numéro de 101 ou de décret ainsi que la date de leurs créations.

Question na2: Le CCNE doit donner son opinion sur les problèmes moraux qui sont évoqués dans plusieurs domaines, ceux de la biologie, la médecine ainsi que 2 problèmes moraux qui sont évoqués dans plusieurs domaines, ceux de la biologie, la médecine ainsi que la santé. Que ces problèmes concerne seulement l’homme ou bien des groupes sociaux ou bien encore le monde tout entier. Question n03: Les membres sont choisis de façon équitable et peuvent venir de tout corps d’état, ce ne sont pas forcément des politiciens, il y a aussi des médecins, des universitaires, des scientifiques etc.

Il peut être saisi par différentes personnes dont le président de l’Assemblée Nationale, le président du Sénat, un membre du gouvernement, un établissement d’enseignement supérieur, un établissement public ou une fondation. Travail sur le corpus: Question nol : Les textes 1 et 2 parlent tous deux du développement dans le domaine médicale, tout particulièrement du clonage et les textes et 4 eux sont par rapport aux textes de lois qui contrôlent les recherches liées à la médecine et la biologie.

Question no 2: Les textes 2 et 4 sont les textes argumentatifs de ce corpus. Pour moi il faudrait commencer la confrontation par le texte de Bernard Debré car il parle de façon plus générale sur la bioéthique. Question na,l: Dans les deux textes, la peur sur les recherches embryonnaires est présente, elle est seulement autorisée dans certains cas d’exception pour des expériences contrôlées, ce qui n’est pas suffisant pour l’évolution de la médecine.