Comprendre le php

ËEËEECorrection Test Développement WEB 1 a) Il affiche : a —1, b —2 . PHP MER (3) b) Il permute les valeurs de a et de b; une autre solution est par exemple (il fallait bien entendu que votre proposition pour des valeurs quelconques de a et de b) Exercice 2 Remarque : ce genre d’étudier la parité de n’attendais pas ici. Exercice 3 a) llaffiche:641 b) llaffiche:987 c) llaffiche:321 normalement , ce que Je o or 17 Sni* to View d) II trie par ordre décroissant des trois valeurs saisies par l’utilisateur Exercice 4 Je donne ici une solution avec un seul fichier; vous pouviez bien entendu sulvre l’énoncé et construire deux fichiers.

Valeur 1 : Opération : Valeur 2: se servir de différents canaux, avec pour valeur ajoutée de permettre à l’ensemble des canaux de distribution d’interagir simultanément, bénéficiant des associations qui existent entre eux. Si les enseignes départagent leurs canaux de distributlon, l’interaction avec ces canaux ne peut pas se faire (Schramm- Klein et Alii, 2011). La distribution cross canal concède ainsi une cohérence au niveau de la promesse tenue par la marque, et ce, au niveau de tous les canaux.

Selon les auteurs Berman et Thelen, (2004), une stratégie d’intégration (ou de cross canal) relie les canaux de distribution t tend à rendre l’expérience d’achat « hollistique En d’autre terme, elle permet au consommateur de profiter de l’ensemble des canaux, de manière simultanée, dans son processus d’achat. En effet, le consommateur peut identifier un bien sur un canal, l’acquérir sur un autre et enfin le récupérer via un troisième et dernier canal (exemple : repérage, sur le site, commande sur catalogue et retrait sur le point de vente physique).

Grâce aux stratégies de cross canal adoptées par les détaillants, les consommateurs mêlent les informations communiquées par un vendeur avec celles issues du web, pour ensuite acheter leurs iens ou services par le biais via de sites internet ou de magasins physiques (Vanheems, 2006). Quant aux auteurs Zhang et Alii (2010), ils rejoignent la définition de Berman et Thelen en soutenant que la distribution cross canal permet aux consommateurs d’être souples et mobiles dans les canaux de distribution en ligne et hors ligne. Cett PAG » 7 consommateurs d’être souples et mobiles dans les canaux de distribution en ligne et hors ligne.

Cette stratégie permet de répondre aux attentes des clients, de satisfaire leurs besoins, en leur faisant profiter des avantages de chaque canal. Selon Gilles Marousseau, auteur de l’étude Stratégies cross canal en e-commerce, « En se contentant d’une stratégie multi-canal, un distributeur ne peut pas mutualiser certaines charges et, en privilégiant une organisation structurée en sites spécialisés et indépendants les uns des autres, il inhibe ses capacités de flexibilité en privilégiant des lectures verticales et non transversales du commerce électronique.

Cette organisation comporte donc un risque de redondance de certaines dépenses, notamment logistiques. » Afin de souligner l’évolution du multi canal au cross canal, les uteurs Régine Vanheems et Isabelle Collin-l_achaud (2010) soulignent que « De multi-canal, la distribution devient « cross- canal Sous l’impulsion d’un client qui passe d’un canal ? l’autre, les sphères virtuelles et réelles de l’enseigne semblent progressivement devoir se rapprocher P.

Les frontières entre les différents canaux se troublent et le passage d’un canal à Fautre devient alors de moins en moins complexe. Les auteurs Gentile et Al (2010) quant à eux, définissent cette expérience comme étant « une expérience strictement personnelle impliquant « le consommateur au niveau rationnel, ?motionnel, sensoriel, physique ou spirituel En effet, les consommateurs adoptent des comportements nouveaux lorsqu’ils so ou spirituel nouveaux lorsqu’ils sont face à des canaux capables d’interagir entre eux.

Lorsqu’auparavant l’ensemble de leur processus d’achat se tenait au sein d’un seul et même canal, Il est aujourd’hui possible pour lui de mêler ces différents canaux, et connaître une expérience différente en fonction du canal qu’il aura emprunté. Les leviers du cross canal La revue de la littérature a permis d’identifier plusieurs leviers du cross canal, plusieurs éléments favorisant la mse en place de la tratégie cross canal, et qui permettront son développement dans un futur plus ou moins proche.

Tout d’abord, Cette impulsion s’est faite grâce aux nombreuses innovations technologiques dans le domaine du mobile et de l’internet (Van Bruggen et Alii 2010). De ce fait, la propagation des Smartphones a et aura un véritable impact sur Parchitecture des canaux de distribution et contribue à au développement de cette stratégie. Autre levier : l’e-logistique. Le BtoC coordonne les canaux de vente ainsi que les canaux de distribution (avec le clic&collect par exemple, le rôle du détaillant ne se limite plus à la livraison ? omicile ou à la simple vente en magasin physique.

Le client à la possibilité de commander en ligne et de récupérer ses achats en magasin). Selon les auteurs Isaac et Volle (2008), il est nécessaire d’ « ajouter une logistique aval à une logistique amont P. Alors que traditionnellement, « le client va à la marchandise », « dans le commerce électronique, c’est l’invers 13 traditionnellement, « le client va à la marchandise D, « dans le commerce électronique, c’est l’inverse : la marchandise va vers le client » L’efficacité de cette nouvelle forme de logistique est au cœur des réoccupations des détaillants sur le web.

En effet, l’avantage concurrentiel réside dans une transmission sûre, fiable et de qualité entre le produit acheté et son acquéreur. Même si les prix des biens sur internet (surtout en ce qui concerne les biens de consommation alimentaires) sont en moyenne plus élevés de 10% qu’en magasin, le commerce sur internet doit tout miser sur une politique de prix bas, mais également sur un service sans faille, que ce soit avant, pendant ou après l’achat (Karayan, 2008).

Les raisons de rachat cross canal Le développement rapide de la stratégie de distribution cross anal, et surtout l’accueil chaleureux que lui réservent la plupart des consommateurs nous invitent à explorer la littérature pour identifier quelles sont les raisons qui poussent les consommateurs à cette mobilité sur l’ensemble des canaux.

Dans le cadre de pétude Le comportement cross canal des consommateurs : une comparaison entre les consommateurs français, allemands, italiens et britanniques, les auteurs Sebastian Rittinger et Joachim Zentes (201 2), ont pu, grâce à un entretien avec des détaillants multicanal allemands, définir les motivations des consommateurs qui les poussent à emprunter un parcours ‘achat cross canal, notamment celui du click&collect pour lequel ces détaillants disposent d’une certaine expertise. notamment celui du click&collect pour lequel ces détaillants disposent d’une certaine expertise.

Les répondants ont donné les raisons suivantes . « la livraison de l’artlcle à domicile ou sur le lieu de travail n’est pas pratique » ; « j’ai besoin de farticle le plus tôt possible et ne peux pas attendre la livraison à domicile » ; « je ne veux pas payer pour la livraison à domicile » ; « je veux pouvoir retourner ou échanger immédiatement l’article si je ne suis pas satisfait de mon achat » ; ? je me rends de toutes fonçons au magasin donc c’est pratique pour moi de récupérer en magasin mon achat en ligne Il en est déduit que les consommateurs sont aujourd’hui plus exigeants, et surtout moins flexibles.

En effet, ils veulent pouvoir commander un article à l’heure qui les convient, et l’avoir en possession au moment qui les convient. Aussi, ils préfèrent ne pas avoir à payer pour une livraison à domicile et avoir une action immédiate dans le cas ou un produit est défectueux ou ne les convient pas.

Pour une analyse plus fine du cross canal, il convient de diviser e parcours du consommateur en trois étapes : avant et après l’expérience cross canal du client, mais aussi en fonction des ressources dont il dispose (économiques, temporelles) Pour se faire, nous nous sommes appuyées sur une étude de cas sur La Fnac menée par Régine Vanheems et Isabelle Collin Lachaud (2010). Elle a été réalisée auprès de 33 individus « cross canal » par le biais d’entretiens qualitatifs, dans 3 magasins (deux en région parisienne et un en prov d’entretiens qualitatifs, dans 3 magasins (deux en région parisienne et un en province).

Avant l’expérience de consommation, certains avouent comparer es prix entre le magasin et le site e-commerce. D’autres préfèrent venir en magasin à titre de repérage pour ensuite acheter en ligne. pour certains, il est indispensable d’avoir ravis d’un conseiller avant tout achat. Après l’expérience de consommation, il en ressort que la quasi totalité des répondants sont satisfaits de leur expérience cross canal, « plus pratique » pour certains, « complémentaire » pour d’autres.

Tandis que certains sont « moins déçus En fonctlon des ressources économiques, certains arbltrages budgétaires sont effectués afin d’établir un juste milieu entre ouvoir d’achat et budget, mais également entre déraison et sagesse. Les auteurs Djelassi et Al. , (2009) identifient les comportements des individus comme étant un «smart shopper » (achat intelligent) ou plutôt un wise-shopper » (achat sage). Le temps imparti à chaque individu entre également en compte dans le choix de distribution à adopter.

Il va se faire en fonction des ressources temporelles disponibles, ou qu’ils veulent bien accorder à un achat en fonction de différents éléments : temps disponible, rythme (pressé ou en dilettante), mais également l’immédiateté (acquérir un bien dans rimmédiat ou prendre son temps). Cette étude souligne qu’aucun des 33 clients interrogés n’a mentionné d’efforts consentis pour vivre une expérience cross canal.

DLe parcours cross canal semble être devenu un réflexe, e PAGF70F17 consentis pour vivre une expérience cross canal. DLe parcours cross canal semble être devenu un réflexe, entré dans les habitudes, engendrant un vécu plus positif que lors d’une expérience mono canal pour laquelle il n’existe qu’un seul et unique canal pour faire un achat. Ou encore lors d’une expérience multi canal pour laquelle il existe cette fois plus de canaux disponibles pour l’achat d’un bien, mais sans aucune interaction ntre eux.

Il en découle que les différentes phases de l’expérience pré- consommation, achat puis consommation et que les différentes ressources disponibles pour le consommateurs (économique, temporelle… ) sont impactées par un parcours d’achat cross canal. D Toutefois, même si cette complémentarité des canaux semble satisfaire les consommateurs adeptes du cross canal, certains d’entre eux restent méfiants. Les bénéfices de l’achat en ligne sont mitigés. En effet, l’étude réalisée par le cabinet Experian Marketing service, (Achats cross canal, nouveaux devices…

Qui sont ces nouveaux consommateurs ? identifie comme principaux freins à l’achat en ligne l’impossibilité d’essayer les produits, et la non conformité du produit attendu (acheté en ligne) entre le produit présenté en ligne et ce que le consommateur reçoit. Certains clients regrettent également le fait que certains sites ne soient pas adaptés aux nouveaux supports (smartphones, tablettes etc. ), et souhaiteraient, pour les enseignes qui n’en ont pas, pouvoir accéder ou acheter des produits via une application mobile.

Multi canal/cross canal : ca PAGF accéder ou acheter des produits via une application mobile. : cannibalisation ou complémentarité ? Multi canal/cross cana L’émergence du e-commerce dans la vente au détail a provoqué certaines réticences dans ses débuts. En effet, même si la course à l’innovation, levier de différenciation vis-à-vis de la concurrence, pour gagner de plus en plus de parts de marchés encourageait les détaillants à se lancer sur internet, ces derniers craignaient que ce nouveau canal porte préjudice au canal de vente traditionnel, comme le souligne les auteurs Badot et Navarre (2006).

Cette peur qu’un canal puisse cannibaliser l’autre s’est avérée injustifiée puisque de plus en plus d’enseignes ont ajouté ? eurs canaux existants un canal en ligne, qul s’est révélé être complémentaire aux autres canaux. En effet, des adultes utilisent trois différents terminaux pour une tâche simple, comme « la réservation d’une table de restaurant ou l’achat d’une paire de chaussures. C]Les campagnes multicanal ont fait un bon de +137% en 2013 Passer de 1 à 2 canaux permet d’augmenter le ROI x 3 D.

Voilà ce qu’affirme Turn (2013), à travers le « Global Audience Digital Report qui s’est intéressé à ce que l’on peut retenir des « best practices » concernant le cross canal. Il ajoute aussi qu’une augmentation de ‘ordre de 500% concernait le nombre d’annonceurs présents sur de multiples canaux de communication (web, mobile, call center, boutiques, etc. ). Il a également affiné ses résultats en, fonction de la CSP des usagers du cross canal : plutôt « aisés ( affiné ses résultats en, fonction de la CSP des usagers du cross canal : plutôt « aisés (revenu moyen 76. 00 dollars/an), particulièrement attirés par les marques haut de gamme (Banana Republic, Sephora) et adeptes des soldes et de la mode Quant au cabinet BearingPoint, il démontre également à travers son rapport de 2012 (Les enseignes de distribution misent sur e cross canal), en interrogeant aussi les professionnels de la distribution sur les interactions entre les canaux. Il souligne le fait que « 40 % des visites en magasin sont préparées en amont.

Dans un cas sur trois, cette pré étude se fait par la consultation de sites (comparatifs de prix, blogs, etc. ). Le reste du temps, le client lit un catalogue ou sollicite l’avis de ses proches. Réciproquement, le point de vente devient le lieu de préparation de nombreux achats en ligne : le consommateur se rend en magasin pour voir, toucher ou essayer les produits qu’il achètera ensuite sur Internet. ? Ce parcours d’achat n’est cependant pas identique en fonction des différents secteurs d’activité.

Selon les cas, dans l’un des canaux, on va préférer dénicher le produit que Fon recherche sur internet pour ensuite l’acheter en magasin, dans l’autre, les étapes seront inversées. On appelle ce concept « Research Online, Purchase OffLine » plus couramment abrégé en ROPO. Il en ressort néanmoins que ces deux canaux sont complémentaires, « des vases communicants qui permettent aux consommateurs d’effectuer leurs achats le plus simplement possible » (toujours selon le cabinet BearingPoin 17