BUSINESS SCHOOLS La problématique du financement Les Business Schools &Formation (BSF) ou encore Etablissements Privés d’Enseignement Supérieur (EPES) naissent à une vitesse incroyable, notamment à Dakar. Si en général, le financement de départ est pris en charge par le ou les promoteurs, la pérennisation de ces BSF repose, par la suite, sur l’accès au financement des banques et des Instituions de Micro- Finance (IME). Sur quelles bases celles-ci octroient-elles les financements ? Quel regard portent-elles sur le secteur ?
En retour, comment les BSF apprécient-elles leurs relations avec ces institutions finan entrale pour le déve pe Tous les dirigeants d professionnelle répé on ne gère que des p or7 sd ‘une problématique rmation «avec les écoles, bservateur lambda a l’impression du contraire tellement les signes extérieurs de richesse sont visibles : des bâtiments qui sont réfectionnés, le nombre d’étage qui augmente ou des annexes qui surgissent, des bureaux rutilants, des voitures haut de gamme….
Il est vrai qu’avec l’inflation immobilière, la masse salariale est de plus en plus importante, surtout si l’on respecte le nombre de crédits LMD ou Réforme Licence-Maitrise-Doctorat. Sans compter I Swlpe to vlew next page es impayés fréquents des étudiants, le vide causé par les vacances scolaires, le fisc,.. ly a de quoi se demander comment ces écoles font alors pour survivre. La bouée de sauvetage viendrait princpalement de conventions intelllgentes avec les banques et IMF.
Le principe est simple : l’Etablissement Privé d’Enseignement Supérieur (EPES) loge ses comptes et ceux de certains de son personnel, permanents et vacataires, dans l’institution financière. Elle peut, en retour, bénéficier de prêts conséquents pour investir dans le mobilier et l’immobilier, de garanties individuelles pour des acquisitions diverses. Mais les rapports ne sont pas toujours ce qu’auraient souhaité toutes les parties. Parfois pour diverses raisons, les EPES ont des difficultés à honorer leurs engagements, sinon, ce sont les banques et IMF qui hésitent à poursuivre l’expérience.
Elles sont même allées, parfois, jusqu’à déclarer inéligible le dossier de certaines de leurs écoles clientes. Plusieurs raisons sont évoquées. Entre autres, elles reprochent aux EPES le caractère peu professionnel du montage de leurs dossiers, une mauvaise identification des besoins de financement, un déficit réel de fonds de roulement, un iagnostic défaillant des problèmes…. Mais, les EPES incriminent principalement les taux d’intérêt insoutenables.
En tout état de cause, raccès au financement demeure un problème majeur pour la presque centaine d’EPES PAG » rif 7 tout état de cause, l’accès au financement demeure un problème majeur pour la presque centaine d’EPES qui exercent officiellement sur le marché. A travers des organismes comme l’ONFP ou bien le FONDEF qui prend en charge le financement non-remboursable jusqu’à 75% du coût pédagogique des projets de formation professionnelle confiés à ces EPES, l’Etat apporte un ol d’air, mais il est jugé très insuffisant. M.
Camara, Directeur ISCA «Je comprends que les institutions financières ne sont pas l? pour faire du social mai elles auraient pu ou dû être plus souples. Elles te demandent toujours un bilan mais à quelle fin ? Et puis, comment quelqu’un qui vient de démarrer peut présenter un bilan ? Je cros que la première chose à faire pour une banque, c’est prendre des risques. C’est vrai, les établissements sans moyens pour démarrer, on ne peut pas les aider. Soyons sérieux, mais ceux qui ont pu démarrer sur fonds propres et qui ont fait eurs preuves, j’estime qu’il faut les aider.
Au lieu de cela, ces institutions attendent que les écoles atteignent une vitesse de croisière pour les démarcher, c’est à la limite, mesquin. Moi, j n’accepterai jamais ça. Si une banque me soutient au moment où j’ai des difficultés, quand je me serais développé, ok pour travailler dans la durée avec elle, mais dans le cas contraire, je n’accepterai jamais. En réalité, elles attendent que tu grandisses pour se manifester PAGF3C,F7 contraire, je n’accepterai jamais. En réalité, elles attendent que tu grandisses pour se manifester, non ça jamais !
Je comprendrais u’elles se soient manifestées parce que j’ai des difficultés. Elles aient amené leur argent et qu’elles exigent un droit de regard sur la gestion de l’école, ce qui serait absolument raisonnable. Cest pourquoi, pour moi, l’argument consistant à invoquer fabsence de bons gestionnaires dans les écoles, de dossiers mal montés, est trop léger. Tenez, j’ai monté un bon dossier, mais quand l’institution à laquelle je me suis adressée a su que c’était pour ouvrir une école, elle a systématiquement refusé le dossier.
Elles veulent trop sécuriser leur argent, alors que ce n’est pas le rôle d’une banque. Son rôle, c’est plutôt prendre des risques, accompagner les gens qui sont prêts à travailler. Ce qui se passe n’est pas normal. Je me sens mal quand je pense à ce qui est arrivé à récole ASAFIN. Si ce qu’on dit est vrai, je trouve que ce n’est normal que des banques contractent et se rétractent quand elles veulent et comme elles l’entendent. Il faut arrêter de nous diaboliser.
Toutes les écoles sérieuses, et elles sont majoritaires, sont en train de bien tenir leur comptabilité. Et si les banques mettent sur la table des conditions particulières de bonne gestion, les écoles s’y conformeront sans problème. Il faut qu’ils comprennent que nos écoles sont gérées pas des conformeront sans problème. Il faut qu’ils comprennent que nos écoles sont gérées pas des intellectuels. Je ne suis pas d’ accord avec leur système. Si je viens avec 2 millions FCFA pour un projet de 15 millions, l’institution financière met 13 millions.
Quand elle aura récupéré son investissement avec les intérêts, à ce moment seulement, elle me laisse aller seule. Elles savent parfaitement que nos écoles fonctionnent par cycle. Il y a des périodes où rien ne rentre alors que les charges fixes restent élevées surtout avec a location. Ceux dont les bailleurs ne sont pas compréhensibles ne tiennent pas, ils ferment ou déménagent En fin de compte, nous gestionnaires d’écoles, devons arrêter de nous inquiéter car le marché de la formation est très porteur.
Mon intime conviction est que les gens sont en train de s’alarmer et ce n’est pas la peine. La demande est trop forte et il n’ ya pas assez d’écoles pour les absorber. Le vrai problème, c’est que les écoles sont trop chères et cela ne s’explique pas. Il faut raisonner en termes d’économie dimensionnelle, baisser les prix et massifier. » Mame Birame DIOUF, Directeur exécutif IFAA Moi, Yattitude des banques, je la comprends parfaitement, les écoles n’ont pas de dossier bancables.
Cela est justifié par plusieurs facteurs : elles n’ont pas de budget prévisionnel, les droits d’inscription qui pourraient servir de matelas, de fonds de garantie prévisionnel, les droits d’inscription qui pourraient servir de matelas, de fonds de garantie, sont utilisés à d’autres fins, le recrutement non pertinent d’une pléthore de professeurs du fait du sectlonnement du programme entraine des surcharges préjudiciables, elles ne disposent donc pas de trésorerie onséquente, pouvant permettre de supporter les périodes creuses.
On confond le dossier du gestionnaire, du Directeur et celui de l’école. Celui du Directeur passe toujours, mais celui de l’école ne pas passer, car la perspective est tout simplement, « cette année combien d’élèves il nous faut pour avoir tant C e qui dénote d’une absence de crédibilité. La menace, non la pseudo- menace d’insolvabilité, car elles ne sont jamais insolvables, il faut dire la vérité, cette menace revient toujours pendant les vacances.
Alors que ce problème aurait dû être réglé dès le début de l’année, par les droits d’inscription. Donc la trésorerie est là non pas pour faire face à des besoins d’investissement mais servent à d’autres secteurs, poussant même à parler de détournement d’objectifs. Forcément le banquier ne voyant pas la traçabilté de leurs comptes, n’est pas rassuré. Jusqu’à présent les écoles ont une gestion patrimoniale, on n’a pas l’impression d’avoir à faire à des structures organisées.
Et sur ce point la conférence pourrait dlfficilement régler le problème, car les écoles n’ont pas la même conférence pourrait difficilement régler le problème, car les écoles n’ont pas la même surface financière. Sauf dans le cadre d’un fonds de garantie où les écoles auront une quote-part, non pas sur le chiffre d’affaires mais sur les Inscrptions. Voilà une idée à creuser. Cela pourrait régler la question de la garantie qu’aucune école prise individuellement ne peut résoudre, avec le principe de l’assurance-caution. M.
Cissé Responsable financier 21M Je le vois lundi, il avait à faire, mais je me propose de l’appeler ce soir Daour DIOP l_Jne bonne gestion des orientations pourrait permettre aux ecol d souffler, maleuresuemen le colectif n a pa jouer son rol, I excedent non admis ds les univ pourrai etr absorbe pas ns, aleursmen, experienc pas encourageante, on ns a fait croire que y avai de la rgent a la cle, mai c apres kon a constate que c etai for aucun poste budgetaire n prevoyai ca, il a mem falu I intervention du Pdt de la Rep pour decanter la situation a zig.
L? ou on demandai à etudiant 650 000, sur la base de acor qui va ns lier on p discuter un tau forfaitaire de 350 000 a l’eta en tenan cpt des autre avantag ki n st pas financier Pour ce qui concerne fisc, on a des Pb, preno I cas d la tva, en théorie on est exonéré de tva,on n la factur pa sur nos prestations, mai on paie bien la tva