Module 1 ACCUEILLIR POUR ANALYSER LA DEMANDE DES PERSONNES EN DEMARCHE D’INSERTION ET ETABLIR UN DIAGNOSTIC PARTAGE Délégation de personnel sur les secteurs industriel, tertiaire et de l’artisanat . Avec un suivi socio professionnel personnalisé Sni* to View Présentation de la st or 14 ces P 3 à 4 Activités p Atouts et faiblesses du territoire P8à10 Rôle du Conseiller en Insertion Professionnelle p Il Réseau du CIP Conclusion Glossaire p 12 p 13 p 14 RHODANIENNE : Association TOUT SERV’ / Vienne Finalité de la mission : Accompagner la personne dans la prise de conscience de ses apacités et de ses compétences lui permettant de renforcer sa confiance en elle, son autonomie, l’appropriation de son projet de Culture d’entreprise Accueillir et écouter chaque personne La nécessité d’informer et de présenter notre action aux demandeurs d’emploi L’engagement des permanents dans le projet, dans le partage des valeurs et la bienveillance Placer la personne au cœur de nos actions, la rendre actrice de son parcours Les missions de travail sont un moyen d’accéder à l’autonomie Déclic aujourd’hui c’est 40 000 heures de travail réalisées par an, lus de 180 salariés dans de nombreux domaines d’activités. L’objectif final de Déclic est l’obtention d’emplois durables pour ses intérimaires. L’ensemble des actions d’accompagnement et de mise à l’emploi tendent vers cet objectif. L’équpe Déclic 12 des missions dans les métiers du BTP, de la production industrielle, de l’hôtellerie – Restauration, et des sen’ices.
Une offre de contrat intérim adaptée à chaque projet professionnel des intérimaires de DECLIC • Déclic, Entreprise de Travail Temporaire d’Insertion, fournit des services identiques à une agence d’Intérim traditionnelle tout n menant sa mission d’accompagnements des personnes en difficultés socio-professionnelles. Cette double compétence permet au salarié de bénéficier de missions de retour à l’emploi adaptées à ses compétences, de formations complémentaires et d’accompagnement socio- professionnel. Déclic permet à ses intérimaires de confirmer leur projet professionnel, de travailler durablement en entreprise, d’évaluer et de renforcer leurs compétences sur un poste déterminé, de leur créer un réseau de professionnels dans un secteur choisi leur permettant d’accélérer leur retour à l’emploi. rsonnes en parcours ont un niveau de formation et de qualification fable voir très faible. Déscolarisation, personne issue de l’immigration, parcours famllial et social difflclle, les profils sont variés mais au final les difficultés sont les mêmes pour trouver un emploi. Les personnes orientées rencontrent presque toutes les mêmes problèmes, manque de qualification, manque d’expérience, problème de mobilité. Souvent ces difficultés sont cumulées. Le nombre de personnes embauchées en CDI est presque aussi important que le nombre de personnes qui ne donnent plus de nouvelles. Le fonctionnement de VETTI à ce jour, ne permet pas de connaître la situation des personnes qui ne veulent pas donner de nouvelles.
Les CDI sont majoritairement sur des emplois dans le BTP, souvent sur des postes peu qualifiés. Les CDD de plus de 6 mois sont souvent finalisés par un CDI. L’intérim reste une source de sortie importante, sans toutefois avoir des garanties sur une issue plus positive. Malgré le faible niveau de qualification des personnes en parcours, il y a régulièrement des créations d’entreprise, c’est une preuve que des possibilités existent pour tous. as de personne en CDI contrat aidé, c’est un révélateur de la complexité de mise en œuvre de ceux-ci. pas de sortie vers une autre SIAE prouve que l’ElTl est bien l’un des derniers maillons de l’insertion et que son objectif est relativement bien rempli.
Nous ourrions dire qu’une sortie vers une autre SIAE serait un é travaillant dans le domaine de l’insertion, nous ne pouvons pas en être satisfaits et nous devons continuer à améliorer notre travail pour permettre aux autres d’en avoir un. Un territoire vaste et étendu, avec 140 communes et une superficie importante. Un territoire contrasté avec une agglomération (CAPI) de près de 100 000 habitants, 11 communautés de communes. Des populations fragilisées (jeunes sans qualification, bénéficiaires du RSA, travailleurs pauvres) notamment concentrés dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville (2 ZUS et 8 quartiers CUCS). Mobilité : Un territoire très dépendant de Pautomobile (étude INSEE 2012) et des transports en commun qui restent insuffisants.
Des migrations domicile travail importantes, à l’intérieur et ? l’extérieur du territoire (agglomération lyonnaise). Evolution démographique Une progression démographique élevée de 1,6% par an au plan départementale, soit plus de pour la ZTEF par rapport ? Un territoire géographique attractif, à proximité des métropoles yonnaise et grenobloise et disposant d’une très bonne accessibilité, développement de la vallée urbaine du Nord-lsère, dans le prolongement de la métropole Lyonnaise. Projets structurants du territoire : Projets majeurs d’infrastructures LGV contournement ferroviair PAGF s OF Lyon Turin, ration Lyonnaise CFAL, de restauration autour du Médipôle, espace commercial Place du Dauphiné de Tignieu-Jameyzieu.
Acteurs institutionnels Couverture territoriale globalement satisfaisante de la part des acteurs de l’emploi, mais une coordination des principaux acteurs et dispositifs à travailler. 4 sites de Pôle Emploi (Bourgoin-Jallieu, La Tout du Pin, Pont de Chéruy et Villefontaine) 2 missions locales (Mission Locale Nord-lsère avec 5 antennes et la MIJIR pour les cantons d’Heyrieux et de St Jean de Bournay) 3 CORTI 2 Contrats Urbains de Cohésion Sociale (CAPI et Chavanoz) Des opérateurs AIO présents sur le territoire (CIBC 38, MIFE Isère, CDIFE AFPA Transition, 15 637 établissements (+4% en 2011) dont une très forte proportion de TPE-PME (63% sans aucun salarié, de 1 à 9 salariés, 6% de IO à 49 salariés, 1% de 50 à 249 salariés). _Jne part importante de l’activité industrielle des établissements et 26% des emplois salariés, soit 17 262 salariés), avec des secteurs dynamiques et/ou porteurs d’innovation. Toutefois, ce secteur doit opérer des mutations économiques importantes. 6 2 bon nombre d’entreprises de garder de la visibilité et de se développer. Néanmoins elles ont aussi été frappées en 2012 par a crise économique et doivent recourir aujourd’hui à de nouvelles forment de flexibilité de l’emploi (chômage partiel, prêt de main d’œuvre, annualisation du temps de travail, développement de la formation en substitution du chômage partiel, intérim,… ) Un territoire d’entreprenariat et d’innovation : Des entreprises leaders (Minalogic, Tennerdis, Techtera, Des pôles d’excellence et d’innovation (PIC, PIL’es, METIS).
Des projets collaboratifs sur l’éco-construction (Grands Ateliers, CEA, Des conventions de revitalisation destinées à accompagner les rojets des entreprises pour le territoire (PLAYTEX, TECUMSEH, VALEO, PHOTOWATT, Un taux de création d’établissements de 17% (16% pour la région et le département). Développement notamment des activités de services à la population en lien avec le développement démographique du territoire. Des fragilités et des points de vigilances • Une part importante des emplois intérimaires (3. 1 % de l’emploi, entre 2010 et 201 1), avec des incidences sur les parcours professionnels (accès à la formation,… ) et ses conséquences en cas de crise et de réduction des effectifs (salariés non éligibles ux mesures d’accompagnement des PSE et des dispositifs de reclassement CSP).
Les fragilités propres aux activités des prestataires logistiques (intérimaires, fluctuation importante des coups et des marges, forte concurrence européenne, Des établissements appartenant à des grands groupes internationaux où les responsables doivent régulièrement démontrer les avantages concurrentiels de leur site de production (productivité, qualité, réactivité . concurrentiels de leur site de production (productivité, qualité, réactivité… ) Des potentiels à développer / accompagner La création reprise d’entreprise (évolution annuelle +17%). Les perspectives de grands chantiers (LGV Lyon Turin, CFAL), les opérations de rénovation urbaine, le projet de village de marques, le projet urbain autour de Pex-hôpital pierre Oudot (activités médicales et de restauration)…
Les développements de groupements d’employeurs (GE, GEIQ, avec pour l’instant sur le territoire : Le GEIQ CERA (transport voyageurs), GENI-LOG (logistique), GENI- PLURI (temps partagé, pluri-activité), Emploi Public le GEIQ BTP. En Isère, la part de remploi public dans l’emploi salarié est du ême ordre de grandeur qu’au niveau national (27%). Mais il est plus qualifié car les secteurs de l’éducation et de la recherche y sont d’avantage représentés. L’Isère figure ainsi en cinquième position des départements français pour la qualification de son emploi. Actifs 140 678 personnes (2010) . Taux d’activités : dont d’homme et de femme (Isère et région 7796 et 70%). une croissance des actifs de plus de 2% par an entre 1999 et 2010 (Isère et région moins de 1. 3% par an). Le niveau de formation et de qualification est inférieur à celui du département.
Actifs occupés (2012) : 68 679 salariés dans le secteur privé répartis dans les secteurs dactivité de la manière suivante Services : 43% industrie : 26% (24% en Isère, 21% en Rhône Alpes, en France) ts, chefs d’entreprise : Commerce : 20% Artisan PAGF E OF Rhône-Alpes 1999 2010 Salariés 87 87,596 Titulaires de la fonction publique et CDI 74, 73,996 PAGF 3 992 25 à 49 ans 13190 50 ans et plus 4 448 (+9. 4%) Ancienneté > 1 an (+1. 9%) 6196 8 537 (+10. 7%) RSA (droit payable) 2418 (+10. 3%) Points de vigilance Forte augmentation des demandeurs d’emploi longue durée insi que des seniors, les allocataires RSA suivent la même augmentation que les demandeurs d’emploi longue durée. peu d’évolution chez les jeunes demandeurs d’emploi, augmentation significative des suivis Mission Locale Jeune.
Métiers en tensions • – Ouvriers non qualifiés de l’emballage – Agents d’entretien de locaux – Professionnels de l’animation socioculturel – Serveurs de cafés restaurants – Employés de maison et personnels de ménage – Aides à domicile et aides ménagères — Agents immobiliers syndics – Agriculteurs salariés. Les différents dispositifs utilisés sur le territoire . L’utilisation du RSA est en forte augmentation. Les MLJ ont de plus en plus de suivi CIVIS, elles utilisent aussi le FAJ ponctuellement, elles mettent en place des EMT en partenariat avec Pôle Emploi ainsi que des mini-stages. Le dispositif Emploi d’Avenir fonctionne bien, notamment avec les Collectivité Territoriale et la poste. Le Contrat de Génération est plus utilisé en Région Rhône Alpes que sur l’ensemble du pays, mais il reste malgré tout sous utilisé. Compétences clés et compétences premières sont deux dispositifs fortement utilisé.