Cyrano de Bergerac est un auteur de l’époque baroque, l’autre monde et les états empires de la lune parut en 1646, est une œuvre inattendue, amusante ayant des signification implicites inspiré d’un autre auteur. Dans ce roman , le héros narrateur raconte ses périples sur l’astre lunaire. Cet œuvre, offre une perspective nouvelle du regard sur l’autre, par son voyage imaginaire, elle renouvelle le regard de la différence. PLAN : Nous verrons ici, comment l’utopie permet de mettre en évidence la reflexions sur l’autre.
Après avoir mesurer ce que l’auteur emprunte à la relation de voyage, nous verrons qu’il enverse habillement les perspectives pour finalement construire un discours critique sur la société de son temps I – L’extrait d’une rela n Ce passage montre Sni* to topoïs de la relation A) La figure du narrateur : uteur : tous les Dans une relation de voyage, le narrateur se distingue par deux caractéristiques – son héroiÈme : l’inconnu, seul : « Je restais bien surpris de me voir point Se remettant au destin comme Ulyse dans l’Odysée : « je résolus de marcher, jusques ou de la mort » Cet héroïsme permet la dramatisation du voyage, eveillant l’intérêt du lecteur. son apparente neutralité : le narrateur s’exprime à la 1ère perso, rapportant les faits, juxtaposition Swipe to vlew next page juxtaposition des phrases (3 lignes 1ère). En terrain inconu, il a un regard distencé de ce qu’il entoure. Dans ce cadre utopique ; la position de ce témoignage authentique garanti la crédibilité de ce récit fantaisite.
B) L’image donné narrateur dans ce nouveau monde : une merveille : La fantaisie sont les détails de ce nouveau monde, décrit par l’auteur : sur la lune se trouve, des monstres, « des bêtes hommes qui « avait la taille comme nous » mais marchant ? 4 pattes (deuxième topos de la relation de voyage, Hérodote) car le narrateur souligne que ces êtres rappelent ceux de la mytholgie : « Cette aventure me fit souvenlr des satyres C) un monde qui suscite l’étonnement • Une autre caractéristique de la relation de voyage, est de souligné l’étonnement, la stupéfaction… d’où le caractère des Sélénites (lexique de l’étonnement) : « surpris » ; « étonné » renforcé par hyperbole : « plus de sept ou huit cents… qui provient de la position du voyageur découvrant un monde inconnu : lexique du regard la découverte. Mais aussi la dimension à l’aspect physique (dimension esthétique) au comportement (dimension éthique).
Le thème majeur est la diversité des mœurs (façon de marcher) et l’interprétation de l’inconnu développé par un champs lexical et des modélisateur exprimant le doute. Il – Le renversement des perspectives : A) Jeux de symétrie Le passage met un jeu de symétrie entre les regards et les sentiments par PAG » OF d sentiments par rapport au regard du narrateur-héros sur ce monde nouveau : « je le vis revenir » ; « je vis entrer » ; « Quand je les pus discerner » ; « contemplé » : « ce peuple me vis etit » la répétion du verbe voir est fort parlante. Il est surpris de ce qu’il voit : « je fus bien étonné » étant lui-même, l’objet d’étonnement pour les Sélénites : « ils élévaient des huées (… voir » ; « les grands modérés n. Le renversement touche aussi l’interprétation : Pour le narrateur les Sélénites sont des animaux, alors que lui-même est pris pour un animal. Ce jeu de miroir met en avant une idée forte : la différence pertube les repères et balaie les certitudes. B) e jeu des discours : Le jeu de discours rélève cette pertubation : nombreux sont des locuteurs et des propos rapportés du texte. Le narrateur tiend le discours principal et fait aussi intevenir des locuteurs : – le peuple « ils disaient donc » – les grands, nobles proche du roi « les grands semblable » – l’espagnol : parole raporté au discours direct du court dialogue. les « prêtres épouvantable » Le mélange des discours rapporté contribue à l’action et ? dramatiser le récit, d’où nourrir l’intérêt du lecteur. Elle rappelle idée propre du baroque : le monde est au théâtre. C) un débat sur une question centrale Le mélange des discours met un débat sur une question majeur : l’homme. Le narrateur et les S l’homme. Le narrateur et les Sélénites se regarde pour considérer l’autre comme un homme avec des différences : il explique « je rencontrai hommes pour les Sélénites, le narrateur est un singe, puis un homme sauvage avec une croissance physique déficiente « deux hommes dessus » ici, Cyrano montre qu’il l’a lu Marco Polo en prenant le motif des singes.
III- Un passage satirique La fantaisie dissimule un thème phylosophique A) La lune : un miroir inversé du monde Le renversement des perspectives crée la critique de l’éthnocentrisme : le narrateur dit : La lune lune C’est une vérité, on retrouve la notion de relativisme défendu par Montaingne (XVIe). Cyrano critique dans d’autres œuvres « l’orgeuil eux ». Ce passage est une illustration du relativisme. Les Sélénites apparaît d’abord comme des monstre, alors que dans leur regard, le narrateur craint « d’être devenu un monstre B) L’exercice de la satire L’Etat des Sélénites est la vision du monde réél montrant des similitudes avec le monde contemporains. La forme du texte montre organisation de la société : le peuple, les grands, le roi, les prêtes. C’est une critique de la société « ils ne purent » montre que les grands sont encore moins ouvert d’esprit que le peuple, et les prêtes guident l’opinion.