groupes, au nord et Avec son équipe et s su or 2 Legorjus arrive au te e , A leur grand étonne avant leur arrivée : 3 l’ordre et la morale Premium gy tallouche aarycva 31, 2014 2 pages L’ordre et la morale Résumé : Reconstitution des évènements de la prise d’otages d’Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie, au printemps 1988, telle qu’elle a été vécue par le Cap’taine Philippe Legorjus, du GIGN… 22 avril 1988. Officier spéclalisé dans les négociatlons de prises d’otages, Philippe Legorjus est appelé en pleine nuit pour ne affaire urgente.
Des indépendantistes kanaks, membres du FLNKS, ont pénétré dans les locaux de la gendarmerie de Fayaoué, sur l’île d’Ouvéa, en Nouvelle-Calédonie. Les premiers rapports sont confus, faisant état de la mort de trois gendarmes, les 27 autres ayant été emmenés en otages et séparés en deux Swipe Lo nexL page e, le Général Jérôme, eures à Nouméa. débarqué en force mandement du Général de Brigade Vidal, charg par le Ministre des DOM-TOM Bernard Pons de retrouver et sauver au plus vite les otages.
L’opération devait être confiée selon la procédure au seul GIGN, mais les consignes ont changé entretemps… A quelques heures du premier tour des élections présidentielles, cette prise d’otages est devenue un enjeu politique majeu majeur. En conséquence, le Général Jérôme doit superviser de loin les opérations de ses hommes, confiés au commandement de Vidal. Legorjus se retrouve donc dans une sltuation délicate, tentant de comprendre la situation sur place dans un contexte de violence.
Il est témoin de brutalités commises par les soldats de l’Armée de Terre contre les civils kanaks, espérant en vain les pousser à dénoncer les preneurs d’otages. Avec le retour sain et sauf des otages emmenés au sud de Ille, Legorjus peut apprendre ce qui s’est passé au poste de Fayaoué : une action d’occupation pacifique des locaux, dirigée par Alphonse Dianou, a malheureusement dégénéré, entraînant la mort de trois gendarmes et la capture des autres.
Une escouade de l’Armée, accompagnée de Legorjus et ses ommes, recherche le groupe de Dianou dans le nord de l’île. Après plusieurs jours de recherches en pleine forêt, le contact est établi. Méfiance, hostilité, peur réciproque… Legorjus prend des risques pour parler à Dianou et le convaincre de relâcher tous les otages sans violence. Malheureusement, ses efforts n’empêcheront pas le drame qui va éclater le 4 mai 1988, lorsque les forces armées françaises donneront Passaut contre la grotte d’Ouvéa. Un assaut meurtrier qui aurait pu et dû être évité…