Projet d’Initiative et de Communication

Introduction Comme son nom l’indique, le PIC est un projet, c’est-à-dire qu’il consiste à se fixer des objectifs que l’on atteindra à la réalisation du projet. Le projet a comme but de passer une information, de renseigner les personnes sur un sujet, de répondre à un besoin sur le territoire. Le besoin qu’avait no or 17 était l’inclusion desp Sni* to View nextÇEge Pour cela, nous avon partenaire, nos tuteu assins de la Vendée) n milieu scolaire. Ons avec notre et nos intervenants afin d’organiser toutes les activites qui se sont effectuées. diagnostic

Définition de l’inclusion scolaire des personnes à handicap : Ensemble de pratiques pédagogiques qui permettent à chaque élève de se sentir valorisé, confiant et en sécurité de sorte qu’il puisse realiser son plein potentiel. Elle repose sur un système de valeurs et de croyances qui sont axées sur le meilleur intérêt de l’enfant et qui favorisent chez lui non seulement une participation active à ses apprentissages et à la vie scolaire, mais également un sentiment d’appartenance, le développement social ainsi qu’une interaction positive avec ses pairs et sa communauté scolaire.

A et effet, les écoles et les collectivités partagent ces valeurs et ces croyances. plus précisément, l’inclusion scolalre est réalisée dans les communautés scolaires qui appuient la diversité et qui veillent au mieux-être et à la qualité de l’apprentissage de chacun de leurs membres. L’inclusion scolaire se concrétise alors par la mise en place d’une série de programmes et de services publics et communautaires mis à la disposition de tous les élèves. 1) Le diagnostic dans le département de la Vendée Nous avons constaté qu’il y avait un manque de place en Institut Médico Educatif (IMEI).

A ce jour 50 enfants attendent d’entrer dans un établissement en Vendée. Certains élèves sont déjà dans le système scolaire ordinaire, d’autres subissent des problèmes d’inclusion. Déscolarisés et restants à la maison avec toutes les conséquences désastreuses que cela entraîne, quant à leur développement, leur avenir, les difficultés que rencontrent leurs parents qui doivent arrêter de travailler pour s’occuper d’eux. Des différents besoins nouveaux contin PAG » 7 doivent arrêter de travailler pour s’occuper d’eux.

Des différents besoins nouveaux continuent d’être évalués par a Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH2) sans qu’aucun projet de création de place ne soit envisagé par l’Agence Régionale de santé (ARS3) pour répondre aux différentes besoins de ces enfants en situation difficile. Des jeunes enfants de 12 à 18 ans en situation de handicap mateur sont contraints de quitter le département de Vendée pour bénéficier, ailleurs, de prise en charge adaptée à leur situation, faute de structures crées par « ARS en Vendée.

Il y a un manque de places dans les Services d’Éducation Spéciale et de Soins à Domicile (SESSAD4). Environ 200 enfants n’ont ucune prlse en charge dans le département, et certalns sont sur listes d’attente depuis plusieurs années sans réponse. Précisément les manques de places concernent les classes spécialisées en école primaire (les classes d’inclusion scolaire (CLISS). Les enfants se voient imposer le redoublement dans des classes ordinaires qui ne sont pas du tout adaptées à leur besoins, faute de places suffisantes en CLIS.

Les personnes chargées de ces enfants dans les classes ordinaires ne sont pas forcement spécialisées et formées pour les prendre en charge et ne savent pas comment gérer leurs besoins. De ce fait, les enfants et leurs parents voient leurs troubles et leurs difficultés s’aggraver. Par ailleurs, les manques de classes sont très fortement ressentis dans les collèges spécialisés, Unités d’Inclusion Scolaire (ULIS6).

Les adolescents sont maintenus en école primaire avec des petits de 10 ans, non pas parce qu’ils n’ont pas le maintenus en école primaire avec des petits de 10 ans, non pas parce qu’ils n’ont pas les capacités d’entrer au collège, mais tout simplement parce qu’il n’y pas de place pour eux au collège. La Direction Académique des services de l’éducation Natlonale n Vendée (DASEN7) a ouvert deux ULIS en septembre 2013 (? Chantonnay et aux Herbiers) pour calmer la colère de familles qui se sont mobilisées en juin et juillet dernier, mais ce n’est pas suffisant pour répondre aux besoins.

Les CLIS (école) et ULIS (collège) sont en nombre insuffisant et parfois très éloignées du domicile des enfants handicapés. Les CLIS et ULIS 23 et 4 sont toutes situées à La Roche sur Yon. Les enfants viennent donc de tout le département pour bénéficier de cette scolarité adaptée. De plus, dans le département de la Vendée, un manque réel Assistants Vie-Scolaire (AVS8) est à déplorer dans les CLIS et ULIS, doublé d’un manque d’instituteurs spécialisés.

Il ny a d’ailleurs pas d’enseignant spécialisé dans les CLIS 2. Un dispositif expérimental ouvert en lieu et place d’une CLIS et accueillant des enfants porteurs de différents handicaps ne bénéficie ni d’un enseignant spécialisé, ni d’Assistant Vie- Scolaire. Des enfants de 3 à 12 ans lourdement handicapés et scolarisés dans une unité adaptée n’ont le droit à une scolarité qu’à mi- temps. pour la cinquième année consécutive la DASEN nomme n enseignant qu’à mi-mi-temps.

Des Auxiliaires de Vie Scolaire individualisées sont affectées dans les établissements scolaires sans respecter le nombre d’heures nécessaires aux enfants et pourtant notifié par la MDPH. Des Auxiliaires de Vie Scolaire mutualisées sont noti 13 enfants et pourtant notifié par la MDPH. Des Auxiliaires de Vie Scolaire mutualisées sont notifiées par la MDPH sans tenir compte des besoins spécifiques des enfants handicapés, ni des avis des professionnels qul entourent ces enfants et qui demandent à l’unanimité des AVS individuelles.

Le Syndicat des Directeurs et Instituteurs de Vendée dénonce la manière dont sont affectées ces AVS mutualisées. Cest maintenant le Directeur Académique qui décide seul des heures qu’il accorde à une école et non plus aux enfants et parents. Il semble bien que les intérêts des enfants et les avis des professionnels ne valent pas grand chose face aux critères budgétaires. Comme partout, sans argent, les problèmes rencontrent nettement plus de difficultés à être résolus, par conséquent le CESC9 n’échappe pas à cette règle.

Les AVS sourdes ne peuvent pas bénéficier de l’intervention dun nterprète pour suivre les formations organisées par la DASEN. Des élèves de 16 ans sont déscolarisés juste à cause de leur handicap et parce qu’aucune solution ne leur est proposée pour continuer. L’école n’est obligataire que jusqu’à 16 ans certes, mais c’est un droit pour tous ceux qui veulent poursuivre et à préparer leur avenir ! Comment accepter que ces jeunes soient exclus du système éducatif sans aucune alternative ? Les familles doivent supporter des frais de transport du fait que les enfants sont amenés par leurs parents.

Aucun moyen de transport en commun adapté n’est mis en place. De ce fait, les parents des enfants handicapés doivent se rendre disponibles, donner de leur temps et de leur argent pour les amener. Les parents, les enseignants, les a Les parents, les enseignants, les associations sont exaspérées par cette situation qui n’évolue pas au fil des années. Et pourtant en 2013, des centaines d’enfants sur notre département sont discriminés du fait de leur handicap, méprisés dans leurs droits, oubliés dans leur réalité. ) Des textes ignorés : En 1959 la communauté internationale a adopté, à l’unanimité, la Déclaration des droits de l’enfant. Il y est dit que « l’enfant physiquement, mentalement ou socialement désavantagé doit recevoir le traitement, l’éducation et les soins spéciaux que nécessite son état ou sa situation. » En 2005 notre pays s’est doté d’une loi ambitieuse et nécessaire qui affirme le droit pour chaque enfant à une scolarisation en milieu ordinaire au plus près de son domicile, à un parcours scolaire continu et adapté.

Les parents doivent être étroitement associés à la décision d’orientation de leur enfant et à la définition de son projet personnalisé de scolarisation. épartement sont discriminés du fait de leurs handicaps, méprisés dans leurs droits, oubliés dans leur réalité. Faudra-t-il bientôt s’excuser d’être nés ou devenus handicapés ? Grandir avec un handicap ce n’est pas un choix de vie ! Mais ça ne doit pas devenir une vie sans choix !

La DASEN doit proposer des projets de mise en place de nouvelles classes pour répondre aux besoins de prise en harge de ces enfants. 3) Le Contexte : Les personnes handicapées La prévention et le dépist aps, les soins, l’éducation, prévention et le dépistage des handicaps, les soins, l’éducation, la ormation et l’orientation professionnelle, les emplois, la garantie d’un minimum de ressources, l’intégration sociale et l’accès au sport et aux loisirs du mineur et de l’adulte handicapé physique, sensoriel ou mental constituent une obligation nationale.

Extrait de l’article 1 – Loi de 75 dite loi d’orientation en faveur des personnes handicapées 1 – Les personnes handicapées : Malgré des efforts budgétaires importants, la France reste en retard en matière d’insertion des personnes handicapees. Selon l’INSEE la population handicapée se heurte trop souvent ? une société peu accueillante au différences. ) La déficience . « Dans le domaine de la santé, la déficience correspond à toute perte de substance ou d’altération d’une fonction ou d’une structure psychologique ou anatomique La déficience est le reflet d’un désordre qui touche l’organe.

Quand un organe est touché la déficience peut se manifester sous forme de surdité, retard mental, paraplégie….. 5) Incapacité : « Dans le domaine de la santé, l’incapacité correspond à toutes réductions ( résultants d’une déficience ) partielle ou total de la capacité d’accomplir une activité d’une façon ou dans des limites onsiderés comme normales, pour un être humain à un age donné » L’incapacité concerne les activités quand elles sont effectuées dans la vie quotidienne. Cela touche : -Les attitudes comportementales -Les soins corporels -La locomotion -Les autres activités comme écrire faire la cuisine….

La conception de l’incapac- par rapport à la PAGF70F13 de l’incapacité est neutre par rapport à la déficience, elle ne se préoccupe pas des causes. 6) Le désavantage « Dans le domaine de la santé, le désavantage social de l’individu est le préjudice qui résulte de sa déficience ou de son incapacité t qui limite ou interdit l’accomplissement d’un rôle considéré comme normal compte tenu de l’age, du sexe et des facteurs socio- culturels » Le désavantage est l’aspect social de la déficience ou de l’incapacité. Il met en lumière les conséquences sociales, culturelles, économques, envlronnementales qui en découlent.

Il y aura des avantages en matière d’économie, de mobilité, de travail, d’enseignement, de relations sociales, de participations sociales. 7) Les structures et services Les structures et services s’adressant aux enfants Structure et service de soin : de « hospitalisation aux soins ? omicile, à l’intervention de thérapeutes spécialisés intervenant dans le cadre libéral, ces structures et services de soins relèvent du dispositif d’offre de soins prise en charge par l’assurance maladie (hôpitaux, centres de rééducations… Structures d’éducation : hormis le dispositif général de l’éducation générale, ou dans le cadre de l’intégration scolaire, les enfants handicapés doivent être accueillis prioritairement, le secteur de l’éducation spécialisée a pour particularité de proposer des actions éducatives, l’enseignement et les soins, dans les mêmes lieux :INE. Les structures offres 1 20000 places et sont financés à cent pour cent par la société qui assure en partie les frais d’éducation, d’hébergement, de repos et de transport des enfants, afin de faciliter leur accès à l’éducation.

PAGF d’hébergement, de repos et de transport des enfants, afin de faciliter leur accès à l’éducation. Les CAMCP ( Centre d’activité médicaux sociales précoces ) visent les dépistage et le traitement précoce du handlcapés. Les CMPPIO peuvent diagnostiquer et proposer des prises en charge thérapeutiques adaptées aux problèmes de l’enfant 8) Les différentes catégories de handicaps Définition handicap moteur et mental Handicap moteur : un handicap moteur est un trouble physique qui peut affecter la motricité (perte d’une partie ou de la totalité de la capacité de mouvement).

Handicap mental : L’expression « handicap mental » qualifie à la fois une déficience intellectuelle (approche scientifique) et les conséquences qu’elle entraîne au quotidien (approche sociale et sociétale). Le handicap mental se traduit par des difficultés plus au moins importantes de réflexion de conceptualisation, de communication, de décision, etc. Ces difficultés doivent être ompensées par un accompagnement humain, permanent et évolutif, adapté à l’état et à la situation de la personne. ) Les handicaps visuels Il faut différencier les personnes mal- voyantes des personnes aveugles. Les déficiences : elles atteignent la partie du corps qui permet l’activité visuelle. Les incapacités : il y a la cécité totale et la mal-voyance. Les désavantages : il peut y avoir des répercutions sur l’apprentissage scolaire, le travail.. La personnalité, l’environnement familial, les aides techniques, tel qu’un chien guide, sont des techniques qui facilitent l’intégration, e développement des sens, et ‘ouent donc un rôle primordial. e développement des sens, et jouent donc un rôle primordial. 10) Les handicaps auditifs On distingue trois niveaux de surdité : – Les sourds profonds Les malentendants sévères – Les malentendants moyens et légers Les déficiences : elles touchent ce qui permet d’entendre et de s’équilibrer. Les incapacités : la déficience auditive entraîne une incapacité de communication à la fois de réception et d’émission. Cette déficience peut aussi générer des troubles de l’équilibre. Elle peut nfin ralentir l’acquisition du langage seulement quand la surdité survient précocement.

En effet on sait maintenant que le langage se construit par rapport à l’imitation du son. Cette imitation est impossible dans le cas d’un enfant sourd. Les incapacités sont invisibles. Cela est la cause de beaucoup de mal entendus, d’incompréhensions, de difficultés à s’intégrer. Les désavantages : en général, les sourds se sentent en dehors « du coup », de la société. Elles ne comprennent que quelques mots et ont du mal à suivre une conversation. Comme tous les handicaps présentés, des moyens de ompensation existent.

Ils se scindent encore en porteur intrinsèque( le toucher… ) et en porteur extrinsèque ( appareil auditif, la langue des signes, les papiers le crayon etc… ). 1 1) Les handicaps mentaux Les déflciences : les causes sont variées : maladies, accidents „ etc. La déficience peut être stable. exemple: la trisomie 21, la maladie Alzheimer, l’autisme Les incapacités : pour évaluer les retards mentaux, les spécialistes utilisent des tests de QI. A partir des résultats ils déterminent la sévérités des incapacités en retard profond, sév 17