Le droit à l’oubli et internet Alors voici une 3ème contributions le résumé d’un article qui m’apparaissait intéressant à prime abord puisque celui-ci porte sur le droit à l’oubli, suet qui avait été discuté lors de notre premier samedi de cours. Cet article s’avère assez technique, mais on y retrouve tout de même quelques commentaires pertinents relativement au fait qu’Internet ne permet pas vraiment la protection de données en toute confiance.
Selon les propos de l’auteur, les gens sont imprudents en publiant des informations personnelles sur Internet puisqu’il est facile de ‘introduire dans la vie privée de ceux-ci. Toutefois, ils sont de plus en plus conscients des risques que cela comporte et cherche maintenant à contrôl Bien qu’étant un droi moins en moins resp du droit à la vie privé ors Sni* to n Swipe to View nexr_ page ives à leur vie privée. a vie privée est de rait pourtant partie ‘oubli était le standard, il semble maintenant impossible qu’une information disparaisse complètement, notamment en raison de la vitesse d’internet et du fait que l’information peut être facilement copiée. Même en effaçant foriginal, il demeure toujours des traces. Il semble que la Commission européenne tente de codifier une protection quant au droit à l’oubli par un projet de règlement dans lequel on accorde le droit à tout individu de supprimer les traces numériques de ses actions.
Cela comportera, toutefois de nombreux défis d’application si ce n’est que de définir ce qu’est le droit à l’oubli et ce qu’est une donnée personnelle. Par ailleurs, la codification d’un tel droit peut amener certains conflits avec d’autres droits tels la liberté d’expression ou la liberté de presse. Malgré l’impossibilité de faire disparaître toute trace sur Internet, ‘auteur étudie diverses façons de créer des données éphémères soit par l’auto-destruction intégrée à parchitecture du système.
Toutefois, cela implique que les données ne sont pas stockées ? long terme. On y discute aussi de la pos long terme. On y discute aussi de la possibilité d’une dégradation progressive des données mais il semble peu probable que tel système soit mis en place. Ce système suscite un problème de confiance des utilisateurs envers l’hébergeur. On envisage dautres techniques pour pallier à ce problème tels Ephemerizer t Vanish destinés à effacer les données lorsque ceci a été prévu dès le départ et ce, à une date donnée.
Lorsque l’on veut effacer des données que l’on avait prévues conserver à long terme il semble que cela soit assez complexe. Par ailleurs, Il existe des systèmes de base de politique adhésive qui ne semble pas évident à mettre en œuvre. Le constat est que, pour le moment, la suppression des données numériques n’est pas totalement envisageable et donc que le droit à l’oubli est difficilement applicable sauf par certains procédés artisanaux ou procédés juridiques qui simulent l’effacement des données.