rapport de stage ccls

Plan Remerciements INTRODUCTION 4 Annonce du stage Bref descriptif de l’entreprise et du déroulement du stage Problématique et objectifs du rapport [Analyse sectorielle] Annonce de plan I / Lientreprise et son A – Le secteur 6 1. PRESENTATION 7 or 16 Sni* to View 2. ACTUALITE DU SECTEUR D’ACTIVITE 9 B – L’entreprise par rapport au secteur 1. Historique de l’entreprise 10 2. L’entreprise stage 1. Description de la structure sociale 2. Fonctionnement 13 Ill / Les travaux effectués et les apports du A – Les travaux EFFECTUENT 14 1. Les outils mis à ma disposition 2. Les Missions du poste OCCUPE.

B Les apports du 6 1 . COMPETENCES acquisES 15 2. DIFFlCULTESRENCONTRES ET SOLUTIONS APPORTEES 17 3. La vie en société 18 a. L’articulation des différents départements b. Les relations humaines entre les employés 19 Concluslon 20 Au terme de ce stage, je remercie la CCLS Lamtar de m’avoir accueillie durant ce mois. Je tiens à remercier tout particulièrement Monsieur AMARA Noureddine (le Directeur de la CCLS) de la CCLS lamtar, qui m’a accordé sa confiance et attribué des missions valorisantes durant ce stage, et Monsieur BELHADJ Fethi (Chef section comptable), qui a supervisé mon stage au jour le jour.

Merci également toute l’équipe de l’entreprise car chacun d’entre vous a su trouver un peu de temps pour m’aider dans mes missions. Finalement, j’exprime mes profondes gratitudes et vifs remerciements à la direction de l’école HEC qui a prévu un stage obligatoire pour nous donner une idée approfondie sur la vie professionnelle. Annonce du staee : les consigne, la confidentialité…… Mon maitre de stage étant Chef section comptable, j’ai pu apprendre dans d’excellentes conditions.

Ce stage a donc été une opportunité pour moi de percevoir comment une entreprise dans un secteur agricole va fonctionne En termes de production et la rentabilité, et la façon d’évaluer la récolte, comme je sais le travail des coopératives dans ce secteur. L’élaboration de ce rapport a pour principale source les différents enseignements tirés de la pratique journalière des tâches auxquelles j’étais affecté. Enfin, les nombreux entretiens que j’ai pu avoir avec les employés des différents services de la société m’ont permis de donner une cohérence à ce rapport.

Annonce de plan En vue de rendre compte de manière fidèle et analytique de ce mois au sein de la CCLS Lamtar, il apparait loglque de présenter ? titre préalable l’environnement économique du stage, à savoir le secteur de la coopérative agricole, puis d’envisager le cadre du stage : la coopératif des céréales et des légumes secs, Enfin, il sera précisé les différentes missions et tâches que j’ai pu effectuer au sein du service des finances et de la comptabilité, et les nombreux apports que j’ai pu en tirer. 6 l’international.

Dès lors, quelle démarche suivre pour promouvoir un développement agricole ambitieux et permettant la valorisation de toutes les potentialités? Tout d’abord, il faut agir sur les contraintes et dysfonctionnements. Actuellement, la situation permet d’identifier les freins majeurs au développement du secteur. Selon les spécialistes de la question, les prix internationaux de plus en plus volatils représentent la première contrainte. Aussi, l’amélioration des rendements domestiques évolue lentement et n’arrive pas à renverser la situation en faveur d’une meilleure maitrise des importations.

Ceci s’explique par les contraintes structurelles d’ordre climatique et physique auxquelles s’ajoute l’incapacité économique des unités de production soufrant de poids économiques réduits et par voie de onséquence de faiblesse de compétitivité. Devant cette situation, l’on se demande quel rôle joue le système coopératif actuellement dans l’agriculture algérienne et quelle place pourrait-il occuper dans une agriculture plus performante et plus rentable sachant que celui-ci constitue un outil indiscutable d’organisation et de « boostage » économique des unités de production agricoles.

Bien que ce système n’est pas étranger à la langue marche qu’a connue l’agriculture algérienne, il a toutefols traversé plusieurs péripéties justifiant une relecture de son rôle potentiel prouvé comme moteur du développement e l’agriculture, de ses performances et contraintes depuis l’ère colonial jusqu’à l’heure actuelle et une analyse des conditions de son redynamisation. 1.

Présentation Les coopératives de producteurs agricoles ont été mises sur pied dans les pays en voie de développement comme outil de réforme sociale de la paysannerie et comme courroie de transmission des programmes de développement régi PAGF s 6 et comme courroie de transmission des programmes de développement régional intégré. Elles furent considérées, ? l’instar des expériences européennes, canadiennes et japonaises ù leur rôle est prédominant dans le secteur agricole, comme la panacée aux maux du petit producteur.

Les objectifs poursuivis sont, en effet, d’une logique économique fort séduisante puisque le regroupement en coopérative permet, en principe, une intégration horizontale dans le ramassage et la transformation primaire des produits agricoles, d’une part, et un pouvoir de négociation accru dans l’achat des intrants et la vente des extrants, d’autre part. Toutefois on constate que les coopératives agricoles existent de moins en moins à l’état pur.

Elles constituent es groupes, notamment lorsqu’elles transforment leurs prodults, qui autour d’une coopérative, articulent des filiales de statuts non coopératifs. Les filiales sont en outre souvent détenues en commun avec d’autres coopératives, voire même des societés capitalistes industrielles ou bancaires. Se trouvent ainsi combinées dans les faits des logiques différentes, coopératives et capitalistes. Pour l’une le facteur risqué est le produit, pour l’autre il s’agit du capital. Il est intéressant de revenir sur le pourquoi de ces évolutions. Nous avons identifié au moins 5 types de raisons.

Des raisons stratégiques consécutives à une globalisation des marchés Cette globalisation a presque toujours eu comme conséquence une concentration, notamment commerciale mais aussi une nécessité de réduire les coûts et (ou) de différencier les produits. Des raisons juridiques Contraintes statutaires limitant la capacité commerciale (règle de l’exclusivisme et de territorialité notamment). Contraintes pour faire des e le secteur privé et la PAGF 6 OF Contraintes pour faire des alliances entre le secteur privé et la société mère coopérative. Des raisons financières

Difficulté pour mobiliser les capitaux propres avec la société mère développement des holdings. Des raisons fiscales parfois Intérêt de la structure holding pour consolider les résultats des filiales comme dans les entreprises capitalistes. Des raisons de management, de prise de décision et de gestion Simplification, rapidité, meilleure vision des rentabilltés par métier, faciliter le recentrage etc. En fédérant l’amont de la production, et en investissant l’aval des filières par le biais des démarches de certification et de qualité, les coopératives cherchent à accroitre la plus-value de leurs produits.

Elles se trouvent en position charnière pour combiner des savoir-faire locaux et des savoirs organisationnels. Atouts et perspectives Les coopératives peuvent jouer un rôle important dans le développement agricole et rural durables. Leurs capacités doivent être renforcées par le biais de partenariats. En effet, des agriculteurs regroupés au sein de coopératives acquièrent un certain pouvoir de négociation sur le niveau des prix agricoles. Ce pouvoir de négociation permet de limiter le phénomène de la fixation des prix par le mécanisme de roffre et de la demande. 2.

Actualité du secteur d’activité : Il est clair que le système coopératif constitue pour l’Algérie une opportunité économique, sociale et culturelle pleine d’espoir que le milieu rural et agricole en particulier se doit de saisir pour son développement, que l’environnement se doit d’encourager pour son essor économiq ministration pour en stratégies de développement agricoles. Certains points apparaissent toutefois nécessaires pour replacer le système coopératif sur des bases plus saines et lui permettre de s’épanoulr : – établir un diagnostic des coopératives existantes. rocéder à un assainissement des coopératives tant du point de ue de la conformité en rapport avec les textes réglementaires que du point de vue du respect des dispositions statutaires de la coopérative. Mettre en place l’ensemble de l’organisation nécessaire aux plans administratif et organisationnel et permettant la mise en synergie de l’action des coopératives, leur contrôle et leur accompagnement. – Engager un programme de mise à niveau des coopératives agricoles (Formation et vulgarisation des techniques de gestion.

B – L’entreprise par rapport au secteur : 1. Historique de la CCI_S Lamtar : Il est constitué les soussignés et ceux qui adhéreront aux résents statuts, une coopérative agricole de Céréales et légumes secs, Société civile particulière de personnes à capital et personnel variables, regle par les dispositions de l’ordonnance n•72-23 du 07 juin 1 972 portant statut général de la coopérative, de l’ordonnance du 12 juillet 1962 relative à l’organisation du marché de céréales et de l’O. A. l.

C et du décret no 72-106 du 07 juillet 1972 portant statut de la Coopération Agricole ainsi que par les présents statut. La coopérative a été crée en 1977 et prend la dénomination de la COOPÉRATIVE DE CÉRÉALE ET DES LÉGUMES secs dite C. C. L. S de LAMTAR. PAGF transformation d’achat ou de vente. -De réduire au profit de leurs membres et par l’effort commun de ceux-ci, le prix de revient et le prix de vente de certains produits et de certains services en assurant les fonctions des entrepreneurs ou intermédiaires dont la rémunération grèverait ce prix de revient ou ce prix de vente. D’améliorer la qualité des produits fournis à leurs membres ou de ceux produits par ces derniers et livrés aux consommateurs. La coopérative a également pour objet l’amélioration des conditions de vie et de travail de leurs membres. A cet effet ils peuvent organiser la vie collective ainsi que les loisirs au pro leurs membres et de leurs membres. Il/ Le cadre du stage : 1.

Description de la structure sociale • La CCLS Lamtar regroupe [1 14] d’employés (on compte environ 40 employés permanents, 44 contractuel, 20 saisonnier et 10 CTA), qui sont divisés par des départements, tous sous la direction du Président-directeur général, M. AMARA Noureddine : Service d’achat : Cette section se spécialise dans le processus d’achat. A la récolte la coopérative achète les récoltes de blé dur, tendre et l’orge de différents agrlculteurs à des prix spécifiques, ‘une part, où choisir le prix du blé à 3500 DA en acier tandis que le blé tendre 4500 DA, soit l’orge, 2500 DA est son prix exact.

Dans cette section sont préparés les factures d’achat, selon les cas, émis par la section de matière afin de produire les décomptes; cette décompte représente la situation de chaque agriculteur un commerçant avec la coopérative de sorte que tout le monde a le droit trader décompte ouvert seul, même Sil est payé pour de grandes quantités et multiple Chaque fois que vous poussez la première section d’ouvrir leur compte. Service de matière : ce service spécialisée dans le suivi et PAGF 16 compte.

Service de matière : ce service spécialisée dans le suivi et le contrôle des stocks qui entre ou sort, Chaque jour, il reçoit une situation sur les stocks en fonction de la partie du magasin, et a une relation avec les moulins. Service des finances et de la comptabilité : la comptabilité est tenue conformément à un plan comptable approprié à la coopérative et obéissant à la réglementation en vigueur. Il est établi pour chaque année sociale un inventaire contenant l’indication de l’action et du passif de la coopérative.

Dans cet inventaire, les divers éléments de l’actif subissent les mortissements qui sont déterminés par le conseil de gestion. Il est établi également un bilan et un compte de pertes et profits. Service de personnel : Ce service comprend tout ce qui concerne le personnel au sein de la coopérative, où l’on retrouve plusieurs services comme le service sociale, service de paiement, service des contentions, le recrutement et la retraites.

La caisse : Le règlement tous les dépenses de la coopérative, tels que les salaires du personnel, les frais de maintenance, le règlement des droits des fournisseurs et toutes les autres dépenses. Sauf le règlement des opérations sur les paysans où la anque est fondé réglé. Service appui a la production : Ce service est spécialisé dans la vente et la distribution de semences aux agriculteurs clients pendant la saison des semailles, et de vous fournir également aux agriculteurs des engrais pendant la saison de croissance.

Service motoculture : Il s’agit d’un nouveau service qui fournit de nombreux paysans de services, par exemple, dans la saison des récoltes offre tout ce qui touche aux paysans processus de récolte, et aussi où le labour permet de configurer les paysans eux toute la machinerie nécessaire LJnité de stockage (dock) •