Culture et gestion au Japon : Harmonie, sérénité et rigueur ATLANI Julien or 5 Sni* to View religion Le bouddhisme Fondée sur des pensées polythéistes Religions polythéistes : le bouddhisme, le taoïsme, le confucianisme et le shintoïsme. Religions qui vénèrent un nombre important de dieux. L’être humain peut se hisser au rang des êtres divins et vis-vers- ça. Hiérarchie du monde polythéiste : Les dieux la nature l’homme Portent un regard très attentif sur les éléments de la nature. Absence de dogme : recherche de la vérité et façon de livrer son enseignement.
Religions possédant peu d’écrit à l’inverse de religions onothéistes Proximité des dieux Lien avec les dieux plus affectif que contractuel. Religion née en Inde au VIe siècle avant Jésus-Christ. Arrivé au Japon au VIe siècle de notre ère. Bouddha n’est pas un dieu mais un homme ayant atteint un éveil spirituel. Expanslon importante du bouddhisme au Japon à partir du XIIIème siècle Grands maîtres : Dôgen (1200 – 1253) – Hakuin (1685 1 768) Le zen, apprécié de samouraïs pour sa pratique du calme intérieur et le sang-froid, très utiles pour la pratique d’arts martiaux.
L’impermanence : le monde change sans cesse, rien n’existe ?ternellement. Les japonais portent leur attention sur l’aspect dynamique des choses, sur les processus de transformation. Le vide : l’absence complète des choses substantielles. Notre ego n’est pas une entité physique et s irituelle, il est constitué d’une manifestation des phénom Sée, de sentiments et PAG » rif s Confucius au VIème siècle avant Jésus-Christ. Introduit au Japon au VIème siècle de notre ère. Faire régner la paix sociale à travers une doctrine philosophique et morale.
Deux principes fondamentaux : – L’humanité (Jin) – Le respect de la hiérarchie sociale (Rei) Adopté par le régime féodal Tokugawa (1 603 — 1868) afin de faire régner la paix au Japon pendant plus de deux siècles. A permis au Japon de développer une économie florissante et une culture spécifique. Les samouraïs à la tête du régime suivi par les paysans, les artlsans et les commerçants. Religion naturelle née au Japon. N’a pas de personnages divins à vénérer. Vénère les astres, les vieux arbres, les roches spéciales, les montagnes, certains animaux et des héros comme le shogun Ieyasu Tokugawa.
N’a pas de dogme sauf le Kojiki Les principes de cette religion reposent sur les rituels et la notion de pur et d’impur. Rituels liés à la nature et aux saisons. Cette religion a créée une forte identité nationale au Japon. L’actuel empereur : Akihito – 125e empereur. Peuple soudé et harmonieux attaché à ces cultures et à son pays. Une culture en harmonie avec la nature Le mimétisme La nature est une force surnaturelle Ils voient un esprit ou un dieu dans les différents éléments de la nature La nature est plus pulssante que fhomme, il faut vivre en harmonie avec elle.
Les SS : Seiri (tri), seiton (rangement), seiso (nettoyage), seiketsu (propreté), shitsuke (discipline) Imitation des occidentaux, influence musicale et de la mode. Pays qui dépense le plus d du luxe. musicale et de la mode. Pays qui dépense le plus dans Findustrie du luxe. NaiVeté des japonais face à ce qui vient de l’extérieur. Imiter – assimiler — se l’adapter — l’améliorer Cl « la japonsation » Le toyotisme est née du fordisme. La culture japonaise et l’esprit du capitalisme Le zen Le travail au Japon Vivre dans la sérénité avec la paix intérieur.
Aide à la concentration. L’homme peut atteindre le stade de zen en se donnant entièrement à son travail. Suzuki dit que fon peut obtenir de meilleurs résultats en pratiquant l’esprit zen à son travail. Voie spirituelle par laquelle l’homme peut réaliser son salut. C’est un but en soi d’amélioration personnelle. Qualité du travail = qualité spirituelle. L’éthique du travail et des affaires Protestantisme et zen valeurs éthiques au travail. Travail = valeur fondamental. L’entreprise existe pour l’intérêt public et le bénéfice est le résultat d’un travall honorable.
Protestantisme et zen = formation de l’esprit du capitalisme. Eiichi Shibusawa est le père du capitalisme européen au Japon. Il a favorisé la création de plus de 500 entreprises afin de favoriser l’industrie et l’économie. La gestion interculturelle au Japon L’emploi à vie pour leurs salaries Chaque entreprise a son propre syndicat. Promotion au mérite combiné à l’ancienneté. La gestlon est basée sur la force du groupe. Les entreprises recrutent les jeunes diplômés à la sortie de l’école. Rémunération selon l’ancienneté.
Les inconvénients de cette PAGF les étraneers. gestion pour les étrangers Les étrangers ont beaucoup de mal à s’intégrer dans ce système communautaire à long terme. Les occidentaux cherchent un poste à la hauteur de leur diplôme qui certifie leur qualification. L’évolution est lente au Japon, les anciens seulement sont à la ête de l’entreprise. La barrière de la langue est très difficile à franchir en entreprise pour un étranger au Japon. Les occidentaux ne mélangent pas leur vie professionnelle et personnelle à l’inverse des japonais.
Les entreprises ont du mal à embaucher des occidentaux de peur qu’ils s’intègrent mal. Un occidental voulant travailler au Japon doit connaître parfaitement la culture nippone. La communication et la négociation Culture du silence dominante « parler peu mais agir. La confiance n’est pas accordée aux bavards Le silence ne les gêne pas, deux personnes peuvent rester ensemble sans se parler. C’est une culture calme et reposante, sobre et pure visible ? travers tout types d’arts.
Cest un peuple adepte à la communication implicite, ils n’ont pas besoin de se parler pour se comprendre à rinverse des étrangers ou la communication explicite prime sur l’implicite. Pour négocier, il faut se connaître au Japon. Ils ne prennent pas les décisions rapidement, ils attendent de savoir si l’interlocuteur est de confiance à long terme. Vision du contrat différente entre les occidentaux et les japonais, ils considèrent le contrat comme une référence et pas comme une règle absolue comme les occidentaux.