symbolisme

Sommaire Introduction. . . Page Définition …. Page Jean … Page Différence entre Romantisme et symbolisme.. Le symbolisme dans Symbolisme en or2A Sni* to View peinture… Gustave Moreau/ Courte Biographie L’apparition………………….. 8 Analyse. .. Page 9/10 Odilon Redon , Pierre Puvis de Chavannes , Biographie. Le Pauvre pêcheur , analyse………. .page 6 .. page 7 . Page 11 . … Page 12 .. page 13/14 Analyse… …… Page 17 Symbolisme en littérature: Charles Baudelaire, page 18 L’ennemi , 19/20/21 Stéphane Mallarmé, Biographie………. .. page 22 Brise Marine, … page 23/24 Paul Verlaine, Tage 25 Clair de une … Page 26/27 Élargissement personnel…………. … page 28 Conclusion…. 29 Sources.. Page 30 Vocabulaire… — 31 Introduction 3 moins en donner une idée. Mais il s’agit au sens strict du terme d’une école littéraire lancée par le manifeste de Jean Moréas en 1886, dans lequel il reconnaît Rimbaud, Verlaine et Mallarmé comme maitres du symbolisme.

Jean Moréas, René Ghil et Jules Laforgue en sont les grands représentants Page 1 Définition: Le symbolisme est un mouvement littéraire artistique apparu en France vers 1 870, en réaction au naturalisme ,description très récises et réels des métiers et de la vie; les écrivains naturalistes n’essayent pas d’embellir la réalité et au mouvement parnassien qui cherche à introduire une poésie fondée sur le culte du beau. Le symbolisme s’inspire du romantisme allemand.

Le symbolisme français a influencé le symbolisme autrichien, anglais et partout dans le monde. Le texte fondateur du mouvement symbolisme est L’Art poéti ne publié en 1882. Le PAGF 3 illustre un élément essentiel de l’histoire religieuse. En philosophie, le symbole a une signification proche de celle de la représentation. La pensée symbolique procède par images et nalogues, à la différence de lapensée logique. pour Platon, les réalités concrètes ne sont que des images des idées pures.

En littérature, le mot symbole combine les deux définitions précédentes : comme en religion, il rend une réalité abstraite en une image concrète Page 2 Jean Moréas Jean Moréas est un poète symboliste grec d’expression française (1 856 – 1910). Issu de deux grandes familles grecques, fils de magistrat, Jean Moréas reçoit une éducation française et vient à paris en 1875 pour y faire ses études de droit. Il y fréquente les cercles littéraires, notamment les Hydropathes. Il rentre brièvement en Grèce avant de revenir se fixer à paris vers 1880.

Il rédige Le Manifeste du Symbolisme qui paraît dans le Figaro Littéraire en 1886. Dans ce manifeste, il énonce les principes de l’école symboliste. Page 3 Différence entre Romantisme et symbolisme Le Symbolisme est une réaction contre le naturalisme , qui est jugé trop proche de la réalité Le symbolisme est un mo aire complexe , qui PAGFd 3 à l’époque. On utilise beaucoup de mot propres aux langues étrangères des descriptions d’endroits méconnus . Les auteur Romantiques utilisent l’étrangeté pour rehausser le mystère e leurs texte .

La rêverie , le mystère et le fantastique sont également utilisé. Dans les textes romantiques on s’expriment toujours à la première personne , c’est l’apparition du journal intime et le développement de l’autobiographie. On trouve aussi l’amour malheureux: Les auteurs romantiques se réfugient dans l’amour , qui devient leur idéal dans cette société désillusionnée . Les histoires d’amour romantiques se terminent ET rarement bien et les couple ne peuvent s’unir que dans la mort . Le Romantisme joue sur les contraste, sur l’opposition du beau et du aid , du sublime et du grotesque .

A la différence le Symbolisme lui joue avec la Doctrine comme avec la vérité , pour les symbolistes , la vérité n’est pas une matière brute mais le signe d’une autre chose , le symbole on trouve également le mystère , ils refusent le rationalismes et le matérialisme , ils veulent renouer avec le mystère de vivre et de sentir « La poésie est ‘expression par language humain ramene a son rythme essentiel , du sens mystérieux des aspects de l’existence» Mallarmé . Les caractéristique du symbolisme sont aussi l’esthétique avec le symbole et la musique Page 4

Les thèmes sont l’analogie universelle: les sons , les couleurs , les parfums se répandent et renvoient à une même idée primordiale que doit exprimer le poème. le Symbolisme soutient qu’une séparation s’est produite entre l’individu et la réalité car l’homme ne peut communiquer avec la nature , ni ave PAGF s 3 s’est produite entre l’individu et la réalité car l’homme ne peut communiquer avec la nature ni avec les autres hommes ni même avec Dieu . Page 5 Le symbolisme dans les arts Symbolisme en peinture: Les princpaux peintres du symbolisme sont Gustave Moreau Odilon Redon , Pierre Puvis de Chavannes, René Ménard et

Gustave Klimt Nous allons voir dans un premier temps leurs biographies . Puis dans un second temps nous verrons certaines de leurs œuvres et leurs analyse . cette exposition est révélée la volonté de se distinguer de l’académisme par une recherche d’authenticité. Ainsi, les règles de la vraisemblance des peintures d’histoires sont transgressées. Toutefois, il est posslble de noter une évolution: le réalisme anatomique avec ajout d’ornement comme Gustave Moreau Le mythe est un refuge dans lequel l’artiste symbolique va puiser son imagination.

Page 6 Nous allons commencer par Gustave Moreau: Courte biographie: Né à Paris, le 6 avril 1826 Gustave Moreau est le fils de Louis Moreau architecte de la ville de Paris et de Pauline Desmoutiers . De santé fragile , le jeune Gustave dessine depuis l’âge de 6 ans , encouragé par son père . En 1843, il effectue son premier voyage en Italie , puis en 1844 , il devient l’élève de François- Edouard Picot,’ il intègre alors l’Ecole nationale des Beaux- Arts en 1846. Il échoue deux fois au prix de Rome . Il débute sa carrière en exposant au Salon en 1852 .

De 1857 à 1859 , il effectue un deuxième voyage en Italie où il passe des mois à copier les ?uvres de Léonard de Vinci et les fresque de Michel -Ange de la chapelle Sixtine A la fin de sa vie , il fait brûler toute la correspondance echangée avec la seule femme qu’il ait jamais aimée , Alexandrine Dureux . Il mourra le 18 avril 1898. 7 3 Baptiste. A l’issue d’une danse voluptueuse devant Hérode Antipas, son beau-père, celui-ci lui avait proposé d’exaucer un de ses vœux. On sait que sa mère lui avait soufflé le souhait de la décapitation du précurseur du Christ.

On verra en quoi ce tableau relève du sacré paien et chrétien et du symbolisme de la femme et du sacrifice. Page 8 Analyse: On trouve sur ce tableau le motif païen avec la tenue dénudée de Salomé à peine dissimulé par des voiles transparents et des bijoux , an dirait une danseuse orientale . On voit également un garde , au deuxième plan à droite , appuyé sur son épée portant un keffieh blanc sur la tête et les épaules ainsi qu’une tunique rouge . On est bien dans une ambiance Orientale On trouve également le motif chrétien avec au premier plan au sol , des tapis orientaux qui font contraste par leurs horizontalité.

L’un à dominante rouge et verte sur lequel se trouve Salomé n’occupe que la partie gauche divise le plan inférieur en deux arties égales , à gauche les couleurs vives et violentes associé à la luxure, à droite la blancheur irradiée par la tête du saint. La scène est déséquilibrée car Salomé n’occupe pas la position centrale mais le tiers gauche et son bras gauche tendu vers la tête de sant Jean-Baptiste déborde dans l’espace du saint, au centre des deux tiers restants.

Derrière Salomé, dans la pénombre et le flou se tiennent sa mère Hérodias dans un lourd habit solennel et, sur un trône au-dessus d’elle, son époux Hérode Anti as coiffé de la tiare qui est aussi l’attribut des papes. PAGF 8 3 écor est un mélange de style et d’époque, entre la cathédrale, le palais hispano-arabe et le temple oriental. Les tenues vestimentaires sont elles aussi hybrides mais la scène est un épisode biblique. Le tableau représente l’apparition avec le visage du saint occupant quasiment le centre du tableau . Il est face tournée vers Salomé . ne auréole de lumière avec des rayons entoure sa tête et éclairant la scène. Du sang coule de son cou , pourtant son expression est calme et sa tête est en lévitation . La tête du Saint nous fait penser a celle du christ , même cheveux longs et même barbe . age 9 Ce tableau symboliste est composite et, en mélangeant les univers et les symboles, brouille le message. Le flou des motifs et les lignes blanches qui soulignent les colonnes accentuent cet effet de vague. Le spectateur est à la fois intrigué et horrifié par la vision de la tête en suspension.

Il se dégage du tableau de la volupté et de la cruauté, du sublime et de l’horreur. On perçoit un combat entre la femme et l’homme, entre le trivial et le sacré, entre la chair et l’esprit. On a du mal à décider qui est vainqueur. Moreau reprendra de manière quasi obsessionnelle ce thème omme si, lui aussi, ne parvenait pas à expliquer sa fascination. et ésotérique de l’âme humaine, empreint des mécanismes du rêve. Son père épouse sa mère, une créole d’origine française, aux Amériques. Ils reviennent en France cinq ou six ans plus tard.

Redon est dès le départ un artiste spirituellement apatride. D’une nature fragile, il est confié à une nourrice puis à son oncle, à la campagne, et passe son enfance entre Bordeaux et le domaine de Peyrelade, près de Listrac dans le Médoc ; c’est là, en plein isolement de la campagne, que son destin de peintre verra le our, dans cette nature pleine de clairs-obscurs et de nuances propres à éveiller chez le jeune garçon ce monde étrange et fantasmagorique, ce sentiment subjectif qui sera l’essence même de son oeuvre.

S’intéressant aux arts, il sculptait et écrivait de la poésie, il a consacré une collection de tableaux aux « fleurs du mal » de Baudelaire, et resta fidèle à Bresdin qui l’initia à quelques techniques picturales. Après la guerre franco-prussienne ? laquelle il participe, il épousa Camille Falte en 1880 et eut deux enfants avec elle.

Suite à quoi, il connut le succès de son vivant et st mort en 1916 à Paris Page 11 Pierre Puvis de Chavannes: Biographie: Pierre Cécile Puvis de Chavannes, né à Lyon le 14 décembre 1824 et mort à Paris le 24 octobre 1 898, est un peintre français, considéré comme une figure majeure du mouvement symboliste. Né dans une famille issue de la grande bourgeoisie lyonnaise, il reçoit une éducation classique et traditionnelle avant de se tourner vers la peinture. Après des études de rhétorique et de philosophie au lycée Henri-lV de paris, il fait un premier voyage en Italie, puis commence à étudier la peinture aup