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Philosophie Introductions à la méthode de dissertation Comment s’y prendre face à un sujet ? penser par soi-même l. À es différents types de sujets. La question : l’art vise t-il le beau ? la citation la notion : l’art un énoncé impératif La questlon. Sous la question se c pourquoi le sujet ou problématiser. oru Sni* to View t montrer ce qu’on appelle Sujet : avons-nous peur de l’univers ? problématique : comment avoir peur d’un univers que l’homme crée lui-même. Sujet : l’art a-t-il pour but le beau.

Problématique : comment l’art a-t-il pour but exclusivement la beauté alors qu’il peut exprimer l’utile ou la laideur ? La citation. On la transforme en question puis en problématique. – On identifie la thèse de la citation puis la questions qu’elle pose puis et le problème. quel sens » « dans quelle mesure » Il. Repérer le type de question plus le domaine d’interrogations Comment A peut aller avec B alors que C La dissertation pas un rapport problématique entre deux concepts et chaque sujet nous interroge sur une relation entre des concepts.

Relations : identité Opposition Causalité Comptabilité Propriété Réalité Conclusion : Comprendre une question c’est être capables de dire quels sont les concepts c és du sujet, quelles relations a-t-il entre eux et qu’est la problème philosophique ils posent. Ill. Comment analyser les différents concepts du sujet déterminer le sens commun usuel de la notionûdonner les exemples. Chercher les expressions courantes liées à la notion, trouver les opp, Son domaine d’application (indr collectif) le champ d’interrogations (moral olitique…. PAGF OF sur le présupposé avec des exemples 2) la thèse idée 1 plus exemples ‘références philosophiques. Reposer le problème philosophique : mais….. Ill. L’antithèse 1) idée 2 + exemples/références philosophiques 2) idée 3 + exemples/références philosophiques IV. Synthèse Idée 4 V. Conclusion Rappel de l’argumentation (plan) Réponse au pb posé. Qu’est-ce que la philosophie ? l. Le mot philosophie Il. qu’est-ce que la métaphysique ? Ill. la philosophie comme désir de sagesse IV. apprendre la philosophie n’est pas à apprendre à philosopher. V. Critique de la métaphysique VI. l’exigence métaphysique.

Qu’est-ce que la philosop découvertes de Pythagore. Socrate né à Athènes en 470 est considérés comme le fondateur de la réflexion philosophlque. Il meurt en 399 condamnés à mort pour avoir corrompu la jeunesse et accusé de ne pas croire aux ieux de la cité. Il y a une volonté universelle de tout comprendre et d’égaler les dieux c’est ce qu’on appelle Hubris(- démesure, folie). Les premiers penseurs cherchent à penser par eux-mêmes en répondant à une curiosité nouvelle loin de la poésie et du mythe pour s’engager dans la voie nouvelle de la recherche rationnelle : elle est donc la science de la phllosophie.

On se détache du pouvoir politique et religieux, on ne se contente plus de l’observation des faits, on cherche des causes, ont fait des hypothèses, et lion veut expliquer rationnellement la nature mais aussi la morale et la politique. La philosophie est un désir de sagesse elle peut être : Théorique : une connaissance parfaite de touche que l’homme cherche à expliquer. Or comment cette connaissance peut-être possible alors que l’homme est imparfait et sa connaissance toujours limitée. Pratique : possession de la vertu : est sage celui qui sait régler son action sur son savoir et qui réalise un idéal de vie ou la maîtrise de soi.

La sagesse pratique c’est la recherche des principes et des valeurs qui guident à la fois la connaissance et l’action humaine. Comment être sage ou vivre conformément à sa raison en étant aussi un être de passion et de désir ? PB ? Comment la philosophie peut être à la fois une sagesse théorique et un art théorique et un art de vivre ? Il. Qu’est-ce que la métaphysique ? l’origine du mot métaphysique se trouve donc dans le livre d’Aristote on retient ce terme pour désigner la partie de la philosophie qui s’occupe des objets situés au-delà de l’expérience naturelle ou physique PAGF s OF Aristote, la Métaphysique (vers 345 av.

J. -C. ), traduction de J. Tricot. Ed. Vrin, 1981, tome l, livre 1, pp. 171-175. Idéel : il est une science qui étudie l’être en tant qu’être. Cest la métaphysique, elle est universelle. Et il y a des sciences articulières : les maths Explication : objet de la métaphysiqueosubstance Dl’essence Idée 2 : la métaphysique recherche la cause première sur la formation Idée 3 : la recherche de la cause première n’est pas la recherche de l’être par accident.

Thème : la métaphysique Thèse : la métaphysique cherche la cause du monde. Question . le texte nous interroge sur la métaphysique. Problème philosophique : comment peut-on avoir la connaissance alors que la science est particulière ? Conclusion : Aristote la métaphysique définit la métaphysique comme une si on se qui a pour objet un d’étudier l’être en tant u’être et qui est irréductible à tout autre science. Métaphysique = ontologie = discours sur l’être.

Texte 2 Métaphysique et Philosop OF qui sont en nous La seconde est la physique, en laquelle, après avoir trouvé les vrais principes des choses matérielles, on examine en général comment tout l’univers est composé; puis en particulier quelle est la nature de cette terre et de tous les corps qui se trouvent le plus communément autour d’elle, comme de l’air, de l’eau, du feu, de l’aimant et des autres minéraux. En suite de quoi il est besoin aussi d’examiner en particulier la nature des plantes, celle es animaux, et surtout celle de l’homme, afin qu’on soit capable par après de trouver les autres sciences qui lui sont utiles.

Ainsi toute la philosophie est comme un arbre, dont les racines sont la métaphysique, le tronc est la physique, et les branches qui sortent de ce tronc sont toutes les autres sciences, qul se réduisent à trois principales, à savoir la médecine, la mécanique et la morale; j’entends la plus haute et la plus parfaite morale, qui présupposant une entière connaissance des autres sciences, est le dernier degré de la sagesse. Descartes, Principes de la philosophie, Lettre-Préface>’ (1647), ollection Classiques, Éd. Garnier, 1973, tome Ill, pp. 79-780. 1. Il s’agit de la morale et de la logique. En effet, le programme que fon doit sulvre pour devenir philosophe commence par l’adoption d’une morale (provisoire) et l’étude de la logique. Idée 1 :tout philosophe doit commencer par faire de la métaphysique c-a-d chercher les principes de la connaissance. Idée 2 : la seconde partie de la philosophie est la physique. Idée 3 : la biologie devient nécessaire puis une s partie de la philosophie est la physique. Idée 3 : la biologie devient nécessaire puis une science de l’Homme.

Idée 4 : définition du savoir humain par l’image de l’arbre. Thème : le rapport de la métaphysique et de la philosophie. Thèse : tout philosophe doit être métaphysicien et doit chercher les causes premières dont on doit pouvoir déduire toutes les autres sciences. Question : qu’est-ce que la philosophie ? Problème philosophique : Comment faire de la philosophie sans s’intéresser aux autres sens ? Conclusion : Descartes se sert de l’image de l’arbre pour définir le système complet du savoir humain.

En quoi la métaphysique se distingue-t-elle de la religion, elle porte sur les mêmes questions ellleures méthodes et différentes : la religion repose sur la révélation. La métaphysique est un système de connaissance rationnelle qui s’y elle interroge les dieux le fait par la raison. III. La philosophie comme désir de sagesse Texte 3 Platon 428/348 Admettons que, malgré cela, vous me teniez ce langage : « Socrate, nous ne voulons pas en croire Anytos, nous voulons racquitter, à une condition toutefois : c’est que tu ne passeras plus tout ton temps à examiner ainsi les gens, ni à philosopher.

Si on Ey reprend, tu mourras Cette condition là, juges, si aur miac uitter, vous vouliez me ‘imposer, je vous dirais: « ous sais gré et le vous PAGF E OF de vie, tant que j’en serai capable, soyez sûrs que je ne cesserai de philosopher, de vous exhorter, de faire la leçon à qui de vous que je rencontrerai. Et je lui dirai comme j’ai coutume de le faire: «Quoi! her ami, tu es Athénien, citoyen d’une ville qui est plus grande, plus renommée qu’aucune autre pour sa science et sa puissance, et tu ne rougis pas de donner tes soins à ta fortune, pour l’accroître le plus possible, ainsi qu’à ta réputation et à tes honneurs ; mais quant à ta raison, quant à la vérité, quant à ton âme qu’il s’agirait ‘améliorer sans cesse, tu ne t’en soucies pas, tu n’y songes pas! Et si quelqu’un de vous conteste, s’il affirme qu’il en a soin, ne croyez pas que je vais le lâcher et m’en aller immédiatement: non, je l’interrogerai, je l’examinerai, je discuteral à fond.

Alors, s’il me paraît certain qu’il ne possède pas la vertu, quoi qu’il en dise, je lui reprocherai d’attacher si peu de prix à ce qui en a le plus, tant de valeur à ce qui en a le moins. jeunes ou vieux, quel que soit celui que j’aurai rencontré, étranger ou concitoyen, c’est ainsi que j’agirai avec lui, et surtout avec vous, mes concitoyens, puisque ous me tenez de plus près par le sang. Car c’est là ce que m’ordonne le dieu, entendez-le bien; et, de mon côté, je pense que jamais rien de plus avantageux n’est échu à la cité que mon zèle à exécuter cet ordre.

Ma seule affaire, c’est en effet d’al er par les rues pour vous persuader, jeunes et vieux. de ne vous préoccuper ni de votre corps, ni de votre fortune aussi passionnément que de votre âme, pour la r PAGF préoccuper ni de votre corps, ni de votre fortune aussi passionnément que de votre âme, pour la rendre aussi bonne que possible; oui, ma tâche est de vous dire que la fortune ne fait as la vertu; mais que de la vertu provient la fortune et tout ce qui est avantageux, soit auxparticuliers, soit à l’État.

Si c’est par ce langage que je corromps les jeunes gens, il faut donc que cela soit nuisible. Quant à prétendre que ce n’est pas là ce que je dis, quiconque l’affirme ne dit rien qui vaille. »« Là-dessus, dirais-je, croyez Anytos ou ne le croyez pas, Athéniens, acquittez-moi ou ne m’acquttez pas – mais tenez pour certain que je ne changerai jamais de conduite, quand je devrais mille fois m’exposer à la mort. Platon l’Apologie de Socrate Idée 1 : Socrate continuera de philosopher malgré les menaces de Idée 2 : Socrate veut améliorer l’âme et rompre la richesse.

Idée 3 : Socrate veut développer en chacun la vertu. Idée 4 : la fortune ne fait pas la vertu mais la vertu fait la fortune. Idée 5 : la mort n’est pas un obstacle à la philosophie pour Socrate Thème : Socrate et la philosophie Thèse : la mission de Socrate : développer la vertu. Question : quel est la mission de Socrate ? Problème philosophique : comment on Socrate peut-il développer en chacun la vertu alors que lui-même ne possède pas toutes les vérités ou toutes les vertus. Conclusion : la mission de paGF t de tourner chacun vers