Analyse stratégique d’une entreprise cotée ATLANTA Assurances

Sommaire Introduction Première partie : Présentation de l’analyse SWOT Chapitre 3 : Diagnost Chapitre 1 : Présentation du secteur d’activité : Les opérateurs du secteur Section 1 Section 2 : Les caracteristiques du secteur Section 3 : Les chiffres clés du secteur Chapitre 2 : Diagnostic de l’environnement interne • présentation de l’entreprise Sectlon 1 Section 2 .

L’analyse de l’organisation Section 3 : L’analyse de l’ensemble des ressources terne Section 2 : Le schém Section 3 Deuxième or 17 • L’approch : L’analyse partie : A d offre et la demande ptée : Présentation de la stratégie adoptée par l’entreprise résentation des Domaines d’Activités Stratégiques Section 2 : présentation de la stratégie globale de l’entreprise : présentation des axes stratégiques de l’entreprise Chapitre 2 : Analyse critique de la stratégie adoptée .

Rappel des faiblesses de rentreprise Section 2 : Analyse critique de la stratégie adoptée Section 3 : Analyse critique des axes stratégiques Chapitre 3 : Analyse des difficultés rencontrées et essai de recommandations Section 1 : Analyse des difficultés rencontrées Section 2 : Essai de recommandations (volet A) Section 3 . Essai de recommandations (volet 3) inanciers dans les rouages de l’économie. Dans ce cadre le secteur des assurances, entre autres, joue un rôle important.

Ce secteur ne cesse de prendre de l’importance, que ce soit par les sommes importantes qu’il draine ou au nlveau des tendances lourdes qui le caractérisent ces dernières années( concentration, libéralisation, bancassurance… ), ainsi qu’au niveau des pays qui dominent le secteur sur la scène internationale. Avec l’amorce du nouveau millénaire, le secteur des assurances au Maroc ? l’instar des autres pays de par le monde connaît de profondes mutations et se trouve ainsi confronté à de grands t important éfis(libéralisation, concentration, assurance maladie obligatoire, bancassurance… qui vont certainement affecter le processus de sa crossance, des défis qui une fois relevés, le secteur sortlra certainement plus solide et plus apte à mener à bien sa mission, qui est celle de permettre à l’économie marocaine à mieux intégrer le nouveau siècle. Le marché marocain des assurances compte 18 compagnies après les différentes opérations de concentration, dont 5 représentent prés de l’encaissement total.

En 2001, le taux de pénétration, qui rapporte les primes émises u PIB, était de 274% selon les chiffres avancés par la Swiss-Re. Ce taux place le Maroc en meilleure position dans la zone MENA. pour cette même année, 10540 M. Dh de primes émises ont été enregistrées, en amélioration de +5,2% par rapport à 2000, selon les publications encore provisoires de la Fédération Marocaine des sociétés d’Assurance et de Réassurance. Première partie :Présentation de l’analyse SWOT l.

Présentation du secteur d’activité L’assurance est un service prédéfinie, généralement ui consiste à fournir une prestation PAG » 7 est un service qui consiste à fournir une prestation prédéfinie, énéralement financière, à un individu, une association ou une entreprise lors de la survenance d’un risque, en échange de la perception d’une cotlsation ou prlme. Par extension, l’assurance est le secteur économique qui regroupe les activités de conception, de production et commercialisation de ce type de service. 1.

Les opérateurs du secteur : La restructuration conduite en 1995, a entraîné à la liquidation du quart des compagnies du secteur, ainsi que la vague de concentrations, le marché de l’assurance au Maroc concerne une quinzaine de compagnies dont le chiffre d’affaires représente encore mons de du PIB. Le secteur poursuit sa restructuration avec l’adoption en novembre 2002 d’un nouveau code es assurances. Les intérêts étrangers et plus précisément français sont présents dans les compagnies nationales, tel que AXA ASSURANCE MAROC, et LA MAROCAINE VIE, reprise en juillet 2001 par le groupe SOCIETE GENERALE.

En 2000, le chiffre d’affaires (somme des primes émses) du secteur de l’assurance a franchi la barre des 10 milliards de dirhams : le marché marocain de l’assurance aura ainsi plus que doublé en 10 ans. C’est en l’occurrence le premier marché arabe et le deuxième africain après l’Afrique du Sud. Toutefois, ce chiffre d’affaires ne représentait que du PIB (à titre de comparaison, ce taux atteint 8% en Europe) : le secteur de l’assurance présente donc un potentiel de croissance important.

Depuis le début des années 2000, l’activité d’assurance vie s’est développée rapidement : alors que fassurance vie représentait moins de du total des primes émises en 2001, elle s’est progressé à 30%, soit une progression de en 10 ans, sachant que l’essenti émises en 2001, elle s’est progressé à 30%, soit une progression de 50% en 10 ans, sachant que l’essentiel de cette progression a ?té réalisé depuis 1999. Mais la répartition du chiffre d’affaires par branches montre la place encore prépondérante de la catégorie automobile (36%), devant la branche vie et capitalisation (30%).

Le résultat net de l’exercice 2011 fait apparaître un bénéfice de 1. 211 millions de dirhams, contre 1. 189 millions de dirhams en 2010, soit une progression de 1. 8%. Un secteur engagé dans une vague de concentrations ‘absorption de la petite ALLIANCE AFRICAINE par AL WATANIYA (2ème compagnie du secteur) qui consolide ainsi sa place au sein du groupe d’intérêts de la famille BENJELLOUN qui détient par illeurs de longue Date la ROYALE MAROCAINE D’ASSURANCES – La fusion D’AXA AL AMANE et de la COMPAGNIE AFRICAINE D’ASSURANCES (CA.

A) qui donne naissance à AXA ASSURANCE MAROC qui devient ainsi le premier opérateur du secteur (AXA ASSURANCES MAROC est détenue en totalité par une holding à 51% « A et 49% ONA, le premier groupe industriel privé du pays). – Le groupe d’affaires HOLMARCOM contrôlant déjà la compagnie ATLANTA a racheté la SANAD, se hissant au total à la 4ème place du secteur, juste après la compagnie WAFA ASSURANCE ; – Le groupe SOCIETE GENERALE (précisément la filiale bancaire locale e la SOCIETE GENERALE associée à SOGECAP) a pris le contrôle en juillet 2001 de la seule compagnie spéclalisée dans l’assurance Vie, LA MAROCAINE VIE. groupe Saham de Moulay Hafid Elalamy racheté 67% du capital de la compagnie d’assurances CNIA; le tiers restant est essentiellement entre les G et la BCP. PAGFd0F17 et la BCP. La restructuration du secteur a – L’adoption du projet de loi sur les assurances est intervenue en novembre 2002. Ce texte clarifie les obligations juridiques et techniques de l’ensemble des opérateurs du secteur, donne un cadre légal à l’activité de bancassurance pour es produits d’assurances de personnes et encadre la réforme du Fonds de garantie automobile pour une meilleure protection des assurés.

La question de la politique de placement en actions cotées est en cours de discussion. II faut noter que la loi n’a finalement pas institué l’interdiction pour un même et unique actionnaire de posséder plus de du capital d’une compagnie d’assurances de droit local. En matière de contrôle, le nouveau code permet à l’Etat de faire appel à des consultants externes, en plus des commissaires aux comptes qui certifient les comptes des compagnies d’assurances.

Dans le même cadre, le code instaure un dispositif permettant à l’administration de faire face à toute dégradation de l’équilibre financier des entreprises d’assurance. b – Une loi-cadre portant le projet d’assurance maladie obligatoire (AMO) a également été votée en 2002. Les compagnies d’assurances tentent de prendre leur place dans ce projet, alors que les autorités en charge souhaitent a priori confier la gestion de FAMO à la CAISSE NATIONALE DE SECURITE SOCIALE (CNSS) pour la couverture du secteur privé et à la CAISSE NATIONALE DES ORGANISMES DE PRÉVOYANCE SOCIALE (CNOPS) pour celle du secteur public.

L’enjeu est important pour les compagnies qui, si elles participent à la gestion de l’AMO pour la couverture de base et non simplement complémentaire, en feront un produit d’appel particulièrement porteur. un produit d’appel particulièrement porteur. 2-Les caractéristiques du secteur Le Maroc est le marché « le plus mature » au Maghreb en matière d’assurance, avec un taux de pénétration de 2. 8% et une prime moyenne par tête de 60,40 euros, affirme l’agence de notation internationale Standard and Poor’s (S&P).

Dans sa dernière étude sur le potentiel de croissance du secteur e l’assurance au Maghreb, l’agence indique que le volume des primes s’élevait en 2010 à 1,96 milliard d’euros (21,7 milliards de DH) au Maroc, contre 821 millions d’euros en Algérie et 550 millions d’euros en Tunisie. Le Maroc affiche un bon potentiel de croissance dans la plupart des métiers (d’assurance), en avance sur les programmes gouvernementaux de généralisation d’assurance, et en dépit de la maturité élevée de la filière Vie par rapport à ses voisins du Maghreb. e Maroc est le deuxième plus grand marché en Afrique, en plus de sa position de premier Ian dans le monde arabe », otant que le secteur y a lus forte pénétration marocaines poursuivent leur développement » Au cours des cinq dernières années, le marché a affiché une forte croissance de 10,7 pc en moyenne, en termes de prlmes. Cette croissance a, toutefois, ralenti à un modeste 3,9 pc en 2010, reflétant une baisse des activités d’assurance vie en raison principalement de la baisse des ventes de produits d’épargne, due à la concurrence des produits bancaires.

La croissance a décollé à nouveau en 2011, avec une hausse nette de 16 pc en assurance vie, portant la croissance globale de l’année à 9,2 pc sur un an. Pour les prochaines années, l’agence s’attend à une croissance des primes à l’un taux élevé à un chiffre » par an. Le contrat programme, conclu entre l’Etat et la Fédération marocaine des sociétés d’assurance et de réassurance devrait, selon elle, « alimenter la croissance en introduisant des lignes obligatoires ». Dans le secteur de l’épargne, les analystes pensent que l’introduction d’avantages fiscaux continuera à encourager les économies à long terme.

Toutefois, la croissance dans le secteur vie dépend des stratégies des banques, car elles peuvent favoriser les dépôts bancaires ur les épargnes vie dans certaines circonstances. Ce fut le cas en 2008 et 2009, lorsque le secteur bancaire marocain a connu un resserrement du financement et les ventes de produits d’assurance vie via des canaux de la bancassurance ont, par conséquent, plongé, estiment les analystes. Concernant le Maghreb en général, ‘agence souligne que les marchés d’assurance des trois pays (Maroc, Algérie et Tunisie) partagent un potentiel de croissance de long terme.

Les efforts des différents gouvernements our romouvoir l’assurance et réeuler le secteur sont nt favorables au 13 promouvoir l’assurance et réguler le secteur sont articulièrement favorables au développement du marché. « Les particuliers et les entreprises qui ne sont pas couverts, couplé au fait que certaines lignes de business dédiées aux particuliers qui sont toujours sous-développées ou inexploitées comme l’assurance habitation, l’épargne, la protection ou la santé », constituent des opportunités certaines selon S.

Et d’ajouter que « le développement d’infrastructures et de l’immobilier accompagnera la croissance des activités d’assurance des risques professionnels ». L’agence relève par ailleurs des disparités dans le potentiel de roissance des trois marchés, compte tenu de leur différentes perspectives economiques, leur maturité, la répartition des activités et l’exhaustivité des canaux de distribution. En termes de taille des opérateurs, S&P indique que les marchés algérien et marocain sont les plus concentrés, avec plus de la moitié dominée par les trois plus grands assureurs.

S’agissant du profil des activités, l’Algérie est le marché le moins diversifié, dominé à 50 pc par l’activité auto, suive de la couverture des risques professionnels et industriels, puis des produits vie. Les lignes accidents et santé sont inexistantes. Le Maroc parvient à réaliser un business mix. Ainsi, les lignes auto et vie arrivent, à égalité, en tête des produits vendus, suivis de l’assurance accidents et santé, puis de celles des risques professionnels et industriels.

L’agence prévoit que « l’assurance auto demeure le produit le plus largement vendu au Maghreb et devrait continuer à dominer le marché, puisque le nombre de véhicules enregistrés augmente » Elle estime, en revanche, que le atentiel de croissance « le plus important » se situ PAGF estime, en revanche, que le potentiel de croissance « le plus mportant » se Situe du côté de l’assurance vie, de la santé et de l’épargne, d’autant plus que ces produits y sont poussés par les bancs assureurs. -Les chiffres clés du secteur Le chiffre d’affaires consolidé a atteint 2. 504 millions de dirhams, comparé à 2. 407 millions de dirhams, soit une progression de 494. Le montant des primes de la branche Vie a augmenté de 22. 5%. Le chiffre d’affaires de la branche Non Vie a pour sa part enregistré une croissance de 2. 8%. Le résultat net des comptes consolidés ressort à 158 millions de dirhams, comparé à 248 millions de dirhams en 2010, impacté par ‘évolution des marchés financiers.

La Compagnie Atlanta a clôturé l’année 2011 avec un chiffre d’affaires de 1. 211 millions de dirhams, comparativement à 1. 189 millions de dirhams en 2010 soit une rogression de 1. 8%. La branche Non Vie a enre I de primes de 1. 105 efficace des sinistres. Dans un contexte financier difficile, la Compagnie ATLANTA a dégagé un résultat net bénéficiaire de 129 millions de dirhams, comparé à 186 millions de dirhams en 2010. Il. Diagnostic de l’environnement interne 1 -Présentation d’Atlanta Fiche signalétique Historique et activités : 17