Travail de histoire de doctrine 1 . Quelles sont les différences existantes, selon de Tocqueville, entre ces deux types de sociétés (société américaine et sociétés aristocratiques) ? Une première contradiction déjà mise en avant dans le premier chapitre montre que raristocratie est une forme de société contre laquelle les peuples démocratiques lutteront. Ils veulent jouir de l’égalité dans la liberté, les démocratiques peuvent beau souffrir de beaucoup de maux mais l’aristocratie est une forme qu’ils ne respecteront pas.
Une différence à noter c’est que chez les euples aristocratiques, les familles restent pendant des siècles immuable, toutes les générations sont d’une certaine manière to vie » actuelle et contempo mêmes. Les homme ans bien leurs a-leux et fe les autres. Les institu étroitement chaque les sont toutes les onnaissent donc pour les uns et pour effet de lier s concitoyens. L’appartenance à une classe est tr s remarquable pour les peuples aristocratiques, c’est comme si c’était une petite patrie à laquelle ils font partie et qui lui est plus chère que la grande classe.
Tous les hommes dans une société aristocratique sont lacés les uns au-dessus des autres, les hommes dépendent les uns des autres parce qu’on doit toujours la protection à celui qui se trouve en-dessous et on réclame la protection de celui qui se trouve au-dessus, il y a une forte interdépendance et il Swipe to View next page arrive que les hommes tendent à s’effacer eux-mêmes en raison des sacrifices faits en l’honneur des proches. puis dans les siècles démocratiques, les devoirs de chaque individu envers l’autrui sont bien plus clairs, le lien entre les hommes s’étendent et se desserrent.
La fondation de la famille n’est pas solide et change tout le temps. Il y a des familles qui naissent et sortent de nulle part, la trame des générations s’efface, seuls les plus proches intéressent et sont importants pour le moment, le ici et le maintenant devient plus important. Tocqueville met en avant un métaphore pour illustrer la différence: l’aristocratie se lie à travers des chaînes remontant du paysan au roi (on pouvait suivre exactement la trames des générations et interrelations entre les personnes de pouvoir et leurs vassaux) tandis que dans une démocratie la chaîne ne s’applique plus et met en place des anneaux à part.
Une autre différence à souligner est celle des associations. Elles se déroulent différemment en fonction de type de société : se réunir pour les membres d’une aristocratie est relativement facile étant donné que chacun d’entre eux occupe une grande force dans la société. Cest le principe du nombre, le moins nombreux les chefs de pouvoir sont, le plus facile il est de passer à des décisions. Chez les nations démocratiques les associations doivent être très fréquentées pour qu’on puisse passer à des décisions valant pour tous.
Quant à la création des idées, si elle e peut se développer que par l’action réciproque entre les hommes (le pouvoir nombreux est le seul susceptible d’avoir d’eff que par l’action réciproque entre les hommes (le pouvoir nombreux est le seul susceptible d’avoir d’effet), les idées ne vont pas vite se renouveler, chaque innovation doit passer par une association. Chez les membres d’une aristocratie c’est beaucoup plus facile : ils mettent leur nouvelles idées en avant en les exposant aux regards de la foule et comme il n’y a qu’un maître les idées glissent facilement dans les esprits ou les cœurs de la population. gouvernement démocratique ne peut imposer ses idées, parce qu’ainsi il serait comme un tyran, ce que la démocratie évite à tout prix. Donc aussitôt que plusieurs des habitants des Etats-Unis ont conçu un sentiment ou une idée qu’ils veulent mettre en avant, ils se cherchent et s’unissent pour constituer un pouvoir/puissance. Société démocratique : comme tout le monde est individualiste on se tient au courant au moyen des journaux, s’il y avait pas de journaux il y aurait pas d’action commune.
Le même dessein peut être suggéré à un grand nombre d’hommes ainsi que les moyens our exécuter ce projet. Néanmoins, il arrive souvent qu’il y a un grand groupe avec le même objectif mais étant donné qu’ils sont tous fort petits et perdus dans la foule ils ne savent pas où commencer et avec qui se retrouver, cependant le journal peut aider à les réunir. Afin qu’une association ait quelque puissance, elle doit être nombreuse. Les peuples qui habitent un pays aristocratique s’aperçoivent de loin, s’ils veulent réunir leurs forces ils marchent simplement les uns vers les autres. . Quelle est, selon de Tocqueville, la conséquence négative simplement les uns vers les autres. ue comprend/contient la société amérlcaine ? Que permet d’y remédier(soulager/guérir/calmer) ? L’individualisme > un sentiment réfléchi et paisible qui dispose chaque citoyen à s’isoler de la masse de ses semblables. égoiÈme > un amour passionné et exagéré de soi-même. L’égoïsme est un vice/péché aussi ancien que le monde, il ne fait pas partie d’une forme de société.
L’individualisme est d’origine démocratique, et il menace de se développer à mesure que les conditions s’égalisent. Lorsqu’il y a un besoin de s’occuper des affaires publiques on voit que les hommes doivent mettre à l’écart leurs intérêts ndividuels, c’est à ce moment-là que les hommes s’aperçoivent du fait qu’ils ne sont pas aussi indépendants de ses semblables comme ils ne le croyaient. Pour être élu par la population, les hommes politiques ne peuvent pas se passer de la population qui les entoure.
Dès fois il arrive que les candidats se servent des moyens honteux pour gagner des votes jusqu’à parfois l’éclatement d’une guerre. Les Américains ont combattu l’individualisme en se servant de la liberté, et c’était l’égalité qui a fait naître l’individualisme et ils l’ont vaincu. Les législateurs n’ont as cru que, pour guérir une maladie si naturelle au corps social dans les temps démocratiques, il suffisait d’accorder à toute la nation une représentation d’elle-même.
La conséquence négative de l’égalité ne peut qu’être remédiée en mettant en place la liberté politique. Cest justement au sein des associations PAGF remédiée en mettant en place la liberté politique. C’est justement au sein des associations politiques que les Américains prennent le goût général de l’association et qu’ils transportent ces notions dans la vie CIVile qu’ils ont ainsi acquises. Tocqueville déclare u’il faut pas restreindre ce droit de la liberté politique en aucun pays ni aucune époque, pas poser des bornes à la liberté d’association. . Quels sont les liens existants entre égalité et liberté dans les sociétés démocratiques ? Tocqueville propose un point extrême où la liberté et l’égalité se touchent > le moment où on suppose que tous les citoyens aient le même droit de concourir au gouvernement. Dans ce cas les hommes seront libres mais aussi tous égaux = l’idéal des peuples démocratiques. La possibilité d’avoir tous le même accès aux professions, postes etc. ‘implique pas la même chance de participer aux agences de pouvoirs.
Tocqueville constate que les hommes ne peuvent être entièrement égaux en étant entièrement libres, si l’égalité est à son point extrême on la confondra avec la liberté. La liberté et l’égalité sont pas les mêmes concepts. La liberté, quant à elle, ne se trouve pas seulement dans les démocraties et ne distinguera donc pas ces siècles démocratiques. C’est plutôt l’égalité qui prend une place prédominante dans la pensée de ces siècles démocratiques parce que c’est elle qui forme un caractère distinctif de l’époque où es hommes vivent.
La deuxième raison pour laquelle les gens tiennent si fort à l’égalité c’est parce qu’ils croient qu’elle doit demeurer pour toujours. Ensuite, les maux l’égalité c’est parce qu’ils croient qu’elle doit demeurer pour toujours. Ensuite, les maux que la liberté amène sont directement palpables pour tous, tandis que les maux d’égalité dans sa manifestation extrême se ressentent pas, ils suintent imperceptiblement dans le corps social et à son sommet on ne les percevons plus. Les biens de liberté ne se montrent qu’à la longue, lorsque les vantages de l’égalité se font remarquer dès à présent.
L’égalité est susceptible de donner une multitude de jouissances ? chaque homme, la liberté en est capable, mais se restreint ? un petit groupe isolé. Dans la plupart des nations modernes, la liberté a commencé à naitre qu’au moment où les condltions commençaient à s’égaliser. Chez beaucoup de peuples européens l’égalité existait déjà avant la liberté. La première avait déj? pénétré dans les habitudes, et avait déjà créé des opinions, des usages et des lois la seconde n’était encore que dans les goûts t les idées.
Les peuples démocratiques veulent l’égalité dans la liberté. Coûte que coûte on ne souffrira pas l’aristocratie. 4. Que différentie la société américaine des sociétés issues des révolutions démocratiques ? Aux États-Unis des révolutions démocratiques ne se sont jamais éclatées et tout le monde est donc né égaux au lieu de le devenir par des luttes qui entraînent des haines que l’inégalité a fait naître. L’égoïsme, en soi, n’est pas plus présent aux États-Unis qu’en Europe, c’est juste que là il est éclairé et ici il ne l’est pas.