Dans les années 2000, divers œuvres ont été écrites par des auteurs qui ont marqué leur courant, qui est la postmodernité. Il y a entre autres, Sylvain Trudel, auteur québécois né en 1963 qui a arrêté ses études pour se consacré à l’écriture. Ce dernier à écrit Du mercure sous la langue qui a été publié en 2001 et qui a reçu de multiple prix. De plus, il y a Éric-Emmanuel Schmitt, écrivain français qui a écrit de nombreux livres, dont le roman Oscar et la dame en rose publié en 2002 qui a été adapté au théâtre par la suite.
Les deux romans montrent que les narrateurs semblent vivent leurs derniers jours de la même façon. D’abord, il sera montré que les jeunes narrateurs engendrent bien du chagrin autour d’eux, mais on verra que ceux-ci entrevoient la religion différemment. Cepe égocentrique. Dans les deux roman derniers jours de faç or 5 Sni* to View ar leur caractère vivent leurs nt, leur futur départ pour un autre monde entra ne dej de la tristesse. Cela touche d’abord l’entourage que ceux-ci. Dans le roman « Du mercure sous la langue» le fait que Frédéric les quitte les désole. ?? Les gens prennent leur air coupable de lendemains de pêché, vu qu’? leurs yeux je suis une innocente victime et qu’ils ont la générosit Swipe to View next page générosité de s’accuser d’être en santé. (p. 22) Dans cet extrait, il ya présence d’un oxymore, puisque ces deux termes ont un effet contradictoire. Dans le roman «Oscar et la dame en roses son départ précipite une amertume contagieuse au centre hospitalier. « Maintenant tout l’étage, les infirmières, les internes et les femmes de ménage, me regarde pareil.
Ils ont fair triste uand je suis de bonne humeur; ils se forcent à rire quand je sors une blague» (p. 1) Le complément de phrase » ils se forcent de rire » prouve que le personnel hospitalier le prend en pitié. Ensuite, le fait que les deux jeunes garçons vont mourir affecte grandement leurs parents. La mère à Frédéric semble anéantie. « Elle fait la gaie, la rieuse, et je vois apparaître ses dents brunies par la clgarette et le café, mais je sens bien que le cœur n’y est pas. Je vois que ses yeux pleurent à la maison, ils sont de la couleur inimaginable des nuits blanches [… Ma mère ne veut pas me perdre. ? (p. 24) Il y a présence d’une métaphore dans cet extrait qui signifie que sa mère a peut-être les yeux rougeâtres puisqu’elle aurait beaucoup pleuré et qu’elle manquerait de sommeil. Les parents d’Oscar vivent la même situation, et ils en sont bouleversés. « Puis j’ai marché dans la pénombre jusqu’au bureau du docteur Düsseldorf Ma mère sanglotait Il ne faut pas qu’il nous voie dans cet état, à rajout Ma mère sanglotait [ … J Il ne faut pas qu’il nous voie dans cet état, à rajouté son Bref, le chagrin est à son comble ans les deux textes, ce qui affecte les proches des jeunes hommes.
Les auteurs présentent par contre leurs narrateurs de façon différente lorsqu’il est question de religion. Au départ, la proximité envers Dieu est différente. Pour Frédéric, la croyance en Dieu n’est pas importante malgré la maladie qui l’emporte et il sait que ce ne sera pas ça qui va le sauver. « mais je trouve ça triste de vous voir vous fatiguer pour rien, vu que je suis perdu pour tout le monde, pour la science comme pour la religion, et puis, vous et moi, on est des étrangers l’un pour l’autre. ? (p. 02) Dans cette citation, il compare la science à la religion, en voulant dire puisque la science c’est-à-dire la médecine ne peut le sauver alors pour quelle raison la religion le ferait? Cependant, dans l’œuvre de Schmitt, Oscar se sent près de dieu. « Réfléchis, Oscar, de quoi te sens-tu le plus proche? D’un Dieu qui n’éprouve rien ou d’un Dieu qui souffre? De celui qui souffre, évidemment, mais si j’étais lui, si j’étais Dieu, si, comme lui, j’avais les moyens, j’aurais évité de La répétition du mot « si » prouve ue le garçon se voit en Dieu, mais qu’il aimerait que ce soit différent.
Par la suite, les narrateurs agissent différ voit en Dieu, mais qu’il aimerait que ce soit différent. Par la suite, les narrateurs agissent différemment par rapport à leurs actes faits envers la religion. Pour ce qui est de Frédéric, il fait des actes mal saints à la chapelle, dont le fait de voler. « On a profané le tabernacle. On a bu chacun une grande gorgée de son vin sucré de Hongrie, puis on a volé des missels et une poignée d’hosties. » (p. 4) Les verbes utilisés prouvent que ses actes ne ont pas corrects et qu’il se fou de la religion.
Pour ce qui est d’Oscar, il fait acte d’écrire à Dieu et de lui demander des faveurs. Ceci fait preuve qu’il croit en ce dernier. « Alors voilà, Dieu J’en profite pour te demander une chose : quand tu as quelque chose à m’annoncer comme à midi, pour mes cinq ans, fais moins brutal. Merci » (p. 4) Cela démontre que lorsqu’on croit en Dieu ce dernier est à pour nous soutenir lorsqu’on le demande. En résumé, on peut voir que Trudel et Schmitt ont abordé la religion de manière différente pour leurs narrateurs.
On peut donc constater que les deux écrivains on abordé la tristesse de façon similaire pour les jeunes garçons. Par contre, au niveau de la religion les narrateurs entrevoient ça de manière différente. Cependant, les deux textes ont davantage de ressemblance puisque les jeunes garçons sont égoïstes lors de leurs derniers jours de vie. Tout d’abord, Frédéric aimerait v PAGF garçons sont égoiStes lors de leurs derniers jours de vie. Tout d’abord, Frédéric aimerait vivre ça seul, sans l’aide de personne. ? Je souhaiterais juste crever comme un chien, mais je devrai e contenter de crever comme un homme, ce qui est quand même un bel effort,» (p. 28) La présence de la comparaison, démontre qu’il ne pense qu’à lui, car il ne souhaite recevoir raide de personne. Tandis qu’Oscar, il se croit le seul à vivre une telle situation. « Pense à [tes parents], Oscar l, me dit plus tard Mamie- Rose. ] Tu as compris que tu allais mourir parce que tu es un garçon très intelligent. Mais tu n’as pas compris qu’il n’y a pas que toi qui meurs. Tout le monde meurt. Tes parents, un jour. Moi aussi. ? (p. 6) La répétition des mots liés à la montrent que ‘accent est mis sur ces termes. On peut donc constater que les deux narrateurs vivent une certaine forme d’égocentrisme à leur propre façon. En conclusion, les deux textes témoignent de leur ressemblance au niveau des sentiments éprouvés par les proches des jeunes garçons liés à leur futur départ pour l’éternité. Par contre, l’aspect de la religion vient montrer qu’elle n’est pas aussi importante pour l’un que pour Vautre. Ainsi, on peut voir que les textes présentent plus de ressemblance puisqu’ils sont égocentriques.