Le protocole Internet et le routage @ Christian CALECA http://christian. caleca. free. fr/routage/ IP et le Routage Introduction Les réseaux informatiques ont ceci d’intéressant: Ils couvrent des besoins aussi simples que la connexion entre deux hôtes sur un réseau local que l’interconnexion de systèmes à l’échelle planétaire. Ici, nous allons nous une bonne compréh qu’il se passe sur not verrons pourquoi cet diffère fondamentale ou l’ ‘SDN). or 17 pects nécessaires ? r le câble (nous omme l’ADSL, le RTC Vous trouverez dans cet exposé : Une définition de ce que sont les adresses MAC et IP.
Ce que sont les réseaux physiques et les réseaux logiques. Quels sont les composants d’interconnexion de réseaux les plus courants. Réseau physique ou Un réseau Le principe… Comment ça Ça peut se compliquer…….. — — 6 Un réseau logique. Le principe…. Passerelles. 8 Cest quoi, une passerelle . Les principales techniques………. — Les ponts…. PAG » 7 Conclusion…. 10 Les routeurs. Qu’est-ce qu’un routeur Description Particularités. Conclusions….. . 2 Mais 12 Le masquage La livraison des données…. 14 La livraison directe…….. La livraison indirecte……. 18 Objectif de la manipulation.
Description de la manipulation…………… Exemple Comment ça marche „ 19 Comment les routeurs connaissent-ils les routes Et comment font les « vrais » routeurs La 21 Mon réseau Connexion Internet…. Informations 22 Vérification page 2 sur 34 — 21 Réalisé à partir des pages du site du 6 mars 2005 par Laurent BAYSSE PAGFd0F17 simple… 23 Quelles informatlons obtient- On Comment ça marche ? 24 Première vérification. Essayons tout de même d’en savoir un peu plus. … 25 De l’autre 28 Envoi de l’écho.. Réception de la . 29 Résumons-nous . — 30 Éléments de réponse.. Conclusions… Que peut-on retenir de tout ça Le niveau Ethernet (niveau 2 OSI)… Le niveau Internet Protoc … 32 Le meilleur pour la fin…. 33 page 3 sur 34 Réalisé à partir des pages du site, du 6 mars 2005 par Laurent @ Christlan CALECA Physique/ ogique Qu’est-ce qu’une adresse MAC ? Media Access Control Cest une adresse écrite en « dur » dans le « firmware » d’un équipement réseau, le plus souvent une interface réseau. Cette adresse est définie sur 6 octets. Les trois premiers (les plus à gauche) sont attribués au constructeur. Les trois derniers sont spécifiques à un équipement matériel donné.
Au total, une adresse MAC est sensée être unique au monde. Son but est d’identifier sans aucune ambigülté possible un nœud sur un réseau. Elle est utilisée ar le niveau 2 du modèle OSI inement des données PAGF60F13 soit autrement, surtout avec Linux, mais je ne vous les dévoilerai pas… un internaute politiquement correct n’a pas besoin de les connaître). De plus, la répartition de ces adresses sur un réseau est faite de manière quasi aléatoire, il n’y a que le constructeur de l’interface qui maîtrise cette adresse. Il est donc impossible d’organiser cet adressage de manière logique.
Adresse IP Nous n’allons pas revenir sur les détails de cette adresse, abondamment traités dans le chapitre précédentl. Cette adresse sera ici d’une importance fondamentale. Mise en garde 1 TCP/IP : http://christian. caleca. free. fr/tcpip/index. html Page 4 sur 34 Nous avons dit et redit que la couche 2 n’utilise que l’ adresse MAC pour acheminer les données. Au passage de la couche 3 (qui utillse une adresse loglque, IP dans notre cas) à la couche 2 (et réciproquement), il faudra donc disposer dune table d’équivalence entre les adresses IP et les adresses MAC du réseau. PAGF70F17 ressources entre es postes.
Finalement, c’est assez simple. Oui mais, c’est parce que vos besoins sont simples. Si vous voulez utiliser TCP/IP, il faudra alors définir des adresses IP pour chacune de vos machines, adresses choisies dans le même réseau logique (voir le chapitre TCP/lP2) et votre réseau fonctionnera aussi bien. Pourtant, NetBEUl n’introduit pas d’adresse logique. Comment ça marche La question est très compliquée, mais il est encore possible ici de donner une réponse simple et satisfalsante pour l’instant: Les informations qui transitent sur le réseau sont visibles par tous les hôtes du réseau.
Cependant, un système d’adresse unique par hôte (adresse MAC) permet au destinataire de se reconnaître et de récupérer l’information. Disons que dans un groupe de 5 personnes qui vaquent chacunes à leurs occupations, vous posez une question à un membre du groupe. Tout le groupe entend la question, mais celui à qui elle est destinée se reconnait et vous répond. Les autres entendent aussi la réponse, mais savent qu’ils ne sont pas concernés et ne l’écoutent pas. Notez que si vous êtes capable d’analyser parfaitement tous les mécanismes mis en oeuvre dans cet exemple, vous avez TCP/IP : http://christian. aleca. free. fr/tcpip/index. html Page 5 sur 34 Le protocole Internet et le routa e nécessaire de reprendre le modèle théorique d’un OS réseau. A gauche, le modèle OSI en 7 couches, à droite le modèle DOD de TCP/IP, plus pragmatique. Nous allons tout de même utiliser le modèle OSI qui décompose mieux les diverses fonctions. Pour l’étude des réseaux, ce sont surtout les trois premières couches OSI qui nous intéressent. Nous avons déjà parlé de la couche physique et de la couche liaison.
Parler d’un réseau physique, c’est parler d’un réseau en le regardant au niveau 2. n réseau logique en revanche falt intervenir la couche 3. Il existe toujours une adresse unique par hôte, mais cette adresse est logique, l’adresse IP en ce qui nous concerne, et cette adresse est exploitée par niveau 3. Comme l’adresse utilisée est fixée par une stratégie définie par l’architecte du réseau et non par le hasard de la construction de la machine, il devient possible d’organlser les transferts de données d’une manière optimale en fonction des besoins.
Deux réseaux logiques ne pourront communiquer page 6 sur 34 entre eux que par l’intermédiaire d’un routeur, ce qui permet non seulement d’optimiser les ? l’autre. Je n’ai volontairement pas précisé s’il s’agissait de réseaux logiques ou physiques, parce que tout est possible dans ce domaine. Les principales techniques Nous n’allons pas parler de tous les types de passerelles que l’on peut rencontrer, il y en a beaucoup trop. Nous allons regarder d’un peu plus près deux types courants que sont les pants et les routeurs.
Ils ne travaillent pas au même niveau du modèle OSI et ne servent pas tout à fait à la même chose, bien qu’ils soient tous les deux des éléments d’interconnexion. Comme nous avons vu qu’il existe deux adresses pour un nœud onné: l’une matérielle (adresse MAC) qui est utilisée au niveau 2 et l’autre logicielle (IP le plus souvent) utilisée au niveau 3, nous pouvons nous attendre à trouver des passerelles travaillant aux niveaux 2 : les ponts, ou au niveau 3 : les routeurs.
Les ponts Nous avons deux réseaux physiques Ethernet totalement disjoints. Ces deux réseau utilisent TCP/IP et les hôtes disposent d’adresses IP dans la même classe, avec le même masque de sous réseau. Cependant, il n’existe aucun doublon dans les adresses entre les deux réseaux. Réseau B Adresses IP de 192. 168. 0. 1 à 192. 168. 0. 50 17