LE PACTOLE DE REBEUSSE LA FACE CACHÉE DE L’AIDSBERG Je dédie ce livre A mon fils ALJAYLANI ALAIN PHILIPP DIOP, qui a été une source d’inspiration très forte pour cette phase du dossier. Nous sommes tous responsable, de l’héritage et de la qualité de la République, que nous devons léguer aux sénégalais de demain. A mon grand Père John Nicolas SOCK et à son unique frère l’Abbé Pierre SOCK. Pour que nul n’en ignore il y a eu des Panafricanistes et des Sni* to View Résistants à l’occupation et à la domination coloniale L’Abbé, était un gran m et Ahmadou Seko u T ré (Guinée).
Ils ont tous la défense réelle des africains. INTRODUCTION alais. madou Dia (Sénégal) t leur patriotisme et En 2000, un citoyen sénégalais a fini de mettre au point un remède naturel à base de plantes contre le sida et son virus le HIV. Dès le début de l’année 2002, la ministre de la santé du Sénégal, le professeur Eva Marie COLL SECK a été saisie, par un de ses anciens professeurs à la faculté de médecine de l’UCAD (Université Cheikh Anta DIOP), qui lui a servi un dossier, contenant des résultats de diagnostic cliniques et biologiques de patients ayant suivi cette cure.
C’est durant cette recommandais, donc à l’inventeur de ne pas révéler mon existence et d’attendre le feed-back de Madame le ministre de la santé. Celle-ci autorisa des essais préclinlques à la faculté de pharmacie de l’UCAD, au département de la pharmacognosie afin de vérifier la toxicité de la cure. Avec de bons résultats du département de la pharmacie, elle a autorisé des essais cliniques au CHU de Fann, dans le service des maladies infectieuses, durant les mois de juillet et Aout 2002.
Les résultats qui furent bloqués jusqu’au 20 Novembre 2002, ont permis au ministère de la santé, de roposer une deuxième série dessais sur une centaine de personnes, sans contrat aucun. Je restais toujours dans l’ombre; personne ne savait que l’inventeur avait un conseiller, le ministre et son équipe continuait de penser que l’analphabète est toujours bête. J’étais contre ces nouveaux essais qui ne cherchaient en réalité qu’à percer le secret du nom des plantes.
Devant ce danger je rédigeais en 2003 un document intitulé: « Ce que le Sénégal risque de perdre » qui a été remis à la Primature, à la Présidence, au journaliste Latif COULIBALY et à la famille biologique d’Abdoulaye WADE (feu Moustapha WADE). Le 23 février 2004, l’LJnion Européenne à travers une forte délégation conduite par le commissaire européen, le français Phillip BUSQUIN a lancé à Dakar : « le plus grand programme de santé au monde » dixit Monsieur Busquin.
Ce programme était intitulé EDCTP (European and Developping Countries Clinical Trials Partnership 3 Ce programme était intitulé EDCTP (European and Developping Countries Clinical Trials Partnership) : en français « Accord de partenariat entre les pays européens et en développement sur les essais cliniques Ce programme visait les essais cliniques effectués dans les P. E. D, e phase Il et Ill, et pesait trois cent quatre vingt trois (383) milliards de francs CFA six cent (600) millions d’euros.
Les 26 et 27 février 2004, la France emboita le pas à l’UE, avec une très farte délégation pour lancer le programme : « Alliance France – Sénégal Contre le Sida La métropole française détait vidée 2 du jet set de ses centres de recherches. Tous les dirigeants de l’IRD, l’ANRS, CNRS, INSERM, Institut Pasteur, hôpital Bichat de Paris étaient dans la capitale de la Téranga : Dakar. Le 27 février 2004, au soir, je lançais un communiqué de Presse pour annoncer la relation entre cette éferlante européenne et un remède contre le sida découvert par un sénégalais.
J’annonçais par la même occasion la sortie prochaine dun livre : « Le sida vaincu. La face cachée de la grande découverte sénégalaise Je venais de rendre publique mon existence et mon travail dans ce dossier complexe. Durant le mois de mars 2004, le livre a été publié à Dakar. Ce livre, a eu pour conséquence de démanteler le plus grand complot que notre pays ait connu. En 2009 la mise à jour de ce livre a été publiée à Abidjan : « Le sida vaincu. La vérité en marche Ce document que vous êtes en train de lire, intitulé « Le ida vaincu.
La vérité en marche » Ce document que vous êtes en train de lire, intitulé « Le Pactole de Rebeuss. La face cachée de l’AlDSBERG » est une adaptation du livre, pour falre ressortir la relation entre « les fameux fonds politiques » détenus par Idrissa SECK (premier ministre 4 novembre 2002- 21 avril 2004) et ce remède qui menace la plus grande industrie du monde qui pèse quatre cent ( 400) milliards d’euros par an. Le sida cause près de huit mille (8. 000) morts par jour, depuis 1981 il y a plus de vingt huit (28) milllons de morts ; chaque jour il y a sept mille quatre cent (7400) nouveaux cas dans le monde.
Les 2/3 de ces cas sont localisés en Afrique sub saharienne. L’impact économique est tel que Samir GHABI de Jeune Afrique soutenait que l’Afrique du Sud, la première puissance du continent, n’aura pas le potentiel démographique nécessaire pour soutenir son taux de croissance économique qui était l’équivalent de celui du Brésil en 2002. Contralrement au Brésil qui verra son PIB atteindre en 2050, 6074 milliards de dollars US, celui de l’Afrique du Sud atteindra 174 milliards de dollars US. La population Brésilienne qui était de 177 millions de personnes en 2002, atteindra 250 millions de personnes en 2050.
La République Sud Africaine qui comptait 44 millions de personnes en 2002 atteindra 47 millions d’habitants en 2050. Dans sept (7) pays de PAfrique australe, Hespérance de vie est passée sous la barre des quarante ans à cause du sida. Face à ce constat, en fan deu 3 de vie est passée sous la barre des quarante ans Face à ce constat, en Pan deux de l’alternance démocratique au Sénégal qui correspond à l’an deux du vingt et unième siècle, les autorités sénégalaises au plus haut niveau avaient entre leurs mains, la solution contre ce fléau qui menace l’existence même de l’Afrique.
Que s’est-il passé ? Madame le ministre de la santé, le professeur Eva Marie COLL SECK qui a dirigé l’ONUSIDA de 1991 à 2001, a reçu les résultats de ces essais de juillet et Aout 2002. Le 04 Novembre 2002, Idrissa SECK remplace Mame Madior BOYE à la primature. Le 20 Novembre 2002, les résultats des essais cliniques ont été remis à l’inventeur. Si ce dossier avait été géré « en bon père de famille le Sénégal serait aujourd’hui un pays émergent et le sida serait, juste un mauvais souvenir.
Mais ce que nous notons c’est qu’en 2007, le Sénégal était le septième pays le plus pauvre du continent et le dix septième le plus pauvre du monde, ne épassant que les pays en guerre ou en crise grave. Mais paradoxalement, dans ce pays, il est devenu démodé et désuet de parler de millions en référence monétaire, on y parle que de milliards. Et jamais dans l’histoire d’un pays africain, il ny a eu autant de scandales financiers en si peu de temps qu’au Sénégal post alternance. Parmi les scandales financiers celui ui nous intéresse présentement est celui qu sieur PAGF s 3 oppose, monsieur Abdoulaye WADE à monsieur Idrissa SECK.
Noter bien la nuance, je n’ai pas dit : le Président de la République et son ex premier ministre, mais Abdoulaye WADE et Idrissa SECK. Dans ce scandale, Idrissa SECK, fut limogé au mois de mars 2004, puis arrêté et incarcéré à la MAC (Maison d’Arrêt et Correctionnel) de Rebeuss durant le mois de juillet 2005. Au mois de septembre 2005, en pleine canicule, dans une prison infestée du pire des prédateurs, les moustiques, Idrissa SECK fit des aveux de taille : « Les chèques que j’ai ont un propriétaire connu qui sera connu de tous le moment venu Y.
La presse, informée par Monsieur DANSOKHO par voie de point de presse, a relayé à la une le 6 septembre 2005 en titrant en substance : « Idrissa SECK avoue les éritables raisons de sa brouille avec WADE Les juges n’ont pas pris en considérant ces aveux, certainement, parce que celui qui a mis Monsieur SECK en prison connaît très bien l’identité du propriétaire de ce fonds. Ce qul l’intéresse c’est de récupérer ce pactole que détient le prisonnier. Au mois de janvier 2006, auditionné par les juges de la H.
C. J, Idrissa SECK donna un nom à ce pactole : « les fonds politiques Il révéla par la même occasion, qu’une partie de ce butin était logée dans des comptes en France et au Sénégal (CBAO, SGBS) et que le garde du corps de Karim 4 WADE a retiré cinq milliards en une semaine et cinq cent millions pour le compte du secretariat général de la présidence (Abdoulaye BALDE). Au mois millions pour le compte du secrétariat Au mois de novembre 2006, encore auditionné devant les juges de la H.
C. J, Idrlssa SECK a révélé que ces milliards provenaient d’une collecte internationale pour alimenter les fonds politiques dont il avait la garde. Au jour d’aujourd’hui personne n’a pu dire l’origine exacte de ce pactole. Ce qui est sûr, c’est que l’origine n’est certainement pas les chantiers de Thiès. Non seulement il y a eu non lieu, mais selon n document brandit par le Président en personne (Me El Hadji DIOUF), Monsieur SECK s’était engagé à rembourser quarante (40) milliards de FCFA.
Si Idrissa SECK s’engage à rembourser, un montant équivalent au chantier de Thiès, cela prouve que l’argent n’a pas pour origine lesdits travaux, dont on sait que dix milliards dus à JLS (Bara TALC), ne sont toujours pas payes. Cela nous amène à la brèche ouvert sur Bara TALL propriétaire de JLS, une compagnie qu’il a acheté et qui concurrence des multinationales comme fougerole. D’où viennent les milliards de Bara TALL? Comment un entrepreneur peut préfinancer des travaux publics ? auteur de plus de dix milliards, réaliser des travaux de qualité à bas prix et se voire refuser tout paiement et pire, finir en prison ?
Comment se fait-il qu’aucune banque n’ait interpellé l’Etat pour lui demander de payer à JLS ces milliards ? D’où viennent les milliards de JLS ? Est-ce que la famille de WADE aurait découvert que Bara TALL, ce milliardaire sorti de nu 7 3 de ? Est-ce que la famille de WADE aurait découvert que Bara TALL ce milliardaire sorti de nulle part, thièssois comme Idrissa SECK, recyclerait une partie du « pactole de Rebeuss » entre les mains du maire de Thiès ? Dix (10) milliards c’est le montant du capital des principales banques du Sénégal.
Avant d’aborder le corps de la présentation, nous allons ouvrir une parenthèse pour faire le point sur la qualification de fonds politiques. Certaines interventions et écrits au Sénégal ont voulu assimiler les fonds politiques, aux fonds secrets ou spéciaux. pour comprendre les fonds spéciaux ou secrets, nous allons nous baser sur la législation française, car celle-ci est la mère de la législation sénégalaise. La bibliographie pour cette rubrique que j’ai utilisée, c’est : I . le livre de René Dossière : « secret de l’Elysée » .
Des articles de Jacques Buisson et Xavier Cabannes (les petites affiches 2001 pp 15-22) 3. Revue : Droit et Défense 2002 no 1 pp 34 – 35 L’exploitation de ces ressources bibliographiques nous permet de diviser l’étude de ces fonds politiques en deux périodes : avant et après 2001. Avant 2001, le Président de la République et les ministres bénéficlaient d’une enveloppe financière en provenance directe de la banque de France. Cette enveloppe de liquide qui est un complément de rémunération, n’était pas déclaré.
Après 2001, cette enveloppe est déclarée, sauf pour les fonds alloués à la D. S. T (Directio PAGF 8 3 déclarée, sauf pour les fonds alloués à la D. S. T (Direction de la Surveillance du Territoire) et à la D. C. R. I (Direction Centrale des Renseignements Internes). « L’hyper présidence n’a pas de limite budgétaire. Nicolas Sarkozy a d’ailleurs pris le contrôle des fonds secrets alloués au ministère de l’intérieur et du budget « Michèle Alliot-Marie, Eric Woerth ».
C’est d’ailleurs avec ces fonds que des armes ont été achetées par le Président français et parachutées à Bengazi pour armer les rebelles libyens. Vous voyez bien donc que les fonds politiques sont Papanage des uissances économiques qui disposent de banques centrales qui battent monnaie et pas des monnaies de singe, mais des devises qui circulent librement dans le monde entier. Vous voyez bien qu’on ne peut pas parler de fonds spéciaux pour des pays pauvres très endettés (P. P.
T. E), qui n’ont aucun contrôle sur leur économie, qui ont des populations au bord de l’inanition, qui ne mangent pas à leur faim, qui n’ont pas accès à des infrastructures sanitaires de bases, qui vivent dans la misère, sous le seuil de pauvreté en résumé. 6 Un pays qui reçoit des subsides et dons des pays riches, ne peut as avoir de fonds secrets, ceux -ci proviennent de banques centrales en interne, donc l’origine est étatique et surtout pas d’une collecte internationale.
Idrissa SECK a parlé de fonds politiques, c’est clair : c’est un fonds (argent) destiné à la caisse d’un parti politique afin de permettre la conquête du pouvoir, ou la PAGF 3 à la caisse d’un conservation et la transmission interne du pouvoir pour le parti qui dirige le pays. Pour comprendre la nature de ces fonds il faut se placer dans le contexte de l’époque La Haute de Cour de Justice (HCJ) est une juridiction ad hoc, composée de députés et de juges pour nstruire et juger des cas où le président ou ses ministres sont impliqués dans des faits de nature ? constituer des infractions commises dans l’exercice de leurs fonctions.
Idrissa SECK pour disqualifier les juges de la HCJ a qualifié ces fonds de politiques : ce sont des fonds collectés à pinternational et destinés aux caisses d’un parti politique. Un parti politique est une association privée de personne. Donc les juges de la HCJ, selon la stratégie de défense adoptée par Idrissa SECK, ne sont pas compétents pour enquêter sur des fonds collectés par des membres d’une ssociation privée et destinés à leurs caisses. C’est donc la problématique de financement des parties politiques.
Les fonds spéciaux ou secrets qui ont une origine étatique et interne n’ont rien à voir avec les fonds politiques d’Idrissa SECK qui proviennent d’une collecte internationale occulte. Fermant cette parenthèse des fonds politiques, nous allons aborder cette présentation en suivant une chronologie basée sur des faits. Certains fats, lorsqu’ils sont pris isolément, ne peuvent pas révéler la vraie information, mais lorsqu’un observateur averti, les réunit autour d