Modèle d’enseignement efficace C’est deux chercheurs américains Rosenshine et Stevens, qui ont développé un modèle général de l’enseignement efficace, basé sur ce qu’ils considèrent comme les six fonctions principales de l’enseignement. 1. La révision journalière et le contrôle des devoirs : corriger ou faire corriger les devoirs journaliers ; réenseigner si nécessaire ; revoir l’apprentissage antérieur ( ce qui peut se faire par le questionnement) ; ors revoir les capacités p eq 2.
La présentation communiquer de faç présenter des synthè li ons) ; is antérieurs ; procéder par petites étapes à un rythme rapide ; accompagner la présentation de questions visant à contrôler la compréhension ; souligner les aspects les plus importants ; fournir suffisamment d’illustrations et d’exemples concrets ; fournir des démonstrations et des modèles , donner si nécessaire des consignes, des exemples détaillés et redondants ; 3.
La pratique guidée guider les élèves dans les premières applicatlons ; poser de nombreuses questions et donner des exercices ouverts ( inventés par l’enseignant ou avec le recours de matériaux ivers) ; compréhension en évaluant les réponses fournies par Hélève pendant les contrôles de compréhension, donner des explications complémentaires, fournir un feed-back et répéter l’explication si nécessalre ; s’assurer de la participation des élèves en donnant à chaque élève la même chance de pouvoir répondre et de lui fournir un feed- back ; fournir des suggestions pendant les applications ( si cela est approprié) ; continuer la pratique guidée jusqu’au moment où l’élève peut travailler indépendamment, avec suffisamment d’assurance et un aux de réussite d’au moins 80 % ; 4. La correction et la rétroaction des réponses rapides, fermes et correctes peuvent être suivies d’une autre question ou d’une autre question ou d’une brève reconnaissance du caractère correct de la réponse ( par ex. : « c’est juste p) ; des réponses correctes mais hésitantes doivent être suivies d’un processus de rétroaction ( par ex. : oui, c’est juste, parce que… ? ; les erreurs de Pélève doivent être l’indication d’un besoln d’applications supplémentaires ; déceler chez les élèves les erreurs systématiques ; ssayer d’obtenir chez les élèves des réponses complètes ; les corrections peuvent inclure une procédure de soutien ( par ex. : simplifier la question, donner des indications), des explications ou des révisions, un rappel de la procédure ou un réenseignement des dernières étapes ; la pratique guidée et les corrections un réenseignement des dernières étapes ; la pratique guidée et les corrections doivent être continuées jusqu’au moment où toute la classe maîtrise les objectifs de la leçon ; les encouragements doivent être utilisés avec modération : les ncouragements sont plus efficaces s’ils sont spécifiques plutôt que généraux ; 5.
La pratique indépendante programmer un nombre suffisant d’exercices à effectuer individuellement; la pratique indépendante doit être étroitement reliée au contenu ou aux objectifs enseignés ; continuer les exercices individuels jusqu’à obtention de réponses rapides, fermes et automatiques ; programmer les exercices de consolidation ; les exercices d’application doivent fournir au moins 95% de réponses rapides, fermes et automatiques ; rogrammer les exercices de consolidation • les exercices d’application doivent fournir au moins de réponses correctes les élèves doivent être avertis que le travail individuel sera contrôlé ; les élèves rendent compte du travail individuel • l’enseignant supervise activement le travail individuel dans la mesure du possible ; 6. La révision hebdomadaire et mensuelle revoir systématiquement ce qui a été appris ; prévoir des travaux de révision ; programmer des tests fréquents ; réenseigner les parties de matières non réussies dans les tests. »
