Le Japon fascine les cultures occidentales depuis bien longtemps et les fascinera sans doute toujours, de par ses différences culturelles, sociétales mais aussi artistiques. En effet, le pays du Soleil Levant s’illustre maintenant depuis des années dans des domaines qui lui restent propres comme les Manga ou les films d’animation où ils sont Incontestablement les maitres en la matière. Culture : Nous gardons tous à l’esprit une image froide et distante pour ce qui est des rapports entres japonais, aussi bien dans la sphère du travail que dans leur vie privée.
Cependant il est important de comprendre que leurs modes de vie sont basés sur des codes sociaux pr chacun. Cette rigueu surtout question de mode de fonctionne pressions parfois di vor ect lié au statut de , car au Japon il est il git de travailler. Ce to iew emment de fortes s plus jeunes (Le Japon se place à la premi re place mondiale en ce qui concerne le taux de suicides chez les étudiants) L’avènement de la technologie au Japon a profondément accentué la « timidité » affective des japonais, et cela rentre en résonnance avec I
Swipe to View next page les autistes Asperger où l’ordre et le respect scrupuleux des règles sont primordiaux. En effet, la société nipponne serait bien plus adaptée pour les autistes en général que dans les pays occidentaux. Le monde du travail japonais reste encore trop rude pour une insertion des autistes Asperger mais les codes sociaux y sont bien plus accessibles. Manga : Alors que les manga se démocratisent de plus en plus dans tous les pays du monde, le Japon quant à lui a toujours considéré ceci comme une véritable forme d’art à part entiere.
De véritables chefs d’œuvre voient le jour chaque année grâce aux brillants Mangaka qui consacrent littéralement leur vie à la réalisation de ces derniers. En effet, pour créer un manga il faut énormément de temps, et d’acharnement. Chaque planche peut nécessiter jusqu’à 5 heures de dessins, finitions, remplissage, Les sujets abordés sont riches et variés, et peuvent cibler plusieurs tranches d’âge. Mais certains types de manga comme les Seinen (thèmes plus matures et scénarii plus sombres) se distinguent clairement avec comme exemple « Death
Note »(2003), un thriller psychologique de génie créé par Takeshi Obata et Tsugumi Oba. Si la culture manga fait partie intégrante du Japon de nombreux manga ont connu d’énormes succès ? l’étranger et ont même été réada PAG » OF d intégrante du Japon de nombreux manga ont connu d’énormes succès à l’étranger et ont même été réadaptés en film (souvent très mauvais) par les Etats-Unis, comme Dragon Ball Z. Cinema : Le cinéma japonais est particulier. Il ne ressemble pas à la plupart des styles que nous connaissons et pourtant il se émarque de manière positive au sein du 7eme Art.
Quand on parle de cinéma japonais il est important de souligner que le symbolisme y est omniprésent. L’influence de la société est retranscrite avec une vision poétique de la vie mais toujours fidèle aux règles intangibles du Japon. Le cinéma de Takeshi Kitano : Acteur, réalisateur et ex-yakuza, ses films sont centrés autour du monde de la mafia japonaise. Son prochain film : « Outrage – Beyond (date encore inconnue) suite du premier volet « Outrage »(2010), retrace les péripéties de la pègre japonaise.
Le cinéma de Takashi Miike : Cinéma d’horreur, et de le l’absurde, la plupart de ses films ont été censurés en Europe ; il reste le réalisateur le plus étrange du japon et pourtant un des plus connus. Film d’animation : Les films d’animation japonais sont en avance sur leurs temps, depuis les premiers succès comme « le tombeau des lucioles » ou encore « Akira » qui ont montré des qualités danimation hors du commun pour l’époque (1988) ou encore « Akira » qui ont montré des qualités d’animation hors du commun pour Vépoque (1988), le japon n’a cessé de produire e véritables chefs d’œuvre en la matière. armi les thèmes récurrents on retrouve les mondes oniriques de Hayao Miyazaki « Princesse Mononoké »(1997), où la nature joue un rôle considérable. A l’inverse, il existe aussi de nombreuses réalisations portant sur l’influence et le contrôle de la technologie sur un décor post- apocalyptique. Des questions existentielles sont posées par le biais de cyborg capable de penser comme des êtres humains, avec par exemple l’excellentissime « Ghost in the Shell »(1995) de Mamoru Oshii.
Ce qui distingue plus particulièrement les formes d’art du Japon des autres, c’est cette implication totale dans les sujets dune profondeur inégalée, cet acharnement et cette obstination de la perfection. Cette culture continuera à nous intriguer pendant encore de nombreuses années , surtout quand on sait que le Japon a en moyenne 3 ans d’avance sur le reste du monde en ce qui concerne les innovations technologiques ce qui stimulera encore davantage la richesse des sujets abordés dans les manga ou la filmographie nipponne. Santi Maxime.
