Résumé de ‘IL ‘audit des stocks » « L’audit STOCKS DEFINITION, HIERARCHIE ET POLITIQUE D’ APPROVISIONNEM or 10 Sni* to View l. DEFINITION DES STOCKS : Stocker, c’est engager des dépenses pour acquérir des biens qu ne produiront des revenus qu’ultérieurement. La norme comptable définit les stocks comme l’ ensemble des biens ou des services qui interviennent dans le cycle d’ explo tation de l’ entreprise pour être . Soit vendus en l’ état ou au terme du processus de production ? venir ou encours. es emballages non récupérables (emballages perdus), les emballages susceptibles d’ être provisoirement conservés par es tiers et que l’ entreprise qui les livre s’ engage à les reprendre dans des conditions déterminées à condition que ces emballages ne soient pas commodément identifiable unité par unité. Dans le cas contraire, ces emballages constituent des immobilisations (compte 2333) Les produits en-cours sont des biens ou services non achevé à la date de clôture de l’ exercice.
Les produits intermédiaires sont ceux ayant atteint un stade d’ achèvement mais destinés normalement à entrer dans une nouvelle phase du cycle de production. Résumé de « L’audit des stocks » Les produits résiduels, comprennent les déchets et rebuts de abrication et par extension, les produits finis et les produits intermédiaires invendable ou inutilisables en tant que te 10 aléatoire sur le marché…
Classe C : produits courants, peu chers Il est clair qu’en fonction de sa classe, chaque produit aura un made de gestion spécifique. 3. POLITIQUE DE REAPPROVISIONNEMENT Définir une politique de réapprovisionnement consiste essentiellement à répondre à trois questions . QUOI (quel produit) faut-il réapprovisionner ? QUAND faut-il réapprovisionner ? COMBIEN faut-il réapprovisionner ? En fonction du QUOI ? Les choix suivants se présentent : Date ou quantité FIXE. Date ou quantité VARIABLE.
Suivant les combinaisons des réponses, il est donc possible de définir quatre politiques de base pour réapprovisionnemen PAGF 10 consiste à définir, dans un concept de flux tiré et de juste à temps, le niveau de stock qui déclenche l’ordre d’achat, de façon à être livré juste au moment de l’utilisation de la dernière pièce. Ce niveau de stock (point de commande) doit permettre de satisfaire les besoins durant le délai allant de date déclenchement commande la livraison. – Réapprovisionnement à Date et Quantité variables Cette méthode est principalement utilisée pour les articles de lasse A dont les prix de revient varient fortement ou dont é n’est pas permanente. autres impôts et taxes non récupérables et diminués des taxes légalement récupérables ainsi que des réductions commerciales obtenues (rabais, remises, ristournes) dès lors que ces réductions peuvent être rattachées à chaque catégorie d’ achat et qu’ elles sont significatives.
Des charges accessoires d’ achat engagées jusqu’à P entrée en magasin de stockage, il s’ agit essentiellement des charges directes sur achat et approvisionnement (Transport, frais de transit, commissions et courtages, frais de réception (déchargement, anutention… assurances, transport… l’ exclusion des taxes légalement récupérables). Toutefois I’ entreprise peut inclure dans le coût d’ acquisition la fraction des charges indlrectes susceptibles d’ être raisonnablement rattachées à l’ opération d’ achat et d’ approvisionnement.
Le coût de production des biens en stocks est formé de la somme : Des coûts d’ acquisition des matières et fournitures utilisées pour la production de l’ élément. Des charges directes de p s 0 s les charges de actuelle n’ est pas significativement différente de la valeur comptable nette du bien cédé, cette dernière est retenue comme valeur ‘ entrée du bien acquis. • Stocks acquis à titre gratuit : la valeur d’ entrée des biens est égale à la valeur actuelle, « valeur estimée à la date d’ entrée, en fonction du marché et de l’ utilité économique du bien pour I’ entreprise. ?? Stocks acquis à titre d’ apport : la valeur d’ entrée est égale au montant stipulé dans l’ acte d’ apport. • Stocks acquis conjointement ou produits conjointement : la valeur d’ entrée de ces biens est déterminée à partir de leur coût global d’ achat ou de production, proportionnellement à la valeur relative qui peut être attachée à chacun de ces biens dès u’ ils peuvent être individualisés. 4 • Produits résiduels : sont à inscrire en stock pour leur valeur probable de réalisation (cours du marché s’ il en existe un) sous déduction des charges de distribution à engager. ?? cas exceptionnels : Dans les cas exceptionnels, où il n’ est pas possible de calculer le coût d’ achat ou le coût de production, la valeur d’ entrée est déterminé : comme égale au coût d’ achat ou au coût de production dans l’ entreprise des biens équivalents constaté ou estimé à une date aussi proche que possible de la date d’ entrée, à défauts, comme égale aux prix de ente estimé à la date du bilan sous déduction d’ une ma ur coût d’ acquisition ou PAGF 6 0 être vendus et dont le coût est exprimé en devises : Ces stocks font I’ objet d’ une conversion en dirhams par catégories de marchandises ou de produits sur la base du cours moyen de change à leur date d’ achat ou d’ entrée (moyenne pondéré des cours de change pendant la période d’ achat ou d’ entrée) ou sur la base d’ un cours estimé aussi proche que possible de ce cours moyen. I . 3. STOCKS DE BIENS INTERCHANGEABLES : Pour les articles, objets ou catégories individualisés et identifiables, le coût d’ entrée est déterminé ar article, objet ou catégorie.
En revanche, pour les articles ou objets interchangeables, et non identifiés par unité, après leur entrée en stock, le coût d’ entrée du stock observé à une date quelconque et notamment ? l’ inventaire, est obtenu selon l’ une des deux méthodes suivantes : X Méthodes du coût moyen pondé ré : Le coût moyen pondé ré aprè s chaque entré e : CMPLJ après chaque entrée = Valeur du stock précédent 4 valeur de l’ entrée (achat ou production) Quantité en stock + quantité entrée (achetée ou produite) Le coût moyen pondé ré de pé riode de stockage Le coût unitaire d’ entrée du stock à la date de I’ inventaire est égal à la moyenne des derniers coûts unitaires d’ entrée observée sur la durée moyenne d’ écoulement du dit stock, cette moyenne des derniers coûts étant pondérée par les quantités entrées.
Exemple L’ entreprise a consommé dans l’ année 450 unités, son stock moyen est de : Stock initial + stock final = (300 +300 12 = 300 unités; 2 7 0 stocks » La durée moyenne de stockage est de : (300 x 12 mois)/450 8 mois (en moyenne une unité entrée demeure 8 mois en stock avant d’ être consommée). On retient donc le coût moyen des entrées des 8 derniers mois our évaluer le stock final. Le C. M. P des entrées des 8 mois derniers mois est de : (1 50+200) = 44. 250/350= 1 26,43 DH. La valeur du stock final est donc égale à : 300×126, 43 DH – 37. 929 DH La méthode du premier entré e, premier sorti (FIFO) Toute sortie est valorisé au coût d’ entrée le plus ancien, dés lors le stock final est évalué aux coûts x d’ entrées les plus récents, les quantités étant regroupées par lots homogènes quand à leur date d’ entré et à leur valeur. 2.
LA VALEUR ACTUELLE A LA DATE D’ INVENTAIRE La valeur actuelle des biens en stock est déterminée à partir du arché et de l’ utilité du bien pour l’ entreprise : La référence au marché s’ effectue à partir des informations les mieux adaptées à la nature du bien (prix du marché, barèmes, mercuriales… et en utilisant des techniques adéquates (indices spécifiques, décotes… ; Pour les matières premières et les fournitures, la référence au marché correspond le plus souvent au prix actuel d’ achat, majoré des charges actuelles accessoires d’ achat. 0 postérieures à la vente telles celles relatives au coût des garanties…
Pour les produits en cours, leur prix de vente probable (à l’ état de roduit fini) doit être diminué des charges de distribution mais aussi des coûts de production restant à engager (coût d’ achèvement). Le prix de vente probable doit tenir compte, dans le respect du principe de prudence, des perspectives de vente et notamment • du prix « du marché » s’ il en existe un à son niveau actuel (date de l’ inventaire) ou futur (en cas d’ évolution à la baisse) ; des particularités des produits ou marchandises en stock et notamment de leur inadaptation aux conditions nouvelles du marché (cas des articles démodés ou obsolètes… ou de leur état (articles défraî chis ou abî més… Résumé de « L’audit des stocks’ 3. LA VALEURAU BILAN (V ABLE NETTE) valeur brute).
La provision pour dépréciation (en diminution) La valeur comptable nette (par différence) Cas particulier des « contrats de vente ferme » Lorsque le prix de vente stipulé est considéré comme sûr, couvre tout à la fois les coûts déj? engagés sous forme de produits finis, produits en cours ou matières premières, fournitures ou marchandises et ceux restant à supporter jusqu’ à exécution totale du contrat, le coût d’ entrée de ces biens est conservé comme valeur du bilan sans que soit constatée une provision pour épréciation. Ill. LES ECRITURES COMPTABLES DE REGULARISATION DES 1. Inventaire intermittent Dans cette organisation comptable, c’est seulement en fin de période que sont inscrits dans les comptes de la comptabilité générale les existants chiffrés en valeur. Comptabilisation des variations de stocks • 1 . Annulation des stocks initiaux 2. Constatation des stocks finals Comptabilisation des provisions pour dépréciation des stocks 1 . Annulation des provisions/stocks initiaux 2. Constatation des provisions/stocks finals N. B Une autre méthode de ré ularisation des provisions consiste à comparer, pour chaque