mythes et paradoxes de l’histoire économique, Paul Bairoch

longue distance sont bloqués par les coûts élevé du transport. Le Royaume-Uni 1er exportateur de charbon production : de la production mondiale. Le surplus des 6 pays les plus industrlalisés dépassait de leur consommation. Pétrole dès 1870 avec les USA. Mais la dépendance est faible car l’Europe était auto-suffisante en énergie pendant l’entre deux-guerres. Inversion du schéma après la 2GM et la production du Moyen- Orient. Qui n’est pas la conséquence de l’épuisement des pays développés mais de différentiels de prix. Les produits miniers : de grandes variations suivant le produit onsidéré.

Les répercussions des coûts de transports dépendent du prix du minerai. Minerai de fer : 95% de tout les métaux produits. marché local. Inversement 1960 dépendance des développés avec le tiers monde. Cuivre et étain : leur prix élevés permet une expédition long- court. Dépendance forte à la veille de la IGM. Veille IGM les développés produisaient 98% de leur consommation de minerais. À partir de 1913 augmentation de la dépendance des développés en minerais. Les autres matières premières. Fibres textiles: M 13% de la consommation des développés.

Caoutchouc, engrais agric dépendance totale ou PAGF 18 aucune transformation réelle et dont certains peuvent être consommés sans aucune modification (sel, fruits). Matière première : produit primaires utilisés dans l’industrie. Augmentation de leur production de matières premières pendant l’entre-deux-guerres. La dépendance à l’égard du tiers-monde pour les matières premières devint une réalité à partir de 1955 avant c’est un mythe. Les pays développés sont parvenus à un très haut niveau d’industriallsation grâce aux matières premières locales et à l’exploitation de leur ropre main-d’oeuvre.

Mythes et paradoxes de l’histoire économique, ! Paul Bairoch. VI/ Les débouchés coloniaux jouèrent-ils un rôle décisif dans le développement des industries occidentales ? Il n’y a jamais eu de période au cours de laquelle les débouchés offerts par les colonies aient joué un grand rôle dans le développement des industries occidentales. Provenance du mythe : début XIX jusqu’à aujourd’hui tout les produits manufacturés consommés dans le tiers-monde vient des développés. Un rôle mineur dans l’ensemble des exportations.

L’ensemble des pays dévelo és ex ortaient 17% de leur exportations vers le tiers- 800 PAGF 7 8 développés représentent 11% de leur PNB. Un paradoxe : les puissances coloniales connaissent une croissance plus faible que les autres pays développés (coloniaux). L’esprit d’entreprise et du dynamisme est détourné de l’économie nationale pour s’investir dans l’aventure coloniale. La facilité d’accès au marché n’entraine aucune pression créatrice. Ou : les pulssances non coloniales ont profité des marchés coloniaux sans en subir les coûts.

La colonisation a profité à certains secteurs, régions, individus mais au niveau nationale pas d’avantages. Le colonialisme ne crée pas de pression créatrice. VI/ Le colonialisme joua-t-il un rôle important dans le déclenchement de la révolution industrielle ? Mythe concernant l’Angleterre. Ses exportations étaient parmi celles qui étaient le plus orientées vers les colonies. 8 importants pour les biens manufacturés XIX. C’est la colonisation qui s’explique par la révolution industrielle. Il faut attendre la RI pour que l’empire colonial soit rentable.

La RI donne les moyens militaires pour conquérir les empires coloniaux. VIII/ Le bilan du colonialisme. Mythe : le tiers-monde a perdu. Car si les développés ont perdu les colonisé ont aussi du perdre. La réalité de la désindustrialisation. Inde : l’afflux massif de produits anglais désindustrialisation. Le fait que les pays développés appliquaient des taxes douanières élevées et que le tiers-monde ne pratiquait pas de taxe douanière permet de faciliter l’entré de produits manufacturés des pays développés dans le tiers-monde.

Dès lors le tiers-monde se etrouve face à une concurrence déloyale car elle ne peut pas exporter et donc rédulre ses coûts par les économies d’échelle et est envahie par des produits moins chère en provenance des pays développés. Le tiers-monde met en place des politiques protectionnistes pour faire face à cette concurrence. 1750 le tiers-monde produisait 70% de tous les biens manufacturés. 1913 plus que ? Après le 2GM la volonté des pays est l’industrialisation entre 1953 et 1990 la production industrielle a été multipliées par 12. éveloppement de l’industrie = privation de l’agriculture ‘innovations. Points faibles de l’industrialisation du tiers-monde ! inégalités régionales. les résil possèdent 25% de la prix du sucre de 4 à 5 000 aujourd’hui par rapport à 1400. Les exportations en provenance du tiers-monde était de 18 500 000 tonnes avant la IGM. L’explosion démographique date de l’époque coloniale. Les taux de croissance démographique dépassaient les 1 % pour le tiers-monde. La réalité des très grands écarts de revenus. Les développés niveau de vie X 5.

Tiers-monde niveau de vie + le tiers-monde sors du colonialisme avec beaucoup de retard par apport aux pays développés. Quelques autres effets négatifs. perte de l’indépendance nationale. Dégradation de nombreuses formes de civilisation et de culture. L’occident n’avait pas besoin du tiers-monde, ce qui est une bonne nouvelle pour le tiersmonde. Si le tiers-monde était important pour le développement de l’occident alors cela veut dire que le développement économique ne peut se faire que par l’exploitation. Liobstacle du tiers-monde pour sa croissance et la forte croissance démographique. Mythes et paradoxes de I mique, !