Les inégalités La santé était une valeur qui semblait évidemment positive. Au contraire le terme d’inégalité semble renvoyer à réalité qui semblerait évidemment négative. Inégalités perçues d’abord sur le mode de la plainte, « pourquoi certains ont-ils plus que d’autres ? Les inégalités sont perçues de manière immédiate, sur le mode de la protestation face à une réalité qui semble inique, contraire à une situation originelle dite « égalitaire » qui aurait été rompue ou dont on aurait dévié.
Du reste, lorsque le rincipe d’égalité est contesté dans une mesure c’est au nom d’une égalité supposée plus et mieux déterminée. Quand certains Swipe to page critiquent des mesur contestent au nom d cg or 11 impossible de parler nt2•. -•. Snigeto comme quelque cho d’inégalités au pluriel inégalité. De plus, plus encore que la sant Itlve, ils les os sociétés quasi nter le privilège is on parle ici inégalités et , l’inégalité est d’abord définie par son envers. L’étymologie d’inégalité est in aequitas, préfixe négatif de l’égalité.
Or égalité il y en a différentes acceptions. Il y a d’abord l’égalité ontologique celle qui tient à ce qu’est supposé être l’homme, mise en avant notamment par les religions, la condition humaine est identique, quelques soient les différences, même Terre/Même createur/même destination, chaque être existe également. Niveau d’égalité qui ne va pas sans ambiguité car ces religions religions ne donnent pas exactement la même place aux hommes et aux femmes dans cette égalité. ?galité formelle/ égalité des droits : au delà de cette première égalité qui suppose que tous les individus d’une même société énéficient des mêmes droits. Cette égalité peut être politique (accès aux fonctions, grades), civile (mêmes prescriptions qui pèsent sur tout citoyen, mêmes contraintes, mêmes peines) égalité formelle que l’on retrouve dans la DDHC et repris dans la constit de 1958. Cette égalité est limitée au domaine défini par la loi, au domaine politique. Égalité réelle : égalité des biens, sociale.
Cest l’égalité arithmétique, que l’on retrouve idéalement dans la société coco où chacun disposerait des mêmes biens et du même niveau de richesse. République de Platon ou Baboeuf sous le Directoire. A souvent relevé de l’utopie si bien qu’au delà de l’utopie ce qui a été effectivement mis en œuvre est l’égalité des chances. Égalité des chances : égalité ou d’une recherche d’égalité qui prend en compte la compensation des inégalités de potentiel entre les indlvidus. Il s’agit de neutraliser de compenser des inégalités « naturelles » (le handicap), d’environnement, d’ordre social.
Il s’agit de faire en sorte que chacun puisse faire valoir ses capacités et son travail à égalité. Mesures d’affirmative actions. Problèmes pratiques pour savoir quelles inégalités à compenser, quelles inégalités sont acceptables, sur quels critères et jusque quel seuil les compenser ? Il y a différentes acceptions de l’inégalités. Il est nécessaire de faire un détour historique, PAG » 1 différentes acceptions de l’inégalités. Il est nécessaire de faire un détour historique, quand on se tourne vers l’histoire il ny a pas non plus d’évidence du refus des inégalités.
Tocqueville qui distingue la soc IJS qu’il qualifie de démocratique qui se veut faite d’individus supposés égaux soc « moderne » et ans laquelle il y a une passion pour l’égalité qui l’oppose à la société d’ancien régime dans laquelle l’ordre hiérarchique est consideré comme juste et comme légitime. Dans nos sociétés les inégalités tendent à être considérées comme injustes et même à être considérées comme de plus en plus injustes. Lorsque tout est presque à même niveau la moindre inégalité devient blessante si bien que la passion de l’égalité augmente que l’égalité augmente.
Dans les sociétés modernes on aurait une recherche de l’égalité de plus en plus affirmée et que l’on pourrait istinguer trois époques Sociétés traditionnelles, dans lesquelles les inégalités sont acceptées et tout au plus décrites Moment de critique des fondements de l’inégalité et de ses effets objectifs dans les sociétés Société post-moderne où on ne s’intéresse plus au fondement objectif des inégalités mais à leur perception de ceux qui se disent victimes d’inégalités.
Même si la passion de l’égalité devient de plus en plus forte cela ne signifie pas que les inégalités disparaissent et même diminuent. Question de la persistance de ces inégalités. Inégalités sont injustes n’a pas toujours été une évidence. Certes nos sociétés ont connu un ensemble d’avancées en matiere de lutte contre les inégalités. PAGF30F11 ont connu un ensemble d’avancées en matière de lutte contre les inégalités. Ce tout particulièrement depuis la fin de la WWII. J.
Fourastié théorise dans le terme des 30 glorieuses ou la révolution invisible, les soc occidentales ont connu plus de progrès en trois décennies que dans les siècles précédents. H. Mendras dans la seconde révolution française 1965-1984, part e la fin de la GA et qui insiste sur les transformation plutôt sociales et culturelles. Phéno de moyennisation des sociétés et notamment de la société française, essor des classes moyennes au détriment des classes les plus riches et les plus pauvres.
Cette moyennisation ne correspond pas seulement à la place démographique des catégories moyennes dans la population française mals aussi à la place symbolique de ces catégories. Ce sont aussi les valeurs de la classe moyenne qui en deviennent dominantes, ce qui se traduit par cette seconde révolution rançaise qui est une révolution en matière de valeur, c’est à dire une transformation très rapide et très importante des modes de vie, des représentations sociales, des normes dominantes, des rapports dans le couple. Ces évolutions sont théorisées par L.
Chauvel dans Le Destin des générations, théorise ces transformations sous l’angle de la décade dorée en expliquant que dans les trente glorieuses il y a une période qui est la période de loin la plus favorable (1965-1975) dans laquelle on constate dans les soc occidentales une croissance du revenu sans précédant, un développement colaire, un contexte de plein emploi, un développement de l’Etat- providence, disparition PAGFd0F11 développement scolaire, un contexte de plein emploi, un développement de l’Etat-providence, disparition des taudis urbains, et consommation de masse.
Avancées ne sont pas le seul fait des démocraties occidentales car même depuis les années 80, les pays issus de l’ancien tiers- monde (Inde, Brésil) ont accéder à un mode de vie et de consommation « occidental » plutôt favorable et on constate au niveau mondial une tendance à la diminution des inégalités entre es pays. Ainsi au total, semble être confirmé la courbe de Kuznets. Cest-à-dire la tendance des inégalités de revenus et de conditions de vie à se réduire au fur et à mesure du développement.
On constate aussi depuis les annees 80, une montée des inégalités dans le monde occidental. Vrai des inégalités sociales et économiques mais aussi qu’au moment où certaines inégalités tendent à diminuer comme celles entre hommes et femmes, c’est l’idée qu’émergent de nouvelles formes d’inégalités. Retour des inégalités sociales et économiques : développement t persistance de chômage et d’une pauvreté de masse, idée de T.
Piketty qu’on serait passé de société salariale dans laquelle les inégalités allaient de 1 à4 pour passer à une soc patrimoniale où les inégalités vont de là70_ Thèse de Piore : insiders et outsiders. Clivage essentiel de nos sociétés n’est pas entre dirigeants et employés mais entre ceux qui sont dans le marché du travail et ceux qui sont durablement en dehors du marché du travail segmentation du marché du travail. Thèse de D. Olivennes selon laquelle des soc comme la France auraient privilégié la sécurisatio s 1