Au revoir,les enfants de Louis Malle Au revoir, les enfants est un film de Louis Malle, sorti en 1987 et inspiré de faits autobiographiques, d’un évènement tragique ayant marqué l’enfance du réalisateur. Ce film nous entraîne en pleine immersion dans un pensionnat catholique de garçons, en province, en pleine seconde guerre mondiale, 1944, bien que la guerre n’y soit pas tout à fait présente, sauf à une ou deux apparitions de soldats allemands. En outre, il nous montre la vie quotidienne de deux enfants, Julien t Jean Bonnet, intrigués l’un par l’autre.
Julien apparait comm très proche de sa mè pe ors pere. Par ailleurs, Jean a l’ai car c’est un nouvel a Sni* to View ultivé, religieux et l’absence de son emble de la classe naires et il est aussi très mystérieux. Il ne parle pas beaucoup de lui ni de sa famille et ne répond pas clairement aux questions que lui pose Julien. Il lui dit seulement que son père est prisonnier et qu’il n’a plus de nouvelles de sa mère. De plus, ce personnage cache un gros secret que Julien va découvrir…
Un lien d’amitié se créé entre eux, ils commencent par partager une passlon pour les livres puis pour la musque. Joseph est un simple employé s’occupant de nourrir les co Swipe to View next page cochons mais est aussi au courant des manigances clandestines du Père Jean, résistant, et de Jean Bonnet. Un jour, il se fait prendre en train de voler et est licencier sur le champs. Malheureusement il décide de se venger et de dénoncer le pensionnat à la Gestapo qui débarque un froid matin de janvier…
En effet, Louis Malle raconte des événements vécus dans une ersion romancée avec quelques éléments de fiction. Dans les faits réels, le jeune Jean Bonnet s’appelait Hans-Helmut Michel (1930-1944) et l’amitié entre Julien et Jean est purement de fiction. Louis Malle a déclaré, lors d’interviews, qu’il regrettait de ne pas avoir développé d’amitié avec le vrai Jean. Le personnage de Julien corrige ce que le réallsateur n’a pas eu le temps, l’occasion ou la présence d’esprit de faire à l’époque dans ce collège d’Avon.
De plus, le Père Jean a lui aussi existé et s’appelait Lucien Bunel (1900-1945). Louis Malle a vécu cette histoire qui a longuement occupée son esprit, selon ses propres dires : « Pendant longtemps, j’ai purement et simplement refusé de m’y attaquer, parce que cet événement m’avait traumatisé et qu’il a eu une énorme influence sur ma vie. » Cependant, il n’a jamais prétendu raconter la vérité à la façon d’un documentaire, c’est une fiction faite des souvenirs qu’il a de cette histoire, à laquelle il a rajouté des éléments et anecdotes récupérés ailleurs, et