Kaitlin Townshend FRE 303-01 XIXe siècle La vie d’une sainte En lisant Boule de Suif de Maupassant et Un CœUr Simple de Flaubert j’ai développé des sentiments de compassion envers les personnages principaux — Élisabeth Rousset et Félicité. C’est évident qu’elles partagent des caractéristiques similaires comme servir les autres, la fidélité et aux maltraité par les autres. Ces caractéristiques jouent un rôle très important, mais il y a quelque chose qui est plus im vie dure et il n’y a pe Quand nous considé cela référer à la majo ou qui est infortuné. or7 e femme vit une
VIe comme ça. pénible que la nôtre, s pauvre que nous re ainsi que les caractéristiques d’Élisabeth Rousset et Felicité décrit leurs vies d’être comme les vies des saints. Ça peut être ridicule de dire qu’elles ont des vies des saintes, mais pendant le XIXe siècle ce n’est pas anormal de comparer quelqu’un à un saint, surtout pour Flaubert. Donc, comment est-il possible pour une domestique et une courtisane d’être des saintes ? Avant d’explorer comment elles sont des saintes c’est nécessaire de comprendre ce que ça veut dire d’être un saint et comment quelqu’un devient un saint. saint est quelqu’un en qui nous pouvons a Swipe to vlew next page apercevoir l’esprit de Dieu. C’est une personne qui vit selon les lois données par Dieu et qui suit une vie exemplaire avec la morale ou la religion. 1 Le plus souvent, ce sont des gens qui mettent les besoins des autres avant eux-mêmes et ils subissent des épreuves et des tribulations à cause de leurs croyances. Donc la souffrance, l’injustice, et parfois le supplice sont les aspects à leurs vies. La canonisation, ou le procédé de devenir un saint, prend longtemps quelquefois plus de cinq ans. ?a prend u temps d’analyser les miracles et les actions extraordinaires qui prouver que quelqu’un est digne d’être un saint. Pour être considéré comme un saint, il doit y avoir des preuves de deux miracles après la mort de cet individu. C’est évident dans Boule de Suif qu’Élisabeth Rousset ne peut pas aux considérée comme une sainte parce qu’elle n’est pas morte, mais je pense qu’elle a les caractéristiques d’une sainte par ses actions et ses malheurs causés par les autres. Dans Un Cœur Simple Félicité est aussi maltraitée par les autres et elle fait plusieurs choses religieuses habituelles.
Prenons leurs emplois, Élisabeth Rousset est une courtisane mais il ne nous aux expliqué pas pourquoi. C’est possible que sa mère a été une courtisane et qu’Élisabeth a suivi son exemple ou peut-être qu’elle était pauvre et qu’elle a eu l’opportunité de gagner d’argent pour survivre. En tout cas elle est poursuivi par PAG » rif 7 qu’elle a eu l’opportunité de gagner d’argent pour survivre. En tout cas elle est poursuivi par les hommes, Cornudet et Hofficier prussien, qui ont voulu profiter de son métier ; elle a refusé, « Non, mon cher, il y a des moments où ces chose-là ne se font as; et puis, ici, ce serait une honte. ?2 Dans ce cas là elle a refusé le proposition de Cornudet parce qu’il y a le présence d’un prussien, l’ennemi, dans le même endroit. Donc, elle aurait pu profiter de la situation, comme Loiseau qui vend de vin, et gagner de l’argent mais elle n’a pas accepté. Au contraire des autres gens qui ne semblent pas d’avoir de morale, Élisabeth a resté fidèle ? son amour de la France et sa morale. Les autres gens profitent des autres, volent, potinent, trichent, et conspirent contre Boule de Suif pour leur propre avantage.
Cest la personne qui est ? dégoutante » et « contaminée » qui est la plus respectable – Élisabeth Rousset. Une domestique pendant la plupart de sa vie, Félicité est aussi être au service des autres. Flaubert nous explique son histoire difficile et la raison pour laquelle elle est devenue un domestique. C’était par hasard qu’elle a rencontré Madame Aubain mais elle était désespérée parce qu’elle n’avait rien. Elle est toujours occupée par les autres – Madame Aubain, Paul, Virginie, Victor, un vieillard. Non seulement est-elle fidèle aux autres, surtout ? Madame Aubain, mais à Dieu aussi.
Sa rout PAGF3C,F7 Non seulement est-elle fidèle aux autres, surtout à Madame Aubain, mais à Dieu aussi. Sa routine quotidienne est expliquée : « Elle se levait dès l’aube, pour ne pas manquer la messe, et travaillait jusqu’au soir sans interruption; puis, le diner étant fini, la vaisselle en ordre et la porte bien close, elle enfouissait la bûche sous les cendres et s’endormait devant l’âtre, son rosaire à la main. Personne, dans les marchandages, ne montrait plus d’entêtement. Quant à la propreté, le poli de ses casseroles faisait le désespoir des autres servantes. »3
Elle a une foi très profonde qui est évidente dans ses actions. Même les autres domestlques et bourgeoises sont envieux parce qu’elle fait beaucoup de chose en restant fidèle à Madame Aubain qui n’est pas une personne très agréable et qui paie Félicité seulement cent francs par an. Cest naturel pour Félicité d’être contente de ne pas avoir beaucoup d’argent parce qu’elle est plus concentrée au bonheur, ou la « félicité » des autres. Avec Virginie, Félicité dinquiétait de sa santé, elle a lui apporté au catéchisme, et elle est restée avec son corps pendant longtemps après sa ort.
C’était la même qu’avec Victor, son neveu. Félicité fixait ses nippes, elle le nourrit, et quand il est parti, elle s’lnquiétait. Il y avait un moment où Félicité a sauvé Madame Aubain, Paul, et Virginie d’un taureau en colère qui tentait de les attaquer. Cet événement éta Aubain, Paul, et Virginie d’un taureau en colère qui tentait de les attaquer. Cet événement était bien connu à Pont-l’Evêque, mais Félicité ne croyait pas qu’elle avait fait quelque chose d’héroique. Elle a fait un miracle parce qu’elle les a sauvé du taureau qui oulait les tuer mais elle ne voulait pas la gloire.
Ce type d’action héroi@ue était similaire à ce qui s’est passé ? Boule de Suif. Tous les voyageurs doivent rester à Tôtes jusqu’? ce que l’officier prussien obtienne ce qu’il veut coucher avec Élisabeth Rousset parce qu’elle est un courtisane. Elle refuse ses ordres deux fois parce qu’elle est française et les Prussiens sont les ennemis. Les autres découvrent ce que l’officier veut et ils conspirent contre Boule de Suif. C’était une nuit pendant le dîner que les autres décrivent les actons des saints pour convaincre Boule de Suif de coucher avec lui pour les sauver. ? … sans découvrir des exemples nouveaux et ne trouvait rien [ils] interrogea la plus âgée des bonnes sœUrs sur les grands faits de la vie des saints. Or, beaucoup avaient commis des actes qui seraient des crimes à nos yeux ; mais l’Église absout sans peine ces forfaits quand ils sont accomplis pour la gloire de Dieu, ou pour le bien de prochain. »2 Contre son gré Élisabeth les est donné ce qu’ils voulaient, elle a couché avec l’officier. Elle a trahi son pays et les autres ont fait de même à elle. Le lendemain ils ont m