Recherche Horla

Racha Salem Dans la nouvelle «Le Horla», l’espace qui entoure le personnage crée un effet d’inquiétude au fur et a mesure que Pœuvre progresse. En effet, sa maison qui était un symbole de sécurité et de gaieté au début devient un lieu repoussant et effrayant après l’apparition de Horla. par les deux passages « Quelle journée admirable ! J’aime ce pays, et j’aime y vivre. » (p. 67) et : « sûr que j’allais trouver, dans ma maison une mauvaise nouvelle nous réussissons à sentir la terreur du personnage. La maison qu’il chérissait plus que tout se transforme en demeure qu’il epousse.

Par la suite, les apparitions du Horla se multiplient et deviennent de plus en plus et envahissant. Cette chose, qu’il nommera le Horla pa fréquente. or2 D’ailleu s, « je vis, viz Sni* to View nextÇEge se plier, comme si un les apparitions de ce tous les lieux qu’il e de ces roses (p. 97) évoque n propre jardin. Cette chose prend de plus en plus de l’expression dans respace entourant le héro au fur de sa progression dans le temps. D’un autre coté, la nuit joue un rôle très i Swlpe to vlew next page important dans la peur que ressent le personnage.

En effet la nuit est un symbole de peur pour tout les être humain puisque ces derniers sont des êtres diurne. Pour le héro, les manifestations du Horla se font principalement pendant la nuit. Elles se font sentir pendant son sommeil : «J’attends le sommeil comme on attendait le bourreau. » Cette comparaison souligne une similitude entre rattente du sommeil et l’attente de la mort. Ceci met l’accent sur la souffrance du héro et sa difficulté à dormir. Au fur et à mesure que le temps avance, le Horla envahi de plus en plus les journées entieres du personnage.

Ces manifestations commencent à se faire ressentir même pendant le jour. «Je dors- longtemps-deux ou trois heures-puis un rêve-non-un cauchemar m’éteint. » (p. 71 ) Cette personnlfication met en évidence la domination de plus en plus prononcé de cette chose sur sa vie. À présent, le Horla devient sa principale occupation. En somme, dans cette nouvelle, l’espace témoigne de la progression de l’inquiétude chez le héro. Ceci se résume par les apparitions de plus en plus envahissantes du Horla et par sa psychologie mettant la lumière sur sa folie.