Le Horla

A son retour, il pensait être guéri mais lors d’une visite d’une église, un moine lui raconta des vieilles histoires, des S t o n page légendes de ce lieu. La nuit suivante, ses en plus que l’eau de demanda si c’était lui fou et que son imagi p g t. Mais il remarqua aque nuit, il se ensait qu’il devait stimulée. Après la fête de la République, il alla chez sa cousine où il rencontra deux femmes dont l’une avait pour époux un médecin, le docteur Parent, qui travaillait justement sur les maladies nerveuses et qui pouvait l’aider.

Durant une promenade, un soir, le narrateur sut avec certitude que ce n’était pas des hallucinations mais un homme invisible qui rodait autour de lui, qui le possédait. Il n’était plus sous son contrôle mais sous le contrôle de l’étranger. En lisant un magazine, il sut l’origine de ses hallucinations. A la fin, il décida de le tuer en le brulant dans sa demeure mais il sut que cela fut un échec et que les seules personnes qu’il avait tué, c’était ses domestiques. Le dernier moyen qu’il a trouvé pour le tuer était de se tuer lui- meme.

Dans ce conte fantastique, l’auteur nous plonge dans une atmosphère d’angoisse et d’inquiétude dès le début de Ihistoire car le narrateur tombe gravement malade et devient « fou » or si le narrateur meurt au début de l’histoire, l’histoire ne pourra continuer. Mais, on sait que Maupassant est fasciné par la folie et les fous qui sont des thèmes très présents dans ses récits car il est lui-même atteint de la syphilis qui est une maladie qui attaque le système ner,’eux et qu’il a pu vivre avec.

Il serait donc erroné de confondre l’auteur et le narrateur de cette histoire. Les thèmes principaux de ce conte est la folie, le surnaturel et le double. La folie est surtout présente quand le narrateur nous fait un bilan de sa santé en disant « Ai-je perdu la raison « Je deviens fou. b, « je suis fou ! « je me croirais fou, absolument fou » mais aussi avec l’utilisation du champ lexical de la folie : « démence « hallucinations « troubles », « fantasmagories « délire Quant au surnaturel et au double, ils sont présents dans toute l’histoire.

Tout d’abord, on s’aperçoit de leur présence avec es choix lexicaux : « double vie mystérieuse « fantômes Y, « un être invisible », « manifestations extraordinaires », « des esprits rodeurs, des fées, des gnomes, des revenants », « invraise 2 manifestations extraordinaires », « des esprits rodeurs, des fées, des gnomes, des revenants « invraisemblables », « inexplicable h, « vision fantastique « les Invisibles », « race surnaturelle » « le Horla » qui sont nombreux, on remarque que le surnaturel, ici, est surtout marqué par l’invisible : ce qui n’est pas visible par l’homme.

Et le double est enfaite « un être étranger, Inconnaissable et invisible qui est l’opposé de l’auteur, il se sent menacé par ce double qui prend possession de lui, il a pour seul issue : la mort, sa mort. Le monstrueux ici se manifeste par l’indescriptible de cet être invisible. Le narrateur ne sait pas comment décrire cet être à la fois surprenant et terrifiant.

Il ne décrit que ses membres sans le décrire en entier : « un être invisible « une main invisible », « un bras en la portant vers une bouche, et elle resta suspendu dans l’ai « qui se nourrit de lait et d’eau, qui peut toucher aux choses, les prendre et les changer de place, doué par conséquent d’une nature matérielle, bien qu’imperceptible pour nos sens, et qui habite comme moi, sous mon toit « une page du livre resté ouvert sur la table venait de tourner toute seule » nature est plus parfaite, son corps plus fin et plus fini que le nôtre « dans une brume comme à travers une nappe d’eau « une sorte de transparence opaque, s’éclaircissant peu à peu », « un corps imperceptible » ce qui laisse du suspense au lecteur qui ne peut pas s’imaginer le Horla.