LES IONS MATHS

verbe (éval « aller »[1 physicien britanniqu or 3 chimiques responsab • Sv. ivx to nextÇEge solutions. Faraday vo les solutions d’élect LES IONS MATHS Premium gy damathebig vapTa 30, 2015 3 pages Un ion est une espèce chimique électriquement chargée – atome ou groupes d’atomes – qui a gagné (ou perdu) un ou plusieurs électrons . Un ion n’est donc pas électriquement neutre. La valeur de la charge électrique est indiquée en exposant à la fin de la formule chimique de l’ion, en multiple de la charge électrique ?lémentaire e.

Le mot « ion » a été formé en 1834 par le physicien anglais Michael Faraday par emprunt au grec ancien iév (ion), se traduisant par « allant, qui va participe présent neutre du Swipe Lo nexL page nné, en 1834, par le ésigner les espèces ctrique dans les rt du courant dans rt d’abord à désigner les espèces chimiques migratrices vers l’anode ou la cathode d’une pile ou d’une batterie : il provient simplement du grec iôn, participe présent du verbe ienai, aller. L’Académie des sciences ‘enregistre dans la langue française en 1842.

Faraday pense que la décomposition ionique est provoquée par le courant électrique. Mais les études ultérieures au voisinage des électrodes mon montrent des difficultés, en particulier pour comprendre l’apparition des produits de l’electrolyse aux électrodes. Pour garder une cohérence à la théorie, il faut se résoudre à affirmer que les ions apparaissent simplement, Io sque les sels se dissolvent naturellement dans des phases liquides et sont onc présents, anterieurement à toute excitation électrique ou application d’un champ électrique conséquent.

L’explication de la dissolution des sels est longtemps restée une énigme : ce sont les physiciens et chimistes pionniers en électrochimie qui, étudiant la conductibilité électrique des solutions, ont soupçonné une possible voie de recherche. Grotthus, Clausius, Hittorf, Plancke, Ostwald, Arrhenius sont des partisans de la théorie de l’ionisation en solution. Dès 1853, Hittorf étudie les variations de concentrations au oisinage des électrodes.

Il en conclut que les ions d’une solution migrent avec des vitesses différentes vers les électrodes. Il caractérise les ions par un nombre de transport et affirme que la conductivité est fonction de la réactivité chimique. Clausius démontre en 1857 la validité de la loi d’Ohm pour la solution d’électrolytes et postule l’existence d’ions libres avant toute application du champ électrique. Kohlrausch étudiant les électrolytes forts (entierement dissociés) démontr