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TE3: Corpus : Dans ce corpus, nous allons étudier les poèmes « Demain dés l’aube…  » de Victor HUGO, « Si je mourais là-bas…  » de Guillaume APOLLINAIRE et « derniers vers, 1586. Je n’ai plus que les os…  » de p. de RONSARD. Nous comparerons la situation d’énoncition de ces trois poèmes dans le but de savoir en quoi la mort concerne- t-elle chacun des locuteurs. On commencera par le poème d’APOLLINAlRE et de RONSARD puis on développera le fait qu’HUGO se démarque des autres.

Tout d’abord, on pe co deux premiers poèm de deux textes des cha celui de la mort, avec ommuns entre les n remarque dans ces t marqués comme it », et « meurt » et celui de la guerre, avec « le front de l’arm e » et « un obus », dans le second. On a ensuite le champs lexical de la décomposition dans le poème de RONSARD avec, « les os », « un squelette », et « décharné, dénervé, démusclé, dépoulpé ». Dans le premier texte, l’auteur utilise le pronon personnel « je ».

On comprend alors que le ujet du poème le concerne. Dans l’oeuvre d’APOLLlNAlRE, la première personne du singulier n’est utilisée qu’une page qu’une seule fois, dans le premier vers, mais le sujet du poème concerne bien l’auteur. Ensuite, on peut distinguer l’oeuvre d’HUGO par rapport au deux autres. En effet, dans ce poème, on ne retrouve pas le champs lexical de la mort. En revanche, on trouve à l’inverse un champ lexical plus joyeux, celui de la nature, avec « la campagne », « la forêt » et « la montagne ».

Dans ce poème, l’auteur personnifie la mort. Il explique en fait qu’il ne peut pas l’éviter car il dit, « tu m’attend » et « je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps ». On remarque aussi que tout comme RONSARD, HUGO utilise la première personne du singulier, « je partirai », « je sais », ou encore « J’irai ». L’auteur, nous montre qu’il incarne l’acteur principale dans son poeme. On peut donc conclure que chacun de ces poèmes à pour point commun l’utilisation du pronon personnel « je », qui incarne l’auteur.

On peut aussi dire que dans tous poèmes, on retrouve l’idée de mort de deux façon différentes. HUGO personnifie cette derniere mais n’est pas directement concerné par la mort. Quand à APOLLINAIRE et RONSARD, ils utilisent le champs lexical de la mort et sont directement concernés par celle-ci. PAG » OF d celle-ci. Commentaire . Dans ce commentaire, nous étudierons le poème « Si je mourais là-bas…  » de Guillaume APOLLINAIRE composé en janvier 1915. Nous allons étudier la faco r pressent sa mort et le PAGF3CFd