Explication De Texte Alain Propos Sur Le Bonheur Agir

TEIXEIRA Anthony TS2 pour le 22/01/2015 Philosophie – Explication de texte or 19 d Pour la plupart des d’atteindre un jour o actes. Le sujet mettr omme et eur de part ses on côté afin dy arriver. Mais le cheminement pour atteindre ce plaisir diffère selon les pensées. Une question peut ici se poser, l’homme peut-il éprouver du bonheur en recevant ce qu’il désire en « cadeau » et sans s’être efforcer à aller vers ce qu’il recherchait ?

Cest en s’appuyant sur un texte intitulé « Agir » extrait du Propos sur le bonheur écrit par Alain et publié le 3 avril 191 1, que ous allons tenter de répondre à cette question. Nous expliquerons ce texte en le décomposant en trois parties suivant la linéarité du texte. Nous constaterons que le plaisir réside dans la peine de la ligne 1 à 8. Cependant, cette peine ne doit pas être subie, il faut la désirer, ligne 8 à 16. C’est en constatant cela que nous nous rendrons compte que tout doit venir de soi-même, ligne 16 jusqu’à la fin. xception. Il prend trois exemples de sportifs : il commence par les coureurs, étant le sport le plus facile à pratiquer, car il suffit de mettre ses jambes en mouvement et l’on fait cela ès le plus jeune âge. Ensuite, il parle des sports de ballon pouvant regrouper des centaines de sport différents, pouvant aller du football connu de tous jusqu’au horse-ball que seuls les passionnés de chevaux connaîtrons. Et il finit par nous parler des boxeurs triomphant de leur puissance.

Bien évidemment, tout le monde ayant déjà pratiqué un certain sport, on se sent donc directement concerner par ce début de texte. Mais ces trois phrases, Alain les finit par « se donnent bien de la peine or pour la plupart d’entre nous, faire du sport consiste à se divertir et simplement s’amuser. Mais c’est vrai que si nous nous intéressons aux sportifs de haut niveau, on peut souvent les voir souffrir de part leur hargne qu’ils ont à vaincre l’adversaire ou ? vaincre seulement ses limites physiques ou mentales.

Il nous fait encore appel à la ligne 2, en commençant par « on » pour rester dans la généralité et que l’on reste attentif à ce qui va suivre. II nous dit que l’on sait tous que tous les hommes recherchent le plaisir ou plutôt qu’on le lit, qui ferait référence aux philosophes tels que Épicure et autres hédonistes qui ont écrit sur le plaisir de l’homme comme seul but de la vie. Cecl correspondrait à la thèse que l’on connaît tous et plaisir de l’homme comme seul but de la vie. Ceci correspondrait à la thèse que l’on connait tous et qu’il commence à exposer pour ensuite réagir et la réfuter.

Il n’attend pas la fin de la phrase pour arrêter cette pensée et commencer à exprimer la sienne en disant que le but de l’homme ne peut pas être seulement celui, que toute l’humanité n’a pas la même envie. Cest comme cela qu’il introduit sa pensée à la ligne 3 en nous disant qu’il serait possible que le plaisir ne soit que secondaire et que la quête principale de l’homme serait la peine, ar certes il veut atteindre un certain plaisir, mais pour y arriver il donne toute sa peine donc cela serait plus évident de dire qu’il recherche la peine.

Et ce n’est pas la seule chose qu’il nous apprend sur la peine, selon lui, l’homme aime cette peine alors que pour autrui la peine ne peut pas être aimée, car elle est de nature douloureuse, il contre totalement l’opinion générale sans qu’il ait, pour l’instant, d’arguments fondés en accord avec certaines des théories de ses prédécesseurs. Cest pour cela qu’? la phrase suivante il introduit le vieux Diogène en le citant : « ce u’il y a de meilleur c’est la peine D, ligne 4-5.

Selon Diogène de Synope, il n’y avait rien de meilleur que la peine et seule la peine était une bonne chose pour l’homme, c’est-à-dire qu’il ne voyait rien de meilleur que la peine, chaque but que l’on se fixe nécessite ce passage par la pein de meilleur que la peine, chaque but que l’on se fixe nécessite ce passage par la peine, c’est elle qui guide nos vies.

Alain explique à sa manière cette citation de Diogène, mais pas de n’importe quelle manière, il réutillse le pronom « on » pour nous refaire intégrer le texte, car tout le monde ne connaît pas forcément Diogène. Il dit que la peine permet d’arriver à n’importe quel plaisir, c’est-à-dire que si l’homme veut atteindre un plaisir quelconque, il n’aura pas d’autres issues que la peine.

C’est un passage obligé dans la vie de l’homme et selon la manière de penser d’Alain, c’est la peine que l’on recherche directement et non le plaisir, il n’est plus primordial comme le pense les hédonistes. Cependant, il va nuancer ces propos, en disant que ce qui vient de déclarer c’est « jouer sur les mots » ; il n’utilise pas ce verbe par hasard, il nous renvoie au début du texte, il a voulu que lion e rappelle que les joueurs font bien aussi partie des hommes dont il parle et que ces derniers sont concernés eux aussi dans cette recherche de la peine.

Justement c’est cela qu’il veut modifier, il pense qu’il y a un amalgame entre le plaisir et le bonheur, ce plaisir dont on parle depuis le début, il y a nécessité de le remplacer par le bonheur. Pour nous, ces deux termes peuvent se confondre et ainsi, ce ne serait pas quelque chose de renversant de changer plaisir en bonheur. Mais Alain n’est pas du tout de cet avis, il quelque chose de renversant de changer plaisir en bonheur. Mais

Alain n’est pas du tout de cet avis, il affirme ce sont deux choses totalement différentes, ce qu’il fait bien comprendre en répétant deux f01S le fait que plaisir et bonheur soient très différentes. Il arrive même à comparer cette différence à celle entre liberté et esclavage faisant un écart immense entre plaisir et bonheur, un écart justement non perçu par tout le monde. La thèse qu’il voulait modifier, Alain est en train de la modifier entièrement, on rentre maintenant dans la thèse qu’il propose avec tous les arguments en sa faveur.

A la fin de ce premier moment on sait out à fait où Alain veut en venir et nous sommes prêts à rentrer entièrement dans sa pensée et voir si oui ou non, sa thèse proposée peut rivaliser avec la pensée de l’homme avant ce texte. Afin de captiver le lecteur, Alain va approfondir sa thèse en disant que l’on veut agir et non subir, il reprend sa construction classique de généralisation et fait une phrase très claire avec un message précis et aucune possibilité de pouvoir dériver et penser à une certaine alternative.

Il nous met directement au courant du sujet de sa deuxième partie d’explication dès la première phrase ?tant une phrase très simple à comprendre, l’homme veut arriver à la peine en le chosissant, en décidant de ce qui va lui arriver, car il a un but précis, il ne veut pas être à la merci de ce qui se pass PAGF s OF lg va lui arriver, car il a un but précis, il ne veut pas être à la merci de ce qui se passe et ne veut pas non plus être submergé par les événements qui le feraient sombrer dans une peine non voulue et dont on ne peut pas se détacher.

Il nous reparle ensuite de « tous ces hommes qui se donnent tant de peine » faisant un rappel sur les sportifs qui donnent tout ce qu’ils ont pour arriver ? leur but. Mais il ne parle pas seulement d’eux, il parle de nous aussi lecteurs, il faut se sentir concernés, car personne n’a passé une vie sans peine, car à chaque choix que nous faisons, il y a de la peine de ne pas avoir fait l’inverse. Alain pense que les gens se donnant de la peine n’aiment peut-être pas le travail forcé, ce que nous comprenons facilement et que nous pouvons acquiescer.

Il généralise à tout le peuple en disant que « personne » n’aime ce travail forcé, or, en disant cela, il enlève le doute laissé juste avant avec le « sans doute » ligne 9. Il reprend la même forme e construction en commençant ces trois parties de phrases par « personne étant chacune séparée par un point virgule signifiant que chaque morceau de phrase a une signification lien avec les deux autres morceaux. Ce lien consiste à dire que l’homme n’aime pas être obligé à faire une action, un travail, il ne peut pas vivre sous le joug d’un tiers, il veut être libre et n’aime pas être oppressé.

Il ne veut pas être contraint à vivre dans une peine qui être libre et n’aime pas être oppressé. Il ne veut pas être contraint à vivre dans une peine qui, de son point de vue, n’a ucune issue positive, car il doit faire quelque chose qu’il ne veut pas et dont il ne tirera aucun avantage à le falre. Cest à qu’il fait bien la différence entre subir et agir, car, si l’homme décide de sa propre initiative daller dans la peine, il aura lui-même envie de faire ce travail ou cette action dans la peine, car il sait où elle le mènera et il sait que, une fois ce but atteint, il sera comblé.

C’est-à-dire qu’il ne rentrera pas dans la peine sans le vouloir et il sait exactement ce qu’il devra faire pour y rester le moins possible, il sait que c’est pour lui une bonne chose, que le ésultat sera bénéfique s’il fait ce qu’il faut, il atteindra un bonheur que tout le monde désire et il sera ainsi heureux d’être passé par cette peine pour en arriver là où il est, car c’est à qu’il voulait être. our cela, Alain utilise le pronom « je » pour bien montrer que c’est sa propre pensée et que c’est une pensée nouvelle. Ensuite, à la fin de la ligne 10, Alain écrit une phrase très courte servant de transition à ce qu’il va ensuite nous expliquer, il reprend le pronom « je » pour encore insister sur le fait que ce qu’il dit vient de lui et seulement de lui.

Il dit qu’il va réagir à ce qu’il vient d’affirmer juste avant et donc nous l’expliquer en prenant un exemple pouvant être perçu de tous d’affirmer juste avant et donc nous l’expliquer en prenant un exemple pouvant être perçu de tous. II prend celui de l’écrivain, un exemple qu’il connaît très bien car tout philosophe doit tout de même avor un certain talent épistolaire pour pouvoir exprimer des thèses relevant d’années de réflexion en un texte structuré et compréhensible de tous.

Les écrivains vivant de leur plume, c’est-à-dire les écrivains ayant comme seule rémunération a recette de leurs ouvrages, disent que cela nécessite beaucoup de peine, car si un ouvrage ne plait pas et ne suscite aucune vente et renommée, le temps utilisé pour l’écrire aurait pu être passé à faire quelque chose de plus intéressant. Mais rétorque cela en affirmant que l’écrivain décide lui-même d’écrire et de vivre de sa passion si s’en est une, car, personne ne le force ? écrire, personne ne le force à vivre que de son travail.

L’écrivain est libre décrire et de vouloir publier ou non ses écrits, il n’y a pas quelqu’un au-dessus de lui à l’obliger à écrire des choses dont il e veut pas parler, il est libre de parler de ce dont il a envie sans que personne ne vienne le déranger. Et justement, au contraire, ce travail qu’il fournit est, certes, une peine mais c’est une peine voulue, l’écrivain à décider de se lancer dans son écriture pour pouvoir atteindre un plaisir lorsque son travail sera achevé.

Alain nous redit que cela amène un plaislr ou plutôt un bonheur, faisant travail sera achevé. Alain nous redit que cela amène un plaisir ou plutôt un bonheur, faisant un retour sur la ligne 6, car, véridiquement, l’écrivain est heureux lorsqu’il finit son œuvre, car uand on se donne de la peine, on est ressort content. Ce n’est pas le seul exemple qu’il nous donne pour expliquer la relation entre agir et subir, il a décidé de reprendre un des exemples énoncés au début du texte, le boxeur.

Ligne 15, Alain fait une opposition entre les coups reçus et les coups donnés. Il nous explique que le boxeur n’aime pas les coups venant de l’adversaire, car, ils ne sont pas voulus et en l’atteignant, l’adversaire l’oblige à avoir mal et donc, à être dans la peine de devoir souffrir, il ne peut pas faire autrement. Cest pour cela qu’il va tout faire pour ne pas prendre ces coups et ainsi éviter la ouleur pour pouvoir rester le plus longtemps possible debout, face à son adversaire et lui tenir tête.

En revanche, les coups donnés sont un plaisir pour le boxeur, car ce sont ceux-là qui vont mettre l’adversaire dans une mauvaise passe et vont ainsi permettre au boxeur de prendre l’avantage. Suite à cela, Alain nous dit qu’une victoire difficile signifie gagner dans la peine, or, nous avons vu que la peine était un passage obligé si nous voulions arriver à un bonheur. Justement si un combat est désavantageux, par exemple si le boxeur à un avantage énorme sur son adversaire, alors il va gagner, certes, mai PAGF lg