TAG Partie 2 PAPIN NRC1

PAPIN ARNAUD BTS NRC FI 26/03/2015 Selon vous, les tags et les graffitis relèvent-ils de l’art ? Les graffitis sont des inscriptions ou des peintures réalisés sur des murs, façades ou monuments dans les espaces publics. Ainsi, les graffitis existent depuis longtemps dont certains exemples subsistent depuis la Rome antique. Ces « dessins » relèvent d’un support de communication ou de libération par leurs auteurs appelés « graffeurs Beaucoup s’y emploient à faire de leurs graffitis une œuvre parfaite.

En découle le TAG, signature de l’auteur. Mais le ta verrons dans un pre leurs auteurs et si il r ve par cet engouement apportées par ces ré or 4 de Fart ? Nous graffiti, un tag et actions suscitées nfin, les solutions L’art n’a pas de définition ni de concept propre car ceux-ci varient grandement selon les époques et les lieux et n’est pas universellement acceptées. Mais il est évident qu’il en découle d’une activité humaine et est lié aux sens, aux émotions, ? l’intellect et surtout aux intuitions.

Ainsi, le graffiti et le tag restent le fruit de l’expression et de l’imagination de l’homme. Le tag est la trace du passage de l’homme d page dans le temps. Comme l’explique J. Rémy, le tag est une signature où le geste copieusement répétée recherche la perfection, telle une fugue. Le tag, de par sa forme diverse représente la sgnature de la multitude d’individus qui « taguent » les façades. Ces graffitis incompréhensibles pour une grande majorité de personnes si ce n’est par les « graffeurs » eux-mêmes.

De formes calligraphiées ? caractère entre l’arabe et le gothique en passant par l’impression de hiéroglyphes, le tag se veut voyant. Comme le souligne O. Hahn, leurs auteurs par la notion de notoriété veulent s’imposer dans leur quartier respectif ou chevaucher celle des autres. Bien que rapproche de clan et de domaine se confronte aux tags et à leurs « graffeurs ceux-ci se voient aussi approcher par des commissaires-priseurs. Alors les tags se multiplient dans les villes à vitesse exponentielles.

Les « graffeurs » motivés par l’ « existence » de leur notoriété auprès de cette communauté veulent aussi se démarquer. Ainsi O. Hahn explique que certains auteurs ont su se faire remarquer par leurs graffitis ou tags marquant et sont maintenant exposé dans des galeries et leurs œuvres vendues ? des prix plus qu’acceptables. Non sans mal, la naissance du street art se révele. Qualifié tant par un moyen de communication libre, que par le geste d’une expression libre et souveraine, les gr PAG » OF d