TABLE DES MATIERES l- CHOIX DIJ SUJET 1 ll- FORMULATION DU PROBLEME DE RECHECHE2 III-POSE DES HYPOTHESES DE TRAVAIL 2 IV. CONSTRUCTION DU CADRE OPERATOIRE 3 V- CHOIX DE LA STRATÉGIE DE VÉRIFICATION DE L’HYPOTHESE DE TRAVAIL 4 VI- CHOIX D’UN INSTRUMENT DE COLLECTE DE L’INFORMATION 4 VII- DESCRIPTION DU VIII-ENONCIATION D IX-PRESENTATION DE l- CHOIX DU SUJET orl to nextÇEge EES 5 IPEES5 CATIVE 6 La problématique de la petite et moyenne entreprise (PME) est une préoccupation propre à tous les Etats du monde.
Selon de nombreuses études menées par de nombreux chercheurs, le problème majeur de ces entités est le financement. C’est le point de vue soulevé par Jean Marc SURET et Laurence ARNOUXI qui soutiennent que le manque de fonds propres des PME constitue une contrainte majeure à leur développement. Selon l’Institut à jouer dans le processus de financement des PME puisque c’est le principal apporteur de liquidités à l’économie. De plus, la participation de la banque au financement est soumise à des obllgatlons (garanties, surface financière… que la PME a du mal à respecter. Ce qui limite de fait l’action du financement bancaire classique. D’autres sources de financement doivent être explorées : le crédit bail et le capital-risque. Cest sur ce dernier point que nous axerons notre travail. Selon MASSOL3, « le capital- risque est toute activité d’investissement en fonds propres, minoritaires et temporaires dans des entreprises non cotées en bourse dans le but d’en dégager ultérieurement des profit lors de la revente des participations.
L’intérêt de mettre en relation ce mode de financement et la PME trouve son sens dans le fait qu’il s’agit d’une nouvelle piste que ces entreprises pourront explorés dans le cadre d’un financement autre que le classique. Il intervient également à la suite de précédents travaux ayant raités du sujet. ll- FORMULATION DU PROBLEME DE RECHECHE Du capital risque, PIERRE BATTIN14 ressort quelques caractéristiques propres. Il s’agit notamment d’un financement en vrais fonds propres, de concours financiers sans garanties, des prises de participations minoritaires et pour une durée limitée.
Le tout assortie de conseils en management, en investissement ou en stratégie de développement… ll en ressort donc le capital risque allie à l’apport des capitaux permanents, une assistance à la gestion et à l’apprentissage de la bonne gouvernance. Les avantages pour les PME faisant PAG » rif 7 ssistance à la gestion et à l’apprentissage de la bonne gouvernance. Les avantages pour les PME faisant recours à ce type de financement est donc perceptible car il est possible de bénéficier d’une injection de fonds sans fournir une garantie.
Au Cameroun, les PME constituent donc une demande potentielle. pour ce qui est de l’offre en service de capital-risque, elle est l’apanage de plusieurs organismes qui offrent de nombreuses opportunités dans le cadre du financement des PME… Mais quand on se rend compte de la faible proportion d’entreprises financés par le biais du capital — risque et d’une part négligeable u capital risque dans le financement des PME. On peut se demander quelles sont les raisons de cet état de fait. Ces raisons peuvent être liées à l’aspect réglementaire, institutionnel, environnemental.
Mais dans le cadre de ce travail nous nous limiterons à la relation organisme de capital risque – petite et moyenne entreprise en se demandant quelles sont les différentes modalités propres aux PME d’une part et aux sociétés de capital- risque d’autre part, qui conditionnent la participation financière du capital risqueur et pouvant expliquer le faible développement de ce type de financement ? Ill- POSE DES HYPOTHESES DE TRAVAIL De ce problème, nous en venons à l’énonciation de quelques hypothèses sensées être soumises à vérification.
Il s’agit de • Les projets de création ou de développement des PME portés aux organismes de capital risque ne sont pas assez viables ; La non conformité (juridique, comptable,… ) des PME face aux conditions de financement que PAGF3C,F7 conformité (juridique, comptable,… ) des PME face aux conditions de financement que pose le capital-risqueur Les promoteurs de PME ne sont pas disposés à accueillir dans leur affaire de nouveaux actionnaires ou gestionnalres ; Les promoteurs de PME ont une connaissance moindre de ce qu’est le financement par le capital risque.
IV- CONSTRUCTION DU CADRE OPERATOIRE Pour mener à bien cette recherche, il est important de spécifier des variables et des indicateurs : Les variables choisies sont : Variable dépendante : Décision de partenariat entre les parties. Il peut s’agir d’un refus ou d’un accord du fait de la PME ou du fait de l’organisme de capital risque. Variable indépendante : Besoins de la PME, conditions de financement posé par le capital-risque (rentabilité du projet, qualité du promoteur), aptitude du promoteur à laisser s’immiscer ans sa gestion un organisme étranger.
Le but sera de créer un pont entre ces variables et la variable dépendante. Les indicateurs sont : Le taux interne de rentabilité (TIR) des projets étudiés. Il est traditionnellement un élément majeur de la décision de financement des entreprises de capital risque qui souhaitent déterminer la rentabilité attendue d’un projet au regard des sommes à mettre en jeu dans telle ou telle affaire. Si sur 50 dossiers étudiés, les accords concernent uniquement les projets pour lesquels le TIR est supérieur ou égal à 25 %, on peut déduire e l’importance de ce critère dans la décision de financement.
Les informations sur les promoteurs : Il s’agit ici d’un aspect plus qualitatif. En fonction des informations les promoteurs : Il s’agit ici d’un aspect plus qualitatif. En fonction des informations recueillies auprès des promoteurs, il sera aisé d’avoir une idée sur sa moralité et sur son capacité à laisser un organisme étranger à s’immiscer dans son affaire. Les données comptables de la PME : Les analyses financières effectuées sur les données comptables de la PME sont susceptibles d’influencer sa décision de financement de la PME.
Une bonne situation financière pourrait supposer un accord de financement et une mauvaise situation impliquerait un rejet du dossier. V- CHOIX DE LA STRATEGIE DE VERIFICATION DE L’HYPOTHESE DE TRAVAIL pour vérifier les hypothèses énoncées, la stratégie que nous pensons la plus adéquate nous semble être l’étude de cas. Cette étude de cas sera faite sur l’organisme de capital risque dénommé CENAINVEST, qui est la plus réputé au Cameroun.
Le but étant de pouvoir étudier les techniques de gestion de risque de cette entité en ce qui concerne les entreprises en général et les PME en particulier. Nous pensons qu’un stage de 4 mois au sein de cette instltution serait suffisant. Vu que notre travail de recherche intègre également un aspect concernant les PME dans leur relation sociologique avec le capital risque, il serait opportun d’opérer des descentes auprès de 10 PME pour pouvoir ainsi interroger les promoteurs et recueillir leur avis sur ce type de financement.
Une période de 2 mois sera nécessaire pour cette tâche. VI- CHOIX D’UN INSTRUMENT DE COLLECTE DE L’INFORMATION pour collecter l’Information, nous utiliserons comme instruments : L’observation documenta L’INFORMATION Pour collecter l’information, nous utiliserons comme instruments . L’observation documentaire : Il s’agit d’un outil privllégié de collecte de l’information de nature quantitative. En effet, à travers la consultation d’ouvrages sur la banque, le capital risque et les PME, nous aurons la possibilité d’un peu mieux cerner le sujet.
Il faudrait également se procurer les rapports d’activités de CENAINVEST pour déterminer leur impact sur Factivité des PME. L’entrevue : C’est un moyen de collecte de l’information de nature qualitative aussi bien auprès des acteurs présents en entreprise (dirigeants, personnel) que des promoteurs. L’observation directe • Dans le cadre de notre stage, nous pourrons extraire des renseignements pertinents à la recherche. Ce sera certainement le cas lors des entretiens entre les chargés d’étude et les promoteurs ; et même lors des réunions pour décider d’un accord ou d’un rejet d’un financement sollicité.
VII- DESCRIPTION DU TRAITEMENT DES DONNÉES Pour décrire les données, après leur classification, nous opérerons par deux types d’analyse. L’analyse qualitative : Elle consistera à une analyse du contenu des informations fournies par les promoteurs et la société de capital risque. Le but étant d’établir une correspondance avec la perception du phénomène et la situation réelle L’analyse statistique : A l’aide de modèles économétriques, les données quantitatives recueillis pourront être formalisees en relation mathématiques en relation mathématiques entre les variables indépendantes et le variable dépendante.
VIII- ENONCIATION DES C entre les variables indépendantes et le variable dépendante. VIII- ENONCIATION DES CONCLUSIONS ANTICIPEES Les conclusions anticipées compte tenu des hypothèses que nous avons énoncées pourraient être . L’analyse du risque d’investissement telle qu’elle est pratiquée ans les organismes de capital risque est particulière et exclut de fait les PME avec un projet de développement ou de création dont le taux interne de rentabilité est inférieur à 25%.
Il est difficile pour un promoteur d’une PME de perdre une partie des pouvoirs au sein de son affaire pour les transmettre à une autre entité. pour mener à bien un investissement et dans la recherche de financement, les promoteurs privilégient l’aide familiale ou le financement bancaire qu’ils jugent plus opportun et plus accessible. Les promoteurs des PME ne disposent pas d’informations sur e qu’est le capital-risque et les opportunités que ce mode de financement leur offre.
Il y a très peu de conformité entre les conditions de financement des organismes de capital risque et les méthodes de gestion de pME. IX- PRESENTATION DE LA BIBLIOGRAPHIE INDICATIVE Ouvrages BAITINI, Pierre (2001). Le capital risque : mode d’emploi, 1ère édition, Editions d’organisation, Paris. MASSOLJ. L, (1996) Présentation du capital – investment, 1 ère édition, ANCE, Paris, Articles SURET Jean Marc, ARNOUX Laurence « Origines, formes et importance du capital de ri PAGF3CF7 n survol international» in