Rapport De Stage Astaoui Med

A ALLAH qui est la source de ce que nous sommes aujourd’hui et serons demain. Et puis au terme de ce travail, je tiens à remercier : Monsieur Hammani AMAHZOUNE qui m’a permis d’entrer ? CRYSTAL MRTIN MAROC pour réaliser mon projet de fin d’étude. Messieurs Rachid BELKACEM et Mohammed OTMANI qui ont été toujours disponibles pour m’aider, pour tout le temps qu’ils m’on consacré, je leur suis très reconnaissant pour tous les conseils judicieux qu’ils m’ont prodigués. Je ne saurai enfin terminer, sans remercier tous ceux qui ont contribué à la progression et à l’achèvement de mon travail. PRESENTATION DE 1. présentation 2.

Fiche technique 3. Organigramme de or20 Sni* to View 4. Les matières premi res: 8 a) Tissu b) Accessoires :8 5. Les principaux produits a) Leisurewear: (les vêtements de loisir). 9 b) Sportswear: (les vêtements de sport). 9 c) Mght wear: (les chemises de nuit). 10 d) Dresses : 10 e) Soutien-gorge : IO f) culottes : 6. Le circuit matière : 12 Chapitrel : CALCUL DU COUT MINUTE DE LA SOCIETE 13 1. Introduction à la comptabilité analytique : 14 a) Définition et objectifs : 14 b) Relation entre comptabilité analytique et comptabilité coût minute : 18 ) Méthode des coûts complets ou de sections analytiques • . 8 i- Définition de la méthode des coûts complets : 18 ii- Définition des charges directes et charges indirectes : 19 iii- Définition des coûts fixes et coûts variables : 20 iv- Définition de la section analytique : 20 v- Définition de l’unité d’œuvre : 21 vi- Détermination de l’unité d’œuvre : 22 vii- Calcul de l’unité d’œuvre : 23 c) Calcul du coût minute de présence de la main d’œuvre directe : 24 i- Coût minute total de la société :24 ii- Coût minute de la production : 25 4. Calcul du coût façon . 7 ) Les notions du temps et du rendement : i- Le temps alloué : 27 ii- Le temps produit :27 iii- Le rendement technique : 27 b) Calcul du coût façon : 28 27 c) Exemple d’application sur le style 287611 : 28 Chapitre 2 : PROCEDURE DE CALCUL DES PRIX DE REVIENT 29 1. Définitions : 30 a) prix b) p ix de revient : 30 i- Définition ii- Finalité du prix de revient:30 Prix de vente : 31 c) 2. Calcul du prix de revient : 32 a) La nomenclature d’un article : 32 i- Définition générale : 32 ii- Exemple de nomenclature :32 b) Les composants du prix de revient : 34 Le style 3523-T43 (T-shirt) : 34

Le style 208481 (SliP) : 34 Le style 204-T81 : 35 c) Comment calculer le pri ‘un article : 36 b) La méthode proposée :39 i- Tableau des rendements techniques : 40 ii- Exemple d’application : style 3523-T43 (T-shirt) 40 iii- La procédure proposée pour le calcul du prix de revient iv- Fiche de calcul de prix de revient prévisionnel : 42 4. Méthode proposée pour calcul du prix de revient réel : 43 a) Mesure des écarts : 43 b) La procédure proposée :44 Fiche de calcul : 44 Conclusion : 45 Annexes 46 PRESENTATION DE LA SOCIETE . Présentation Crystal Martin Maroc Ltd est un membre du Groupe Crystal 2ème plus grand fabricant de textile en Asie) dont la date de fondation remonte à 1970. Crystal Martin Maroc a été fondée en 2005. Bien qu’il vient d’être créée, Crystal Martin Maroc s’est bien développee et se développe avec succès grâce a la longue et profonde expérience du bien réputé Crystal Group. Crystal Martin Maroc Ltd a également bénéficié d’une bonne équipe de gestion composée d’éléments qualifiés et expérimentés qui sont pleins d’énergie et d’ambition.

Son actuel directeur général est Monsieur Hammani AMAHZOIJNE qui a pris la responsabilité depuis la fondation de ‘entreprise. Crystal Martin Maroc a réalisé un grand succès. En effet la capacité de production a répondu ; continuellement à l’évolution des exigences des clients en ce qui concerne le volume de vêtements, le chiffre d’affaires progresse et attire de plus en plus de clients de différentes nationalités. La société fabrique une gamme de différents articles qui touche la lingerie (soutiens-gorge, strings, shorts et camisole, etc. ; les vêtements de loisir (T-shirts) et les vêtements de sport. Le personnel form OF camisole, etc. ); les vêtements de loisir (T-shirts) et les vêtements de sport. Le personnel formé et qualifié est employé pour surveiller le processus de réception et d’achat de matières premières, il contrôle la conformité de la qualité avant d’être introduits dans la coupe, la préparation au montage, le montage et l’emballage, et enfin la livraison des produits finis aux clients. L’entreprise fonctionne à partir d’une unité moderne à Salé au Maroc.

Il est basé sur la côte Atlantique, à proximité de la gare Salé, ainsi que de l’autoroute menant à Tanger et il est près de l’aéroport international de Rabat – Salé. .2 Fiche technique : . 3 Organigramme de la société : 4 Les matières premières : )a Tissu : Maille fine, dentelle… )b Accessoires Fils à coudre, mousse, boutons, rouleaux de vignettes… .5 Les principaux produits : )a Leisurewear: (les vêtements de loisir). )b Sportswear: (les vêtements de sport). )c Night wear: (les chemises de nuit). )d Dresses : )e Soutien-gorge : )f Brief & Culottes : . Le circuit matière : Chapitrel : CALCUL DU C E LA SOCIETE offres (marketing) et leurs conséquences sur l’organisation (sous la co-responsabilité de la gestion de la qualité). » (Wikipedia) Relation entre comptabilité analytique et comptabilité énérale La comptabilité analytique complète la comptabilité générale, car si cette dernière est obligatoire, réglementée et n’offre qu’une vision du passé, la comptabilité analytique reste souple, appropriée et donne une vision du passé récent, du présent et même du futur.

Le passage à la comptabilité analytique consiste essentiellement à reclasser les charges et produits, classés par nature dans la comptabilité générale ces eléments doivent être reclassés selon leur champ d’application. De ce fait on ne va s’intéresser qu’au compte des charges et roduits et à la balance générale des comptes en cas de besoin pour plus de précision. 2 Analyse des charges de la société : )a Le modèle hiérarchique des coûts Comme toute société de production, à Crystal Martin Maroc on a une hiérarchie de coûts et le modèle hiérarchique des coûts est le suivant • )b Les différentes charges propres à la société Le compte charges et produits de la société est un documents de synthèse qui donne l’état financier annuel de la société en indiquant les charges et les produits. (Voir annexe : CPC) Après la clôture du bilan de l’an 2007 voici les charges qu’a upporté C.

M. M : )c La composition des charges de la société : Si on suit l’organigramme fonctionnel et hiérarchique de la société, et après l’analyse du compte des charges et des produits, on obtient le schéma de répartition suivant • PAGF s OF charges et des produits, on obtient le schéma de répartition . 3 Calcul du coût minute • )a Définition du coût minute : i- Définition du coût • « Dépense qu’un producteur doit faire en vue d’acquérir les ressources necessaires à la production de biens et de services.

Un coût est défini par les trois caractéristiques suivantes : e champ d’application du calcul : un moyen d’exploitation, un produit, un stade d’élaboration du produit,… ; le contenu : les charges retenues en totalité ou en partie pour une période déterminee; le moment de calcul : antérieur (coût préétabli) ou postérieur (coût constaté) à la période considérée. » (Cours de prix de revient industriel, Saïd SORDO. ) ii- Définition du coût minute « C’est le coût de revient de la minute de travail.

Ce coût représente les dépenses engagées ou à engager pour une saison ramenée à une minute. » (Cours de prix de revient industriel, Said SORDO. ) Méthode des coûts complets ou de sections analytiques : i- Définition de la méthode des coûts complets : « Déjà utilisée au XVIe siècle, la méthode des coûts complets consiste à calculer les coûts de production des produits (biens ou services) en répartissant les charges directes et indirectes de l’entreprise (celles qui peuvent être affectées directement ou indirectement à un centre de répartition).

A noter qu’il faut prendre garde d’exclure les frais de distribution qui ne sont pas du domaine de la production. Ajouter les coûts hors production au coût de production permet de trouver le coût de revient. La répartition des charges directes ne présente pas de difficultés trouver le coût de revient. La répartition des charges directes ne présente pas de difficultés, car elles peuvent être imputées directement aux produits. Les charges indirectes se répartissent dans des centres selon des clefs de répartition.

Ces clefs appelées unité d’oeuvre, qui sont en fait des rapports au produit, sont fixées plus ou moins arbitrairement. Il n’existe, en effet, pas de clefs pouvant être utilisées dans tous les cas. Une clef fréquemment utilisée pour répartir les charges indirectes des ateliers de production est ‘heure de main-d’œuvre directe (HMOD). La somme des charges réparties divisée par le nombre de produit permet de trouver le coût de production unitaire qui sert directement comme valeur à utiliser pour les stocks.

Ce coût permet en effet de déterminer le coût d’entrée par les méthodes CUMP (coût unitaire moyen pondéré) ou PEPS (premier entré premier sorti) par exemple nécessaires à la valorisation des stocks. Une limite de la méthode des coûts complets est l’emploi massif de la répartition des charges indirectes ce qui aboutie à des effets de subventionnements masquant des différences de rofitabilité entre produits. La fixation de ces clefs est le principal reproche fait à la méthode.

En effet, elle suppose que les charges indlrectes sont réparties de manière linéaire selon les produits ce qui n’est pas le cas lorsque les produits sont hétérogènes. Cette imprécision dans la méthode conduit à imputer plus de charges indirectes sur un produit et donc à alourdir son coût au profit d’un autre produit, selon le principe des vases communicants. Selon le choix 7 OF coût au profit d’un autre produit, selon le principe des vases communicants. Selon le choix de la clé de répartition, le résultat eut être parfois très différent et mener à des décisions erronées.

Cette imprécision est d’autant plus importante que la proportion des charges indirectes est très grande. Liutilisation de cette méthode gagne donc en pertinence lorsque le processus de production est stable, le personnel est peu polyvalent, les produits sont standards car la répartition des charges indirectes devient plus pertinente. » ii- Définition des charges directes et charges indirectes . « On appelle charges indirectes les charges qui concernent plusieurs produits (et parfols même tous les prodults) de ‘entreprise et qui sont réparties (ou « imputées ») entre ces produits à l’aide de clés de répartition.

Ce sont par exemple : Certains frais d’usine (bâtiment, entretien, assurances, etc. ), Les coûts des services généraux de l’entreprise (direction générale, direction de la recherche, direction commerciale, etc. ), Les campagnes publicitaires portant sur plusieurs produits de l’entreprise ou sur l’entreprise elle-même (publicité corporate). par contre, une charge est dite directe par rapport à un prodult lorsqu’elle participe sans ambiguïté à la fabrication de ce produit.

Parmi les charges directes, on a entre autres les matières premières et fournitures qui entrent en fabrication des produits et la main d’œuvre directe composée des frais de personnel résultant des travaux effectués sur un seul produit. Les charges directes d’un produit sont en général assez faciles ? 8 OF effectués sur un seul produit. Les charges directes d’un produit sont en général assez faciles à calculer et ne donnent pas lieu à contestation. En revanche, les charges indirectes doivent être réparties à l’aide de clés de répartition qui comportent toujours une part d’arbitraire. ?? iii- Définition des coûts fixes et coûts variables : Un coût fixe est un coût qui ne varie pas avec l’activité. Autrement dit, pour une entreprise, il s’agit des coûts qui restent constants lorsque le volume de production varie[l] Les coûts fixes incluent par exemple les frais d’électricité, d’assurance, mais peuvent aussi inclure les salaires ou d’autres coûts directs. A l’inverse, les coûts variables sont ceux qui changent avec le volume de production. La somme des coûts fixes et des coûts variables forme les coûts totaux. iv- Définition de la section analytique :

D’après le CGNC « la section est une division de l’unité comptable où sont analyses des éléments de charges indirectes préalablement à leur imputation aux coûts de produits intéressés. » Ces sections sont reparties en sections principales et sections auxiliaires : Sections principales : ce sont des sections dont les activités concourent directement aux 3 phases du cycle d’exploitation (approvisionnement, production, distribution). Sections auxiliaires : ce sont des sections dont Pactivité profite ? d’autres sections (qu’elles soient principales ou autres auxiliaires). – Définition de l’unité d’œuvre : ? es unités d’œuvres permettent en comptabilité analytique de répartir des charges indirectes en fonction de critères tel PAGF OF comptabilité analytique de répartir des charges indirectes en fonction de critères tel que le volume d’heures utilisé, le volume de chiffres d’affaires, le nombre de salarié… pour les imputer par la suite dans un calcul de coût de revient d’un bien ou d’un seraice. Ces unités d’œuvres ne sont utilisées pour répartir les charges indirectes qu’avec la méthode des centres d’analyse.

Dans le domaine de l’externalisation de services, les unités ‘œuvre permettent de valoriser et consolider un ensemble d’activités hétérogènes en fonction de leur valeur contributive (temps de traitement, valeur ajoutée). Chaque valeur d’unité d’œuvre multiplié par la volumétrie traitée permet d’établir un volume d’unite d’œuvre sur la base d’une unité consolidable. Il s’agit généralement de valoriser l’évolution d’une charge de travail sans indiquer la mise à disposition de moyens. Ceci permet de définir un engagement de résultat et de s’affranchir des risques liés au délit de marchandage.

L’établissement d’un pilotage ar unité d’œuvre permet d’établir un dialogue constructif entre un client et un prestataire sur l’évolution d’une activité de service, notamment dans le cadre de prestations facturées forfaitairement. Les unités d’œuvre permettent également de définir une capacité globale de traitement contractuelle indépendante de la répartition des flux traités. » vi- Détermination de l’unité d’œuvre . Pour calculer le temps alloué à la fabrication de chaque article (ou SMV pour une douzaine) le service des coûts se base sur des standards de temps (donnés par la maison mère) de chaque opérat