stage d’observation

Le Département Informatique : Un département dirigé par Mr najib AIT YOUSSEF et a pour principal rôle • la maintenance et le renouvellement du matériel et des logiciels informatiques. • la coordination de l’enseignement informatique avec l’ensemble des autres matières. • Conseille les étudiants dans l’utilisation des logiciels dans le cadre de travaux pratiques ou de projets personnels. Le Centre de Documentation et d’Information : Département dirigé • La mise à la disposi ouvrages récents da or 18 Sni* to View a pour rôle : riodiques et u Management. ?? Propose grand choix de th mes enregistr s sur bandes agnétiques, sur cassettes vidéo ou fichiers informatiques. • La formation sur les logiciels de documentation et de recherche comme le cas de cyberlibris Missions effectués Historique de l’enseignement supérieur au – Passage de l’enseignement supérieur à remploie – Ill-Répartition en % de l’effectif global des étudiants 2009-2010 par domaine d’étude – VI-L ‘enseignement supérieur privé Conclusion 2- Groupe ESIG Mot du président – Qui sommes-nous ?

La progression pédagogique est caractérisée par 4 préceptes REMERCIEMENTS Avant d’entamer le présent rapport de stage, je tiens à exprimer es sincères remerciements, à tous ceux qui ont contribué de près ou de loin à sa réalisation. Une gratitude particulière revient à Mme EL BOUAAMRI qui m’a encadrée, orienté et soutenue durant le déroulement de ce travail. Je remercie également . Mme BENKIRANE : Responsable relations entreprise 1er cycle.

Mme DEBARH : Responsable relations entreprises 2éme cycle. M. SAJID • Responsable de communication M. SALIH Mme HOUDA M. TOUMI 18 l’environnement de l’entreprise et nous rapprocher du milieu professionnel. Et vu l’importance du secteur de l’enseignement j’ai été amenée ? effectuer mon stage d’une durée de 4 semaines au cours du mois de juillet 2012au sein de l’école supérieur internationale de gestion.

J’ai eu a réalisé tout au long du stage des missions qui m’ont permis d’une part de comprendre le fonctionnement de l’école et d’autre part d’expérimenter la vie du personnel sous ses différents aspects. Présentation General du secteur de l’enseignement supérieur Au Maroc I-Historique de l’éducation su érieur au Maroc: PAGF 18 par l’éclosion d’un système d’enseignement du mouvement nationaliste.

Quelques établissements rattachés à l’Université e Bordeaux se sont ainsi crées comme le Centre des Etudes Juridiques en 1921 ; le Centre des Hautes Etudes Supérieures Scientifiques en 1940 et l’Institut des Hautes Etudes Marocaines. D’autres établissements ont vu le jour comme l’Ecole d’Agriculture de Meknès en 1945 et l’Ecole Marocaine d’Administration en 1948. A la veille de l’indépendance, le nombre des étudiants ? l’université ne dépassait guère 1700 étudiants, traduisant ainsi la modestie manifeste des infrastructures et des effectifs universitaires de l’époque.

Avec l’avènement de l’indépendance (période 1957-1960), face u grand besoin en cadres marocains, enseignants, médecins et ingénieurs, le Maroc a été confronté à plusieurs défis parmi lesquels la mise en place d’un système scolaire et universitaire national approprié. La politique nationale poursuivie dans ce secteur était fondée sur la généralisation, la marocanisation, l’arabisation, la décentralisation et l’unification de l’enseignement. La 1 ère université moderne du Maroc indépendant a vu le jour ? Rabat en 1957 ; c’est l’Université Mohammed V.

Elle a été créée pour répondre aux besoins pressants et prioritaires en matière de ormation des cadres notamment pour l’administration publique et l’enseignement Il-Passage de l’enseignement supérieur à ’emploi Depuis le début des années 90 200 000 diplômés de l’enseienement supérieur mble sont encore ? 8 chômeurs remonte en effet aux années 80. Le programme d’ajustement structurel mis au point à l’époque a eu un impact négatif sur le nombre de postes créés qui est passé de 28 000 ? 12 000 emplois par an depuis plus d’une décennie au niveau de l’administration.

Quant au secteur privé, qui emploie des actifs marocains tous niveaux compris ne crée plus que 200 000 mplois par an. Dès 1991 face à la crise des diplômés chômeurs, la création de l’Association des chômeurs s’est concrétisée ; elle compte aujourd’hui 120 sections à travers le pays. Plusieurs programmes d’insertion des jeunes ont vu le jour. Ensuite, l’Etat a mis en place le Conseil Natlonal de la Jeunesse et de l’Avenir (CNJA) où sont représentés l’ensemble des acteurs économiques du pays, et qui avait pour charge de trouver des solutions à cet épineux problème.

En 1993, après diagnostic de la situation, le CNJA a abouti à une 1ère loi pour une incitation des entreprises ? ’embauche des jeunes diplômés : l’Etat exonère de charges les entreprises acceptant de les employer dans le cadre de stages de formation-insertion. En 1994, un fonds pour la promotion de l’emploi est institué, qui permet aux jeunes diplômés souhaitant créer leur propre entreprise de bénéficier d’un prêt Un programme «emploi-formation-jeunes» dont le but est de placer 20 000 jeunes diplômés chaque année dans les entreprises, a été mis en place en octobre 1997.

L’Etat rembourse la moitié du salaire, versé aux nouveaux recrus, aux entreprises qui acceptent d’embaucher… En outre, 10 « centres d’information et d’orientation pour l’emploi» (CIOPE) ont été ouverts pour servir de lieuxd’intermédiation entre employeurs et candi PAGF s 8 l’emploi» (CIOPE) ont été ouverts pour servir de lieuxd’intermédiation entre employeurs et candidats, et leur nombre sera bientôt porté à 20.

Pourtant, en 1997, ces programmes n’ont guère été à l’origine de plus d’un millier d’embauches. Dans la pratique, les entreprises déclaraient ces « embauches » mais seul l’Etat payait sa part. La crise de l’emploi était telle que les jeunes acceptaient cette solution. De plus, ? ‘issu des 18 mois de stage prévu dans le contrat entre l’entreprise et l’Etat et malgré les mesures incitatives développées par ce dernier, les jeunes n’étaient pas intégrés dans l’entreprise.

D’autres solutions ont été proposées dans le cadre d’une convention signée en 1999 entre le Ministère du Développement Social, de la Solidarité, de l’Emploi et de la Formatlon Professionnelle et le Ministère de l’Enseignement Supérieur de la Formation des cadres et de la Recherche Scientifi-Evaluation de la qualité – région MEDA ACtiVité 1,2 Projet Tempus 30092-2002 Description du système ‘enseignement supérieurque pour la mise en œuvre du programme de formation qualifiante des jeunes diplômés en vue de leur insertion dans la vie active.

L’objet est d’accorder aux établissements des subventions pour le financement de formation connue par «formation qualifiante » sous forme de modules ciblés dans des filières répondant aux besoins du marché de travail,’ ces actions sont destinées aux jeunes diplômés qui sont à la recherche d’un emploi depuis plus de 12 mois. 6 8 d’étude . VI-L ‘enseignement supérieur privé : Les écoles de l’enseignement supérieur privé marocain offrent, n effet, des formations très variées.

Cela va des arts graphiques au management, de l’agroalimentaire à la communication et les langues, en passant par la décoration, le design, la santé, le tourisme, les finances, les télécommunications, le marketing, l’informatique, la logistique et jusqu’a la kinésithérapie, l’orthoptie et l’orthophonie. La liste n’est pas exhaustive. Une offre si diversifiée et qui essaye de toucher un maximum de secteurs, car les professionnels de l’enseignement supérieur privé savent qu’ils ne peuvent survivre que s’ils forment pour l’emploi.

Il faut dire qu’au moins dans les dix dernières années, l’enseignement supérieur privé a effectivement révélé d’importants gisements en termes d’améliorations à apporter ? l’enseignement d’une manière générale. L’espace éducatif s’est ainsi enrichi par une dynamique et une innovation introduites dans les cursus et dans les approches pédagogiques. D’autant plus que l’opacité qui caractérisait le secteur, il y a quelques années, commence à se dissiper.

Au fur et à mesure que les années passent, les écoles qui ont fait leurs preuves sont de plus en plus connues du large public. Les estimations plus ou matives de ce qu’offre le d’études se situe entre 23 000 DH et 26 000 DH par an. Pour avoir un diplôme dans certaines filières comme le contrôle de gestion et les nouveaux systèmes technologiques, GRH et relations sociales, management des organisations, il faut compter 3 à 5 ans d’études et 28 000 à 36 000 DH par an.

Il faut souligner que, souvent, le coût des études n’inclut pas les frais d’inscription sachant aussi que la majorité des écoles imposent le passage d’un test, la constitution d’un dossier et un entretien comme conditions d’inscription. Le calvaire des parents ne s’arrêtera pas là pour autant puisqu’ils doivent faire également face aux dépenses quotidiennes de transport, d’argent de poche,etc.

D’autres formations ouvertes aux détenteurs d’un bac scientifique comme la kinésithérapie coûtent entre 35 000 et 8 000 DH par an pour une durée d’études de trois années. Idem pour l’orthoptie et l’orthophonie quant à la durée d’études qui est de trois ans ou les frais de scolarité. Un bachelier scientifique peut aussi suivre une formation d’opticien ou d’optométriste sur trois années avec un coût de 26 000 DH à 29 000 DH par an. ceci ?tant il faut noter qu’il s’agit d’estimations car il existe des études qui vont jusqu’à 50 000 DH par an et même plus. ilières forment des ressources humaines hautement qualifiées qui valent bien leurs congénères étrangers, il est évident que les parents encaisseraient volontiers le coup IV-Liste de quelques écoles supérieures au Maroc : ESCA Ecole Supérieure du Commerce et des Affaires EPSIEL Ecole Polyvalente Supérieure d’Informatique et d’Electronique WES Institut Marocain d Etudes Supérieures. ESIG Ecole Supérieure Internationale de 8 Institut Marocain d’Etudes Supérieures. Ecole Supérieure Internationale de Gestion Casablanca , Fès , Rabat, Marrakech .

ELAM Ecole Libre des Arts et Métiers HEM Institut des Hautes Études de Management Casablanca, Rabat ESIAC Ecole Spéciale Internationale de l’Action Commerciale IGA Institut Technique de Gestion Appliquée EBA Ecole Française des Affaires ISGC Institut Supérieur de Gestion et de Commerce IN SUP Institut Supérieur des Etudes Informatiques IMM Institut Marocain de Management ISFORT Institut Supérieur de Formation et Technologie alimentaire. ISBB Institut Supérieur de Biologie et de Biochimie Casablanca, Marrakech, Tétouan CNCD Institut Supérieur de Commerce International. EFCI

Ecole Francaise de Commerce International et d’Informatique. Ecole des Hautes Etudes en gestion informatique et communication de Casablanca. ISGE Institut Supérieur du Génie Electri Lie. socio-économique du pays. Il est vrai que les Facultés étaient montrées du dogt et désignées comme étant des machines ? ‘fabriquer’ des diplômés chômeurs. Cependant si cela est peut- être vrai pour certaines filières, d’autres sont en pénurie de cadres. L’exemple des jeunes diplômés en NTIC (informaticiens et autres) est là pour le prouver. Cette pénurie est aussi dû ? ce que l’on appelle communément ‘la fuite des cerveaux’.

Cette exportation de matière grise se fait sous plusieurs formes. • L’étudiant démarre ses études supérieures à l’étranger (en général les études d’ingénieurs), puis reste à l’issu de ses études dans le même pays ou un autre. • L’étudiant démarre ses études supérieures au Maroc puis les termine dans un pays tiers (en général pays francophone), obtient son diplôme et s’installe dans ce pays d’accueil. • L’étudiant trouve un travail acquière une expérience puis cherche une meilleure situation via les programmes d’immigrations instaurés par certains pays. Le Groupe ESIG