Point de vue : Dans les dialogues de Cartier et de Lahontan la figure du sauvage n’est pas représentée de façon similaire puisque les «sauvages» sont différents psychologiquement. Argument principal 1 À première vue, le «sauvage» est présenté de façon similaire, puisque leur mode de vie leur culture, leur style vestimentaire sont considérés comme inférieure à celle des européens dans les deux dialogues. Sous-argument 1. 1 Sous-argument 1 _2 Dans les dialogues d or2 vocabulaire déprécia co u ossède les amérindi s.
Au dialogue du baron d vie, du sauvage com français. Illustration 1. 1 Illustration 1. 2 r utilise un bjet matériel que s que dans le considère le style de paré à celui du «Étant retournés en nos navires, vint le capitaine, vêtu d’une vieille peau d’ours noir Et accoutrâmes ses dits fils de deux chemises, et en livrées, et de bonnets rouges, et à chacun, sa chainette de laiton au col. De quoi se contentèrent fort, et donnèrent leurs vieux haillons à ceux qui retournaient. l. 1-24) «Aurais-je la patience d’entendre les sots raisonnements de vos vieillards et de vos jeunes gens, comme vous faites, sans les contredire ? Pourrais-je vivre de bouillons, de pain pain, de blé d’Inde, de rôti et bouilli sans poivre ni sel ? Pourrais- je me colorer le visage de vingt sortes de couleurs comme un fou ? Ne boire que de l’eau d’érable ? Aller tout nu durant l’été, me sewir de vaisselle de bois» (l. 6-11) Explication 1. 1 Explication 1. Dans cet extrait, Jacques Cartier utilise un vocabulaire dépréciatif our décrire les habits que portent les amérindiens, qualifiant leur peau d’ours de «vieille» et leur vêtements « d’haillons». Par la suite, il énumère les habits que les colons donnent aux amérindiens créant une comparaison implicite : d’un côté l’étalage des biens matériels français qui paraissent supérieurs en nombre et en qualité. De l’autre côté, les maigres possessions amérindiennes qui viennent juste détre décrites.
L’opposition de ces deux descriptions raffermit l’opulence et l’avancement rançais tandis qu’elle diminue l’image des amérindiens. l_e baron de Lahontan compare la vie amérindienne à celle des français. On comprend donc à chaque phrase qu’il dit que la réalité française semble meilleure et que celle des «sauvages» est terne. L’emploi des nombreuses phrases interrogatives crée une figure d’insistance et accentue le propos de l’auteur sur le mode de vie des « sauvages qui lui semble inférieure et terne en comparaison avec celui des européens.