henri barbusse

De la guerre : livre 1 : Sur la nature de la guerre : chapitre 1 : qu’est ce que la guerre ? 2) la guerre est un acte de violence engagé pour contraindre l’adversaire à se soumettre à notre volonté violence = moyen imposer notre volonté a l’enemi = fin 3) utilisation de violence physique necessite cooperation de l’inteligence impossible d’introdui prlncipe de moderati 2 éléments combats or 12 Sni* to vieu la guerre un absurdité hostile Jamals ou rarement,dominées par l’hostilite des sentiments si la guerre est un acre de violence, la passion en fait necessairement parti.

La guerre est un acte de violence, et l’emploi de celle ci ne onnait pas de limites. Chaque adversaires impose sa loi a l’autre, il en resulte une interaction qui, doit forcément conduire aux extrêmes. lere intéraction ) 4) l’objectif est d’oter a l’enemi tous moyen de se defendre enemi = objectif de l’acte militaire Tant que je n ai pas écraser l’adversaire, je dois craindre qu’il ne m’ecrase, je ne suis donc plus mon propre maitre, car il m’impose sa loi comme je lui impose la mienne (2eme intéraction) 5) doser notre effort en fonction de sa force de résistance = produit de 2 facteurs indisociables : – l’ampleur des moyens qu’ils fforts en conséquence cependant l’adversaire fait de même (3eme intéraction) 6). ) la guerre n estjamais un acte isolé 8) la guerre ne consiste pas en une frappe unique et sans durée le monde réel remplace bien ici celui de l’abstraction, et modère ainsi I tension vers l’extrême. Des les préparatifs de guerre le mande réel prend la place du pur concept et qu’une mesure réel remplace les hypothèses extrêmes. Les 2 adversaires, dans leur intéraction, resteront en dessous de la ligne dextreme effort, forces (armées, le territoire, les alliés) pas aussitôt deployées.

La nature de la guerre s’opppose à une réunion parfaite des forces à un même moment. La tendance aux extrêmes est ? nouveau réduite à une mesure déterminée de l’effort. 9) Il ne faut pas considerer l’issue générale d’une guerre comme un absolu. 10) Les probabilités de la vie réelle remplacent l’extrême et l’absolu du concept. Si l’extrême n’est ni redouté ni recherché il revient alors aux jugements de déterminer les limites imposées aux efforts.

Et ceci à partir des données qu’offrent les phénomènes du monde réel, ne peux se calculer qu’a partir des lois de probabilités. Chacune des 2 parties tâchera de déduire du caractère, des institutions, de la situation et des conditions de l’adversaire l’action de l’autre qui fixera la sienne en conséquence. 1 1) Aparitions des fins politiques : la fin politique est bien le mobile initial de la guerre. Elle ne peut donc sewir de mesures que si nous tenons comptes de son influence sur les masses qu’elle doit mettre en branle.

Elle sera, en tant que mesure, d’autant plus prédominante et même decisive que les masses seront Indifférentes et que mo 12 que mesure, d’autant plus prédominante et même decisive ue les masses seront indifférentes et que moindre seront les tensions s’exercant aussi dans d’autre domaines, à l’itérieur des 2 états et dans leurs relations mutuelles. 1 2) Cette acte peut-il cesser un instant ? Le temps depend de raison interne et apartient a la durée propre de l’action.

Tout laps de temps qui n’apartient pas a la durée de guerre parait absurde 13) une seule raison qui semble unilatérale peut arrêter l’action. Tant qu’il n’y a pas de paix le principe dhostilité exite. Un equilibre parfait des forces ne peux suciter la cessation de l’action, car celui qui poursuit l’objectif pos’tif en profiterait pour arder l’avantage. Equilibre 14) si la continuité de l’acte militaire existait elle pousserait l’action à l’extrême. Dans de nombreuses guerre l’action occupe de loin la part de temps la plus mince, et l’inaction tout le reste.

Cesssation de l’acte militaire possible et non une contradiction. 1 5) Principe de polarité. Postulat : l’interat d’un général est toujours de taille inverse a celui du général adverse. Principe de polarité s’apliquent a un seul objet ou le positif et le negatf s’annihilent. 1 6) Attaque 4 defences pas de polarité car ce sont deux choses de natures diférentes. 7) L’effet de la polarité est souvent annihilé par la superiorité de la defence sur l’attaque, ce qui explique la cessation de l’acte militaire. 18) L’examen imparfait imparfait peux enrayer l’acte militaire.

La possibilité d’une nouvelle cessation introduit une nouvelle moderation de l’acte militaire, car elle le dilue dans le temps, elle ralentit la marche du danger et elle multiplie les m 19 militaire, car elle le dilue dans le temps, elle ralentit la marche du danger et elle multiplie les moyens de rétablir un equilibre perdu. 19) La cessation frequente de l’acte militaire eloigne encore plus a guerre de l’absolu. plus l’acte devient lent plus les cessations seront importante. Et plus le genéral sera assurer de ces hypothèses il aura plus de temps pour ses calculs de probabilité. 0) Le hasard est tres present dans la guerre. Cest lui qui fait de la guerre un jeu. L’impevisible et la chance y prennent sa place D’ou les calcul de probabilités 21) Comme par sa nature objective, la guerre devient un jeu par sa nature subjective. L’élément dans lequel l’activité militaire se meut est le danger. Ame force du danger = courage. La guerre se rapproche le plus du jeu de carte. 2) L’art de la guerre manie des forces vivantes et morales, il ne peut donc jamais atteindre a l’absolu et au certain. Courage + confiance pricipe essentiel de la guerre. 3) Guerre moyen serieux en vue d’une fin serieuse. Tout le chatoiement de la forturne qui la pare, toutes les vibrations des passions du courage de l’enthousiasme qui l’habitent ne sont que des particularités de ce moyen. La guerre n est donc pas un acte politique, si elle etait une manifestation parfaite, limpide absolue de la violence la guerre prendrait la place de la polltique dès l’instant ou celle-ci la suscite. La guerres est en quelque sorte une pulsation plus ou moins vive de violence. Elle dure assez longtemps pour etre soumise à la volonté d’une intéligence conductrice.

La poltique traversera l’acte militaire et lui exercera une influence constante. 24) La guerre est une simpl 2 l’acte militaire et lui exercera une influence constante. 24) La guerre est une simple continuation de la politique par d’autre moyens. Guerre : – veritable instrument politique – continuation des relations politiques + accomplissement de celle ci par d’autres moyens. Il faut toujours la considere comme une modification du dessein olitique, car le dessein politique est la fin la guerre le moyen et jamais le moyen ne peut etre concu sans la fin 25) Diverses natures de guerres.

Plus les motifs sont grandiosent et plus ce qui précèdes la guerre sera violent. Plus les motifs et les tensions sont faibles moins l’orientation militaire de la violence sera important. Tendance naturelle = tendance philosophique, logique. 26) Toutes les guerres peuvent etre envisagés comme des actions politiques. Politique = inteligence de l’Etat personifié = guerre de premier genre (p 45) Politique = sagacité se détournant de la violence = second genre de guerre 7) nous devons penser la guerre non comme une réalité autonome mais comme instrument politique. er jugement consiste a discerner exactement le type de guerre pour eviter de la prendre pour ce qu’elle n est pas 28) résultat pour la théorie : (p47) Chapitre 2 : Fins et moyens dans la guerre : detruites : placée dans une position telle qu’elle ne peuvent plus poursuivre le combat le territoire doit être conquis pour eviter la creation d’autres forces. La guerre est achevé si la volonté de l’enemi est jugulée ( contraint a signer la paix) il faut toujours considerer qu’avec la paix la fin est atteinte et la uerre a achevé sa tâche.

Destruction des forces ar s 9 paix la fin est atteinte et la guerre a achevé sa tâche. Destruction des forces armées et conquêtes du territoire rentrent souvent en interaction. Mals c est objectifs de guerre abstraite ne sont pas toujours atteints dans la réalité. Si nous constatons donc qu’il y eut des guerres entre des Etats de puissances tres inegales, c’est parce que dans la réalité la guerre est souvent tres éloigné de son concept originel. Comment exercer une influence sur les probabilité de succès ?

Naturellement par les même moyens que ceux qui visent a defaire l’enemi. Un autre moyen sans terraser les forces enemies c est-à-dire aux opérationsimmédiate avec la politique. Comment aglr sur les depense des troupes enemies ? La perte des forces armées, l’invasion, lui infliger un domage général le concept d’usure par le combat comprend un epuisement progressifs des forces physiques et de la volonte, produit par la durée de l’action. Fin la plus modeste : resistance pure sans intention possible.

Moyens de la guerre le combat / le concept de la guerre implique toujours que toutes les actionsqui s’y manifestent procèdent nécessairement et originellement du combat. e combat dans la guerre est un tout organisé et multiple. Le destruction de la force armée enemie est donc toujours le moyen d’atteindre le but de l’engagement (=chaque unité que l’on distingue dans le combat) il est aussi possible que l’objectif d’un engagement ne sois pas la destruction de la force armée enemie, mais que cette destruction ne sols qu’un moyen.

Il n’y a dans la guerre qu’un seul moyen, l’engagement. La destruction de la force enemie et le fondement de toutes actions militaires. Dans la res PAGF 19 l’engagement. Dans la resistance pure, l’intention positive fait défaut. L’intention négative (preservation de notre armée) l’objectif final est de faire prolonger la durée pour epuiser l’adversaire. Lorsque l’adversaire à recours aux armes on ne peux jamais s’y derober;le beligérant qui veux emprunter une autre voie doit être sur que l’adversaire n’aura pas recours a ce reglement sous peine de perdre son procès.

Chapitre 3 : le génie martial : Chaque activités particulière exige, pour être exercée avec une certaine virtuosité, des dispositions particulières d’esprit et de cœUr. « génie » (immensurable) -une puissance intellectuelle xceptionnellement développéedans l’exercice d’une activité déterminée. La convergeance des forces de l’âme dans l’activité militaire, que nous pouvons alors envisager comme l’essence du génie martial. Importance de la part que prennent les forces intéllectuelles dans le génie martial supérieur. sortes de courage : – le courage face au danger personnel indifférence face au danger peut provenir de motifs positifs – le courage de faire face à la responsabilité devant le tribunal d’une instance extérieur ou de l’instance intérieure qu’est la conscience. La guerre est du domaine du hasa 7 2 ‘instance intérieure qu’est la conscience. La guerre est du domaine du hasard. Courage d’esprit = courage face à la responsabilité donc en quelque sorte, au danger morale.

Si ce dernier veut sortir victorieux de ce combat constant avec l’imprévu, 2 qualités lui sont indispensable : – une intéligence qui, même dans cette obscurité plus intense, garde quelque vestige de cette lumière intérieur qui le guide vers la vérite ( coup d’oeil) – du courage de suivre cette faible lueur résolution) La simple réunion d’un discernement supérieur et des sentiments requis ne suffit pas à créer la résolution (p75) La résolution doit son existance à une orientation particulière de l’esprit. Le coup d’oeil et la résolution nous conduisent directement ? parler de la présence d’esprit sui leur est apparentée.

Cette qualité joue un rôle majeur dans le royaume de l’imprévu qu’est la guerre. Car elle n’est rien d’autre qu’une capacité supérieur ? vaincre l’imprévisible. Le poid, la charge, la résistance, ce qui exige cette force de l’âme de la part de l’officier, n’est que pour une part infime le résultat immédiat de l’activité ennemie, de la résistance enemi ( agit immédiatement sur le chef par la perte de ses moyens u’engendre une resistance prolongée,et par la responsabilité qui y est attaché), des opération enemies. P79) la force de volonté doit augmenter doit augmenter avec le rang pour rester proportionnée à ces charges. L’énergie dans l’action exprime la vigueur du motif qui a suscité cette action, que ce motif procède d’une conviction intellectuelle ou d’un mvt affectif. La fermeté indique la résista 9 motif procède d’une conviction intellectuelle ou d’un mvt affectif. La fermeté indique la résistance de la volonté face à la puissance d’une frappe unique, la persévérance face à la durée.

Différence fermeté et persévérence : la fermeté face à une seule impression violente peut reposer simplement sur la vigueur d’un sentiment alors que la persévérence exige plutot le soutien de Force de caractère : fermeté avec laquelle un homme garde ses convictions. À la guerre, un homme a plus de raisons que dans toutes autres activités de Secarter du chemin qu’il s’est choisi et d’être deconcerté par lui-même ou par les autres. La force de caractère nous conduit à en examiner une forme abâtardie, à savoir l’obstination (=refus de se soumettre à une eilleure compréhension des choses.

Elle est un défaut du tempérament. ) la force de caractère devient obstination dès que la resistance au jugement d’autrui ne résulte ni d’une conviction mieux fondée, ni de la foi en un principe supérieur , mais d’un sentiment d’oposition. Sens de l’orientation = faculté de se faire rapidement de tout terrain une représentation géométrique éxacte. Necessite l’imaginatlon. Donne plus de souplesse et de fermeté à l’action. L’acte guerrier qui se traduit par des phénomènes simple et si peu complexes ne peut être accompli par des individus dont les apacité intéllectuelles ne seraient pas remarquables. voir CCI pg7) Chapitre 4 : du danger dans la guerre : l’idée que l’on se fais du danger avant de l’avoir connu est plutôt attirante que repoussante. Chapitre 5 : de l’effort physique dans la guerre . Si l’on ne portait de jugement sur les événements militaire l’effort physique dans la guerre : Si l’on ne portait de jugement sur les événements militaires que dans les moment ou l’on est paralysé, bien peu de ces jugements seraient réellement objectifs mais ils auraient au moins le mérite d’être subjectifs (renfermer exactement le rapport entre celui qul orte le jugement et ce qui en fait l’objet).

L’effort physique est le principal des éléments non mesurables de la guerre. S’il est question de l’effort physique comme d’une chose cap tale, c’est parce qu’il appartient, comme le danger aux causes fondamentales de friction et parce que sa mesure incertaine le rend semblable aux corps élastiques, dont on sais que le frottement est difficile à calculer. Chapitre 6 : les renseignements dans la guerre : renseignements = ensemble de la connaissance que l’on a de l’enemi et de son pays, donc le fondement de tous nos projets et e toutes nos opérations.

Chacun est enclin à croire les mauvaises nouvelles plutôt que les bonnes. Tout le monde à tendance à exagerer un peu ce qul va mal, et les danger qui sont ainsi rapportés sont comme les vagues de la mer, refluant sur elle même et revenant toujours. Chapitre 7 : la friction dans la guerre : les choses les plus simples dans la guerre sont difficiles. Ces difficultés s’accumulent et produisent une friction dont celui qui n’a pas vu la guerre ne peux se faire une idée juste. La friction distingue la guerre réelle et la guerre sur le papier.