Eloge de la faiblesse

FICHE DE LECTURE NOI ELOGE DE LA FAIBLESSE d’Alexandre Jollien « Eloge de la faiblesse » est une autobiographie réalisé en 1999 par Alexandre Jollien. Alexandre Jollien est 1975. Très vite Louis rencontrés une diffic le ventre de sa mère org Sni* to vieu 6 novembre son papa vont ès turbulent dans avec le cordon ombilical. S’en suit une intirmite motrice c r brale qui le conduira à vivre dans un institut spécialisé de l’âge de 3 ans à ces 20 ans. Au cours de ces 1 7 ans de centre, Alexandre nous expliquera dans son livre toutes les épreuves qu’il a du surmonter afin de gagner n assurance, en autonomie et en joie de vivre.

En 1993, il s’lnscrit dans une école de commerce pour « assurer ces arrières » dit-il, apprendre un métier, un vrai métier dont lui seul avait choisit. Mais c’est en 1997 où la révélation a lieu. Alexandre tombe sur un ouvrage de Platon qui invite à vivre meilleur plutôt qu’à vivre mieux. C’est d’ici que tout s’enchaîne, II entre au Lycée de la Planta à Sion qui lui ouvre les portes de l’Université de Fribourg ou il obtient une licence en lettres au printemps 2004. Il étudiera aussi le grec ancien au Tri Trinity College de Dublin de 2001 à 2002 où il rencontrera Corine ne Suissesse.

Ils se marièrent en 2004, et eurent trois enfants. La première Victorine, née le 30 octobre 2004, le second Augustin qui voit le jour le 31 mars 2006 et Céleste le petit dernier née le 3 janvier 2011. En 1999 Alexandre Jollien écrit « Eloge de la faiblesse » premier ouvrage de la part de se jeune philosophe encore en étude à cette époque. Ce livre est une autobiographie, traité sous la forme d’un dialogue imaginaire entre lui et son « premier guide h, son « vieux maitre Socrate.

Dans cette autoblographie, l’auteur a voulu tout d’abord témoigner de son état d’esprit en nous acontant quelques péripéties durant ces 17 années de centre. Alexandre nous a fait part des grandes étapes de sa vie, qu’elles soient bonnes ou mauvaises, tout s’interrogeant sur la normalité, question dont il n’aura sans doute jamais la réponse. Résumé : Tout d’abord la préface, écrit par Ruedi Impach, professeur de philosophie à Fribourg en Suisse nous rappelle que dans cette autobiographie Alexandre Jollien était condamné à rouler des clgares a cause de sa maladie.

Mais Alexandre a fait preuves de persévérance et de beaucoup de volonté et c’est donc retrouvé sur les bancs de l’université à étudier la philosophie. Le professeur lui, d’un point de vue plus philosophique, nous montre son étudier la philosophie. Le professeur lui, d’un point de vue plus philosophique, nous montre son étonnement face à « la capacité d’adaptation de l’être humain » Cette autoblographie est crée sous forme de dialogue.

Elle se présente généralement de sorte que Socrate pose des questions sur la vie d’Alexandre et rauteur répond afin de nous faire découvrir sa vie tout au long du récit. Dès le début, Alexandre nous fait part de son enfance et nous explique sa naissance difficile. Il c’est étouffé à trois reprises avec e cordon ombilical dans le ventre de sa mère. Alexandre dès sa naissance souffre donc du handicap nommé « athétose Ces parents seront donc contraints à placer Alexandre dans un centre spécialisé dès ‘âge de trois ans.

Tout au long de ce récit, l’auteur revient régulièrement sur la notion de normalité. Il en tira même une définition au début de son ouvrage, et selon Alexandre être normal, c’est être « conforme a la normalité et prend l’exemple que la normalité pour un enfant de douze ans, est de savoir marcher, écrire, parler et lire. Au début de cette autobiographie, l’auteur nous montre ‘importance et le rôle très positif des enfants handicapés entre eux. Il prend plusieurs exemples, notamment celui de Jean. Jean était un de ces « camarades » de centre, il ne pouvait ni parler, ni marcher, ni même rester assis.

Cependant, quand Alexandre app il ne pouvait ni parler, ni marcher, ni même rester assis. Cependant, quand Alexandre apprit a marcher celui-ci n’arrêtait pas de rigoler, mais plus l’auteur surmontait les difficultés, plus Jean rigolait. plus il arrivait à marcher, plus Jean était effondré de rire, Alexandre comprit par la suite, qu’il ne se moquait bsolument pas, mais qui s’appropriait les jambes de son camarade, « on aurait dit qu’il apprenait lui-même à marcher Tout le monde se soutenait au centre afin de mieux affronter les épreuves.

L’auteur insiste beaucoup aussi sur l’importance des mots, des gestes ou des regards échangé avec les autres enfants, échange qui manquait à son goût avec la plupart des éducateurs qui l’entourait. Si la relation entre les personnes handicapées était bonne et positive pour le travail demandé, Alexandre regrette la relation entre lui et les professionnels. Une relation dit-il, qui se imitait à la relation « de professionnel à enfant » ou « de médecin à malade » Cependant après réflexion, ne trouve-t-il pas des points positifs ? cette distance donné par les éducateurs.

Au sortir du centre, à l’âge de 20ans, Alexandre parti pour apprendre un « vrai métier » dont lui seul avait choisi. Il s’inscrit dans une école de commerce. Les débuts fut très difficile, car les relatlons Instaurer avec les autres enfants au centre était très différentes de celles mise en pla relations instaurer avec les autres enfants au centre était très différentes de celles mise en place a l’extérieur du centre. Il nous raconte ainsi son histoire avec cette jeune fille dont il avait sympathisé et qu’il l’avalt charmé par sa beauté intérieur.

Alexandre, afin de lui manifesté sa sympathie, se jeta sur elle au point de la faire tomber. Scène qui évidemment provoqua une certaine humiliation de l’auteur et de malaise du coté de la jeune fille. Plus tard dans son ouvrage, l’auteur vînt aborder un sujet très important à ces yeux, d’où en partie le titre de son ouvrage, qui est la capacité d’adaptation de Hêtre humain. Socrate évoque quelques notions de Darwin alors qu’Alexandre prend un exemple ien plus concret. Il prend [‘exemple de cette jeune fille africaine qui a vu ces parents se faire massacrer de façon horrible, où elle avait survécu en se cachant.

Et il l’a voyait malgré cette terrible tragédie, nager paisiblement, pour lui, cette jeune fille incarnait « la joie de la plus totale Il en arrive même à penser et à croire fortement qu’il faut je site, « tout mettre en œuvre pour parvenir à tirer profit même de la situation la plus destructrice. Dans cette ouvrage bon nombres de sujet tout aussi intéressant les uns que les autres vont falre surface. Comme celul ?videmment de la sexualité dont Alexandre n’a pas tant voulu s’exprimer. pour lui surface. Comme celui évidemment de la sexualité dont Alexandre n’a pas tant voulu s’exprimer.

Pour lui c’était un sujet tabou, au centre les règles était assez fermes, le corps devait être correctement recouvert de vêtements et les contacts entre résidents limités. C’est pourquoi certaines personnes handicapés d’adonnaient à une pornographie particulière, celle du voyeurisme. Au centre Alexandre avait tissé des liens d’amitiés avec certaines personnes et ressentait certaines réticences avec d’autres. Mais omment ne pas parler du Père Morand, cet aumônier était pour lui son « meilleur ami Et pourtant comme il le disait si bien, bon nombre de choses les opposent.

A commencer par l’âge, le père Morand avait près de sorxante ans, mais ce religieux a beaucoup d’influence sur Alexandre durant ces 17 années passées au centre. Et pourtant à sa mort Alexandre nous fit part « aucune douleur, aucun regret » et s’explique en disant que « tout ce qu’il m’a donné, je le garde présent dans mes actes, dans ma manière de penser, dans mon être Pour finir, Alexandre nous apprend qu’à l’école de commerce il a e nouveau rencontré des gens et créé de nouveaux liens et en profite pour nous rappeler l’importance de l’amitié pour lui durant toutes ces années.

L’auteur revient de nouveaux sur l’importance également de la philosophie pour lui. Chose qu’il lui à permit de c sur l’importance également de la philosophie pour lui. Chose qu’il lui à permit de ce questionné tout au long de ces épreuves et de trouver un coté positif, de tirer profit de toutes ces difficultés. Et ce dialogue entre Alexandre Jollien et Socrate se terminera donc sur une notion qui à déjà été abordé lors de cette ouvrage, la notion de normalité.

Après de multiples questions de la part de Socrate, Alexandre se rend a l’évidence et avoue donc ignorer la notion de normalité. pourquoi avez-vous chosi cet ouvrage ? Dans un premier temps du point de vue de la forme. L’idée de lire un dialogue entre l’auteur et une autre personne, dialogue non pas écrit par l’auteur mais dicté par l’auteur. Cela ma tout de suite laisser penser que cette autobiographie, allait être un ouvrage très simple et très agréable a lire malgré les quelques que notions de philosophie que l’on a pu trouver.

D’autre part, ce livre ma aussi intéressé du point du sujet. Après avoir lu un court résumé de cette ouvrage, il ma de suite donner envie. Jun coté, car je ne connaissais absolument pas ce type de handicap. Et d’une autre coté car dans son bouquin Alexandre Jollien nous donne a tous, je pense, une bonne leçon de vie qui peut s’impliquer à n’importe lequel d’entre nous, celle de tiré profit de n’importe quelles situations, même et surtout les plus difficiles. Quel intérêt av Quel intérêt avez-vous trouvez a sa lecture ?

J’ai trouvé comme intérêt à cette lecture, comme je pes précisez ci-dessus cette leçon de vie que nous apporte l’auteur. Alexandre souffre d’une Athétose, il est séparer de ces parents dès l’âge de 3 ans pour être placé dans un centre spécialisé. Quelques années après il sera condamné à rouler des cigares. Après 17 ans dans une institution spécialisée, après 17 ans de galère mais aussi d’arrachement et de persévérance, Alexandre Jollien est rentré dans une école de commerce pour débuter puis à l’Université de Fribourg où il obtient une licence en lettres au printemps 2004.

Alexandre est désormais un jeune philosophe handicapé. Cette leçon de vie, est certes accentué par tout les malheurs qu eut lui être arrivé, mais doit nous laisser réfléchir pas forcement sur la chance que l’on a, d’être comme l’on est, mais sur la façon d’entreprendre toutes les choses que nous allons entreprendre malgré les obstacles que l’on pourra rencontrer. C’est pour moi une des choses qui m’a intéressé dans cet ouvrage, et qui surtout m’a fait le plus réfléchir, tiré profit de n’importe quelles difficultés.

Pouvez-vous faire un lien entre cet ouvrage et votre entrée en formation de moniteur éducateur ? Il est assez marrant et int ouvrage et votre entrée en formation de moniteur éducateur ? Il est assez marrant et intéressant de lire un ouvrage écrit par une personne en situation de handicap et non pas un ouvrage écrit par un professionnel, infirmière, éducateur, psychologue, etc.

Cela montre aussi que le professionnel n’est pas tout le temps perçu comme la personne la plus « respecter comme le « sauveur » de ces résidents Mais pour moi, la chose cette autobiographie qui est le plus en liens avec mes attentes de la formation est sans doute la manière de penser. Malgré le peu d’expérience professionnel que rai pu avoir avec des personnes en situation de handicap, il me semble u’il est permis à la plupart d’entre nous de réaliser une toilette ou d’autres actes de la vie quotidienne après les avoir vu réalisé une ou deux fois.

Cependant, la leçon de vie que nous apporte Alexandre Jollien dans son autobiographie, n’es pas une façon de penser permis a tout le monde sans l’avoir travaillé. C’est pourquoi, a mon sens, le fait de persévérer et de tiré profit de chaque difficulté rencontrer par une personne en situation de handicap et une des missions du moniteur éducateur. Mais cette mission s’apprend a l’école et se concrétise lors des stages.