ethique

Je vais vous présenter la situation que j’ai vécue dans une des boutiques d’une enseigne de magasins spécialisés dans la vente d’appareils électroménagers et électroniques. Je pense que la politique de cette entreprise est une pratique non ethique. En effet, elle consiste à vendre les produits permettant la marge la plus importante, quitte à ce que les produits vendus ne soient pas les plus adaptés à la demande des clients.

Me basant sur une phrase du cours : « L Ethique est notre manière personnelle, ou c’est la manière de l’entreprise, d’appliquer la morale dans a pratique des affaires je me suis donc rendue compte du manque d’ethique de cette entreprise. Dans tous les magasins de l’enseigne, les vendeurs sont Swipe Lo nexL page poussés à rapporter I conseiller au mieux rémunération à base très variable en foncL pour l’entreprise. Ain or 3 on pas à écouter et û à une politique de e partie du salaire Sv. vx to nextÇEge moins intéressants ont d’abord pour l’entreprise, puis pour eux, et en ln pour les clients qui se retrouvent manipulés sans s’en rendre compte. un des buts d’une entreprise est bien de faire des profits et de les maximiser ais est-ce que cela doit aller jusqu’à dénigrer les clients sans qui l’entreprise ne serait rien ? Ces troi trois objectifs impliquent en eux-mêmes la démarche non éthique de l’entreprise. Le prix de vente moyen pousse les vendeurs ? monter en gamme en proposant les produits les plus chers avant les produits les plus adaptés à la demande du client.

Quand je suis arrivée dans Ventreprise, le directeur du magasin m’a fait un briefing sur le plan de vente de l’entreprise : proposer plusieurs produits, toujours commencer par proposer les produits les plus hers et descendre si le client est trop réticent mais toujours argumenter le plus longuement possible avant. Je ne veux plus refaire de vente en B ta C. Je ne suis plus intéressée que par le B to B où la manipulation a moins lieu, notamment de part les connaissances techniques de notre interlocuteur.

Il fallait, en plus d’essayer d’augmenter le montant de l’achat sur le produit en lui-même, proposer des accessoires avec. Comment vendre des accessoires en plus lorsque nous- mêmes savons qu’ils sont inutiles ou trop chers ? Pourtant, il fallait et il s’agissait d’abuser de la faiblesse de certaines ersonnes. La politique de vente est donc à surveiller. Espérons que les esprits changent et que tout le monde se rende compte que la vente jouant sur la manipulation des clients existe et qu’elle est non éthique. our ma part, j’espère ne pas avoir à rencontrer d’autres situations non éthiques. Si je devais en rencontrer, j’espère les reconnaître en tant que non éthiques non éthiques. Si je devais en rencontrer, j’espère les reconnaître en tant que non éthiques et pouvoir faire quelque chose pour les rendre éthiques. Il faut prendre en compte les attentes de tous, enter de satisfaire au mieux toutes les parties prenantes. Certains clients n’étaient pas dupes, d’autres si.

J’essayais donc toujours d’insister sur ces produits lorsqu’ils avaient un réel avantage, car ces produits étaient étiquetés différemment par l’entreprise seulement parce qu’ils permettent une marge plus importante ou alors parce qu’il faut vider les stocks. L’intérêt n’est pas du tout pour les clients et pourtant les vendeurs sont poussés à les proposer. Chaque semaine, la liste de ces produits change, il faut donc toujours adapter son discours, mais il manque toujours e profondeur.

Je pourrais au moins tenter de minimiser Virnpact sur les clients en négociant avec ma hiérarchie. Si aucun changement n’est visible, je conseillerais mes subordonnés sur la manière d’être le plus éthique possible : rester à l’écoute du client et proposer le produit pouvant convenir au client et à l’entreprise. Si cela ne convient pas à ma hiérarchie, cela n’a pas à retomber et je ne veux pas que cela retombe sur mes subordonnés, surtout si cela n’était pas leur choix de ne pas suivre entièrement la polltique de l’entreprise.